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Découvrez l’importance des pieds dans votre santé globale

Ils représentent la base de la posture. Sans eux, la station debout est impensable puisqu’ils participent à la majorité de nos mouvements. Les pieds, avec leurs os, leurs tendons, leurs ligaments, leurs muscles et leurs articulations, sont des structures puissantes et fragiles à la fois. Dans cet article, vous apprendrez l’anatomie des pieds, vous découvrirez quelles conditions les affectent le plus souvent et surtout, comment vous pouvez optimiser leur fonctionnement au quotidien.

Les pieds : la base de la base

Comme mentionné d’entrée de jeu, les pieds sont à la base de la posture. Chaque pied possède 26 os qui s’articulent les uns aux autres, ce qui permet plusieurs mouvements afin d’assurer une fonction motrice exceptionnelle tout en s’adaptant aux irrégularités du sol :

  • 14 phalanges (5 distales, 4 moyennes et 5 proximales)
  • 5 métatarses
  • 7 os du tarse :
    • 3 cunéiformes (latéral, intermédiaire et médial)
    • Naviculaire
    • Cuboïde
    • Talus
    • Calcanéus

Les phalanges sont au nombre de 14, puisque le gros orteil n’en compte que 2, comparativement aux autres orteils qui en comptent 3. La zone du pied comportant les phalanges est la plus mobile.

Les métatarses ont comme fonction de relier les phalanges à la région du tarse (cuboïde, cunéiformes (3), naviculaire, calcanéus et talus). Ce sont les os du pied les plus longs.

Les os du tarse relient le pied à la cheville et sont au nombre de 7. Le calcanéus reçoit l’impact lors de la mise en charge du pied sur le sol et joue donc un grand rôle dans la biomécanique du pied. Le talus s’articule avec les os de la jambe (tibia et fibula); son rôle est également très important.

Avec ses articulations, ses ligaments, ses muscles et ses tendons, le pied peut effectuer des mouvements complexes et même en combiner certains à la fois :

  • flexion plantaire (pointer le pied vers le sol)
  • flexion dorsale (pointer le pied vers le haut)
  • inversion (flexion plantaire tout en portant le pied vers l’intérieur)
  • éversion (flexion plantaire tout en portant le pied vers l’extérieur)
  • pronation (amener le pied vers l’intérieur)
  • supination (amener le pied vers l’extérieur)
  • adduction (dans le plan horizontal, amener le pied vers l’intérieur)
  • abduction (dans le plan horizontal, amener le pied vers l’extérieur)

Chaque mouvement du pied a un rôle à jouer. Afin que chacun soit effectué de façon optimale et ainsi contribuer à la santé globale, il est nécessaire d’assurer le bon fonctionnement de chaque structure.

Comment la chiropratique peut-elle optimiser la biomécanique des pieds

Un adulte moyen peut faire jusqu’à 10 000 pas par jour. Déposer le talon au sol 10 000 fois dans une journée nécessite donc que les structures en place puissent supporter le poids corporel et effectuer un mouvement adéquat afin de transférer ce poids et permettre une foulée optimale.

Si on ajoute à ce nombre la pratique d’un sport comme la course par exemple, il est de plus en plus évident que l’intégrité des structures doive être optimale. Il en va de même lors du développement de l’enfant ou même la récupération lors d’une blessure localisée au pied.

Puisque le chiropraticien possède les aptitudes pour évaluer les mouvements articulaires, le consulter pourrait être bénéfique.Le chiropraticien, c’est bien plus que pour le mal de dos et la sciatique!

– Chez l’enfant

Chez l’enfant (et à tout âge), il peut aider à déterminer si l’arche plantaire est normale, affaissée ou trop prononcée. Saviez-vous qu’une arche plantaire affaissée ou trop prononcée peut, en plus de donner des douleurs localisées aux pieds, mener à des déséquilibres posturaux importants?

– Chez le coureur

Chez le coureur, il peut être d’excellent conseil quant à la démarche à utiliser en cas de retour à la course après une période d’arrêt et même donner des conseils sur la technique. Puisque la foulée doit être bien exécutée afin d’optimiser l’activité et limiter les douleurs aux pieds et aux articulations adjacentes comme les genoux et les hanches, il est essentiel d’être bien outillé et le chiropraticien pourrait très bien être le professionnel à consulter. Ainsi, vous pourriez éviter l’apparition de plusieurs conditions :

Malgré la petite taille de cette zone anatomique par rapport au reste du corps, les pieds nécessitent une attention particulière, et ce, chez l’enfant autant que chez l’aîné.

Quelles conditions ciblent les pieds et comment puis-je améliorer mon sort?

Plusieurs conditions peuvent occasionner une douleur aux pieds et selon chaque situation, certains conseils peuvent être mis de l’avant afin d’aider la récupération.

1. Fasciite plantaire

La fasciite plantaire est une inflammation du fascia plantaire, cette grosse structure qui donne la forme à l’arche du pied. Elle peut apparaître suite à une surutilisation comme lors de la course, ou en raison d’une arche trop prononcée ou affaissée. Dans tous les cas, une évaluation de la douleur au talon par un professionnel de la santé est essentielle afin d’établir un diagnostic précis. Une fois le diagnostic posé, vous pourrez suivre certaines recommandations de base, en plus du suivi proposé par ce professionnel :

  • Étirer les mollets
  • Étirer le pied (l’arche plantaire)
  • Utiliser une balle de tennis ou une balle de golf et la rouler sous le pied, directement sur le fascia plantaire, afin d’aider à relâcher la structure
  • Mettre de la glace à l’insertion du fascia plantaire sur le calcanéus afin d’aider à faire diminuer l’inflammation.

2. Névrome de Morton

Le Névrome de Morton est l’irritation d’un nerf, le plus souvent situé entre le 3e et le 4e métatarse. Comme mentionné pour la fasciite plantaire, un diagnostic doit être posé afin de proposer un suivi approprié. La douleur est très localisée. Pour aider au soulagement, voici quelques conseils :

  • Évaluer que les chaussures ne soient pas trop serrées
  • Mettre de la glace
  • Effectuer des massages entre les métatarses
  • Évidemment, suivre les recommandations du professionnel consulté

3. Épine de Lenoir

L’épine de Lenoir est localisée à l’insertion du fascia plantaire sur le calcanéus. Elle se caractérise par la formation d’une structure osseuse entre le fascia et l’os en raison d’une inflammation du fascia. Elle est donc la conséquence d’une fasciite plantaire. Une fois diagnostiquée et le suivi recommandé effectué, les conseils de base à la maison sont sensiblement les mêmes qu’avec la fasciite plantaire :

  • Mettre de la glace
  • Utiliser la balle de tenir ou de golf
  • Étirer le pied (arche plantaire)
  • Étirer le mollet

4. Hallux valgus

L’hallux valgus (oignon) est une difformité de l’articulation entre le métatarse et la phalange proximale du 1er orteil. Cette condition apparaît souvent avec l’âge. Selon l’importance de la difformité, certains conseils peuvent aider à soulager la douleur :

  • Porter des chaussures souples
  • Éviter des chaussures à talon et à bout pointu
  • Massage doux de la région
  • Glace au besoin

N’oubliez pas : dans tous les cas, un diagnostic doit être posé afin que vous puissiez bénéficier d’un suivi et de recommandations appropriés. La vision globale prônée par la chiropratique vous ouvre la voie vers l’optimisation de votre santé, et ce, de la tête aux pieds! N’hésitez pas à consulter en chiropratique!

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Alliez neuroplasticité et légèreté pour optimiser votre été!

Faites-vous partie de ceux et celles pour qui l’été est aussi la saison des “il faudrait que”? Il faudrait que je me remette à faire du sport. Il faudrait que je sois plus en forme. Il faudrait que je bouge plus. Il faudrait que je joue plus dehors avec les enfants.

Vous savez que l’une de nos missions en tant que chiropraticiens est de vous éduquer sur la santé optimale, n’est-ce pas? Avec le texte qui suit, vous comprendrez qu’il est possible de passer un été à s’amuser sans nécessairement se mettre une pression de performance sur les épaules. Vous serez plus légers, croyez-nous!

Santé globale et plaisirs de l’été : quel est le lien?

D’entrée de jeu, nous vous avons dit que l’une de nos missions était de vous guider vers la santé optimale. Pour nous, la santé représente beaucoup plus que l’absence de maladie. Elle se veut être un tout qui n’englobe pas seulement le physique. De par notre vision, nous souhaitons amener nos patients à avoir un système nerveux qui fonctionne optimalement tout en prônant les saines habitudes de vie :

Ces habitudes représentent pour nous des ancrages très importants pour l’obtention d’une santé optimale. Pour nos patients, il est facile de les comprendre puisqu’ils sont associés à des concepts concrets.

En parallèle avec ces concepts, il y a également le bien-être émotionnel et mental qui est essentiel à un état de santé optimal. Il est plus abstrait, mais tout aussi important. C’est d’ailleurs sur lui que nous nous baserons pour mettre de l’avant les informations contenues dans cet article.

Pourquoi? Parce que nous croyons fermement que le fait d’être bien avec soi-même nous pousse à être en accord avec nos actions, ce qui contribue sans contredit au fait d’être aligné tout en éliminant les émotions superflues et non essentielles. Évidemment, c’est encore plus facile à réaliser lorsque la santé physique est optimale, d’où l’importance de comprendre que la santé, c’est un tout!

En étant en accord avec nos actions, les “il faudrait que” disparaissent. Ils deviennent superflus et n’ont plus leur place. En conséquence, le temps passé à se questionner inutilement se transforme automatiquement en possibilités infinies liées au plaisir, au bien-être et à l’intégrité envers soi-même.

Quel est le lien scientifique entre mes pensées et mon été de rêve?

La neuroplasticité, vous connaissez? Ce concept est complexe et simple à la fois. À des fins de compréhension, voici comment vous pouvez vous l’imaginer.

Prenons premièrement l’exemple d’une douleur physique :

  1. Chaque stimulus (physique ou mental) envoie une information au cerveau, ce qui crée des connexions entre les neurones afin que le corps s’y adapte et maintienne un état ressemblant le plus possible au bien-être.
  2. En présence d’une douleur au dos, par exemple, le corps cherche à se protéger afin de limiter la sensation de douleur. Plus les signaux persistent, plus il envoie des signaux nerveux qui permettent aux muscles de se contracter, à l’inflammation de s’installer et à la sensation de douleur d’être moins présente. En d’autres mots, le corps s’adapte à son environnement.
  3. Plus il y a persistance, plus l’adaptation devient un état constant. Comme si c’était une nouvelle réalité dans laquelle les muscles sont continuellement en réaction pour limiter la douleur. Vous comprendrez que c’est “bon” pour limiter la douleur, mais “moins bon” pour une santé optimale, car les muscles sont toujours en réaction.
  4. Éventuellement, la douleur finit tout de même par s’installer puisque le corps ne peut plus compenser. Généralement, c’est à ce moment que les gens consultent afin d’améliorer leur condition. Comme le corps compense depuis un certain temps, les résultats peuvent être difficiles à obtenir, puisqu’il faut l’aider en créant de nouvelles connexions visant à rétablir l’équilibre.
  5. Sans suivi, on entre dans un cercle vicieux impliquant des tensions musculaires, des compensations et de la douleur.

Si elle joue un rôle dans l’adaptation du corps à la douleur, la neuroplasticité donne aussi tout son sens à la pensée positive et au fait de poser des actions pour lesquelles on est en accord. Le principe est le même : plus on est stimulé d’une façon, plus cette façon devient notre réalité. Pourquoi donc se priver de poser des gestes qui nous rejoignent, n’est-ce pas?

En lien avec les “il faut que” de l’été, le fait de prendre action et assumer nos choix vient donc créer un mouvement positif autour de cette saison. À partir de maintenant, prenez la décision de faire les choses pour vous et non pour les mauvaises raisons!

  1. Jouez dehors le temps qu’il faut avec vos enfants
  2. Faites de nouveaux sports simplement pour le plaisir
  3. Ne vous limitez pas et osez faire quelque chose de nouveau
  4. Si vous ne voulez pas un horaire précis, ne vous l’infligez pas
  5. Pensez à joindre des moments de gratitude à vos activités

Suite à cette prise de conscience, vous verrez automatiquement la pression de performance tomber et sans que vous le sachiez, vous trouverez légèreté et liberté dans toutes vos activités.

Une fois cette énergie bien installée, c’est à ce moment que vous trouverez le moyen de vous dépasser, si c’est ce que vous souhaitez!

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Les 4 meilleurs trucs afin d’optimiser votre suivi chiropratique (et votre santé globale)

La vision globale de la santé est au cœur de la philosophie chiropratique. Pour cette raison, votre chiropraticien se fait un devoir de vous donner, jour après jour, des conseils pour optimiser votre santé et par le fait même amener plusieurs bénéfices à votre suivi chiropratique. Cet article vous donnera une foule de conseils à mettre en pratique afin de bonifier vos rencontres chez votre chiropraticien tout en rendant votre quotidien encore plus équilibré.

La santé globale : à la base du bien-être

Rares sont ceux qui seraient prêts à dire non à un état de bien-être général, n’est-ce pas? Avec un suivi en chiropratique, la santé globale est une priorité et en conséquence, chaque action posée par votre chiropraticien sera orientée dans cette direction.

À tort, on pense que la santé se définit par l’absence de maladie. Nous pensons plutôt qu’elle devrait se définir par l’optimisation de tous les systèmes du corps humain, comme par exemple :

  • Système neuromusculosquelettique
  • Système cardiovasculaire
  • Système pulmonaire
  • Système endocrinien
  • Système sanguin
  • Système visuel
  • Système digestif
  • La peau
  • Système urinaire
  • Système reproducteur
  • Les dimensions affectives et psychologiques
  • etc.

Saviez-vous que tous ces systèmes sont contrôlés par le système nerveux? Sans lui, les connexions essentielles au fonctionnement des autres systèmes sont impossibles, ce qui peut avoir un impact important sur la santé. Un système nerveux qui ne fonctionne pas optimalement peut nuire au fonctionnement des autres systèmes. Le maximiser serait donc un atout indéniable afin de vous permettre d’avoir une santé globale à toute épreuve. Voici donc des conseils à mettre en pratique si vous souhaitez que votre système nerveux crée les meilleures connexions possibles, principalement entre vos ajustements chiropratiques.

1. Suivez les recommandations de votre chiropraticien

Lorsque débute le suivi chiropratique, votre chiropraticien vous propose une fréquence de traitement directement en lien avec votre condition. Cette recommandation est basée sur les résultats d’examens physiques effectués, son diagnostic chiropratique et son jugement clinique. Pour maximiser le fonctionnement du système nerveux et optimiser la condition de santé pour laquelle vous consultez, il est important de prendre en considération les recommandations concernant la fréquence des traitements. En prenant la décision d’investir dans votre santé, vous devez penser à long terme et suivre les conseils qui vous sont donnés. Votre santé vous remerciera!

2. Soyez actifs

Nous vous le répétons et les preuves sont faites; l’activité physique quotidienne est essentielle. Prenez en considération tout ce qui peut être obtenu lorsque vous bougez quotidiennement :

  • Augmentation de l’énergie, donc plus d’entrain et d’endurance.
  • Meilleur sommeil, donc meilleure récupération et amélioration du bien-être général.
  • Maintien de la mobilité articulaire, ce qui permet au système nerveux d’acheminer les bonnes informations aux structures impliquées.
  • Maintien des fonctions cardiovasculaires, ce qui favorise un bon apport sanguin partout dans le corps, y compris aux structures neurologiques. N’oubliez pas! Un système nerveux qui fonctionne bien, c’est la clé!
  • Stimule le système musculaire, donc aide à supporter le corps tout au long de la journée tout en apportant la force nécessaire aux différentes régions qui en ont besoin.
  • Aide à la motricité globale, ce qui encore une fois, permet au corps de maintenir son état de santé optimal et récupérer plus facilement de certaines conditions.
  • Procure un état de bien-être, car les endorphines sécrétées pendant l’activité physique sont les hormones qui sont directement liées à un état de joie et de bonheur.
  • Suite à un ajustement chiropratique, il est possible que certaines courbatures apparaissent. En pratiquant une activité physique régulièrement, votre corps est stimulé de façon continue, ce qui peut aider à éviter les courbatures.

Votre chiropraticien vous recommande d’être actif, mais vous avez peine à bouger? Pensez à votre enfant qui pousse derrière et qui aura besoin de vous longtemps, ça devrait suffire à vous convaincre!

3. Buvez, encore et toujours!

Tout comme l’activité physique, la recommandation de s’hydrater quotidiennement n’a plus de preuve à faire. En étant hydraté, vous allez chercher des bénéfices importants pour votre santé globale, tout en favorisant une bonne récupération suite à votre traitement chiropratique :

  • Les disques intervertébraux sont constitués en majorité d’eau. Il est donc important qu’ils soient hydratés, comme le reste des autres structures du corps humain. Pensez-y : en ayant un impact sur vos articulations intervertébrales, l’eau vous aide à avoir un meilleur mouvement et une meilleure posture!
  • En buvant une quantité adéquate d’eau, vous évitez l’apparition de différents effets liés à la déshydratation :

4. Favorisez une bonne posture

Bien que de plus en plus de familles consultent en chiropratique afin d’optimiser leur santé, les conditions de douleur constituent encore une bonne proportion des visites en clinique.

Partant du fait que plusieurs conditions de santé sont dues à des troubles posturaux, votre chiropraticien abordera sans doute le sujet avec vous. Optimiser un suivi chiropratique passe inévitablement par la mise en place de postures plus équilibrées, puisque si ces dernières sont en cause dans la condition qui est traitée, un changement doit être fait afin d’éviter la persistance et maximiser les chances de guérison. La santé globale, c’est une combinaison de facteurs qui, additionnés les uns aux autres, créent des résultats exceptionnels.

Chaque situation peut être améliorée et/ou adaptée afin de permettre au corps d’exprimer son plein potentiel. Comme vous avez pu le constater, il en va de même pour le suivi chiropratique et les conseils de base demeurent toujours sensiblement les mêmes.

La plupart du temps il ne s’agit que du gros bon sens, alors nous vous mettons au défi de les intégrer d’ici votre prochain ajustement!

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5 actions à faire à la maison pour maximiser les effets de votre traitement chiropratique

Quand on investit temps et argent dans des soins chiropratiques, il est bien normal de vouloir optimiser les résultats obtenus. Parce que oui, entre les ajustements que vous recevez, il est possible pour vous de mettre en place diverses actions qui vous aideront à en maximiser les effets.

Qui dirait non à …

  • Un soulagement plus rapide et plus durable?
  • Une réduction des effets secondaires comme les courbatures?
  • Une guérison plus profonde?
  • Une amélioration de l’état de santé globale?

Bien sûr, les effets peuvent varier d’une personne à l’autre.

Dans cet article, nous vous partageons 5 actions à intégrer dans votre quotidien pour optimiser les résultats de votre ajustement chiropratique.

1. Les exercices d’étirement, de renforcement et de stabilisation musculaires

Même si à lui seul l’ajustement chiropratique entraîne des changements positifs importants du système musculo-squelettique, l’ajout d’exercices d’étirement et de renforcement précis favorisera un rétablissement plus rapide.

Les étirements doux libèrent les tensions et augmentent l’amplitude de mouvement des articulations, ce qui impacte automatiquement sur la douleur et les sensations de raideurs.

Les exercices de renforcement et de stabilisation musculaires seront précieux durant la seconde phase de votre traitement, la phase de correction. Une fois que la douleur est réduite, les ajustements de votre chiropraticien viseront à corriger la source de votre problème.

Les exercices de renforcement et de stabilisation contribueront à solidifier cette correction et réduiront les risques de rechute.

Il est important d’effectuer les exercices adéquats, et ce, au bon moment.

Dans un plan de traitement, l’improvisation n’est pas la bienvenue.

Prenez le temps d’en discuter avec votre chiropraticien, il vous conseillera les exercices adaptés à votre situation.

2. Les thérapies complémentaires à la maison

L’ajustement chiropratique redonne du mouvement aux articulations et optimise le fonctionnement du système nerveux. Les muscles pourront alors se relâcher le corps entamera un processus d’autoguérison.

On peut toutefois aider le corps à accomplir ce travail de guérison en massant la musculature tendue et en drainant le système lymphatique.

Demandez à un proche de vous masser les régions tendues ou faites-vous un automassage. Vous pouvez aussi avoir recours à des outils de massage comme des rouleaux de mousse, un masseur électrique à percussion ou des balles de massage (de simples balles de tennis peuvent convenir).

Voici un schéma des directions pour drainer la lymphe vers les chaines de ganglions. Faites des mouvements fermes. Demandez à votre chiropraticien si le drainage lymphatique vous convient, puisqu’il existe quelques contre-indications.

Drainage lymphatique

3. Hydratation

Ce n’est sûrement pas la première fois qu’on vous mentionne l’importance de boire suffisamment d’eau chaque jour. Le manque d’hydratation peut être la cause de nombreux symptômes, dont les maux de tête et la fatigue.

Les traitements chiropratiques entraînent souvent le relâchement de toxines logées dans les muscles. En buvant suffisamment d’eau, vous permettez à votre corps d’éliminer plus facilement ces toxines et favorisez ainsi un processus de guérison fluide. Moins de toxines veut aussi dire moins de douleurs et d’inconfort.

En plus d’aider votre corps à évacuer les toxines, l’eau aidera votre colonne vertébrale à retrouver structure et mouvement.

Les disques intervertébraux sont en grande partie constitués d’eau. Ils sont nourris en nutriments et en eau grâce à un système de pompage lié au mouvement articulaire.

Les ajustements chiropratiques (qui visent le retour du mouvement articulaire optimal) ET l’hydratation adéquate permettent donc aux disques de recevoir une quantité suffisante d’eau et de nutriments.

Une quantité équivalente à 1 litre d’eau par 50 lbs de poids est recommandée. Ajoutez-y une mini pincée de fleur de sel (et non du sel de mer) à votre eau pour favoriser la réabsorption intestinale.

4. Les produits de santé naturels et les huiles essentielles

Certains produits de santé naturels* peuvent être utilisés en complément au traitement chiropratique.

Par exemple, la vitamine D, le magnésium, le zinc, la glucosamine et le CBD sont souvent intéressants pour réduire les douleurs. Tandis que les omégas-3, les curcuminoïdes et la coenzyme Q10 peuvent aider à réduire l’inflammation.

Les huiles essentielles* en utilisation topique (application sur la peau d’une version diluée avec des huiles végétales) se trouvent à être des atouts intéressants pour réduire les tensions musculaires, diminuer la douleur et l’inflammation ou soutenir la réparation des tissus conjonctifs (comme les ligaments) endommagés.

L’huile essentielle de menthe poivrée est un classique quand vient le temps de soulager un muscle endolori. Même chose pour la gaulthérie (ou thé des bois) et la lavande.

Les huiles essentielles d’encens, de copaïer ou de curcuma ont certaines propriétés antiinflammatoires. Quant à l’huile essentielle de citronnelle (lemongrass), elle est traditionnellement utilisée pour soutenir la guérison des tissus.

Lisez toujours les étiquettes.

5. Observation et adaptation de l’environnement et des habitudes

Une des actions les plus payantes est bien celle d’observer votre environnement afin de déterminer quelles habitudes peuvent aggraver votre problème ou nuire à votre rétablissement.

Une fois ces habitudes démasquées, vous devrez trouver des solutions concrètes pour en réduire l’intensité ou la fréquence.

Voici quelques exemples :

  • Une douleur au poignet peut être aggravée par une mauvaise ergonomie au bureau. L’utilisation d’un tiroir à clavier ou d’un tapis de souris avec support pour les poignets pourraient favoriser un rétablissement plus rapide.
  • Vous avez mal au bas du dos chaque fois que vous pelletez. Adaptez votre technique de pelletage ou engagez quelqu’un pour le faire à votre place.
  • Vous vous levez chaque matin avec des tensions au cou. Votre oreiller est-il adapté à votre morphologie? Votre matelas pourrait-il être trop ferme ou trop moelleux?
  • Une douleur au tibia s’installe tranquillement depuis que vous avez repris la course à pied. Avez-vous les souliers adéquats selon votre type de pied? Avez-vous une bonne technique de course? Avez-vous augmenté la fréquence ou la durée de vos entraînements?
  • Vous souffrez d’une douleur entre les omoplates et une tension dans la nuque. Combien de temps passez-vous à regarder votre téléphone mobile? Dans quelle posture êtes-vous assis sur le divan? Avez-vous tendance à vous affaisser?

 

Discutez avec votre chiropraticien des habitudes qui pourraient être liées à votre problème afin de mieux cibler celles que vous devrez modifier en priorité.

Prenez le temps d’analyser quelles actions pourraient compléter votre traitement chiropratique. Vous en ressortirez assurément gagnant; que ce soit en raison d’un soulagement plus rapide, d’une guérison plus en profondeur ou simplement de l’adoption d’un style de vie plus sain.

*Il existe des contre-indications à l’utilisation de certains produits de santé naturels et huiles essentielles. Il est très important de consulter un professionnel de la santé comme votre chiropraticien ou votre pharmacien pour connaître les suppléments et huiles essentielles qui conviennent à votre situation, particulièrement si vous prenez des médicaments ou souffrez de problèmes de santé sous-jacents.

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L’inflammation chronique : la découverte qui pourrait révolutionner le domaine de la santé

Dans cet article, vous apprendrez ce qu’est l’inflammation chronique, comment elle se forme et quelles en sont les conséquences sur la santé globale. Vous découvrirez aussi de quelle façon il est possible de la réduire et quel en sont les bénéfices.

Inflammation. On entend souvent ce mot en imaginant un petit diable qui nous gratouille l’intérieur avec son trident. Même si l’inflammation est un essentiel dans l’arsenal de défense du corps, elle peut néanmoins devenir nuisible à la santé.

Il aura fallu plus de cent ans aux chercheurs scientifiques pour prouver ce que le père de la chiropratique, D.D Palmer, avait avancé en 1914 : l’inflammation est présente dans la plupart des maladies, sinon toutes, sous sa forme aiguë ou chronique.

En effet, la science est rendue là : l’inflammation devient le nouveau nerf de la guerre! L’inflammation chronique a été associée à presque tous les problèmes de santé : diabète, arthrite, maladies cardiovasculaires, dépression, obésité, asthme, allergies, Alzheimer, Parkinson, cancer, douleurs chroniques, maux de dos, infections fréquentes, etc.

L’inflammation chronique a même été pointée du doigt en ce qui a trait au vieillissement prématuré et à la dégénérescence des tissus causant une perte d’élasticité des tissus de la peau et des artères ou causant des maladies comme l’ostéoporose ou l’arthrose. D’ailleurs, « une étude récente sur la longévité extrême conclut qu’un taux d’inflammation très faible dans l’organisme est le plus puissant prédicteur d’espérance de vie au-delà de 100 ans ». (1)

Comment ça marche?

L’inflammation est une réponse normale du système immunitaire devant une menace : agent pathogène, corps étranger, blessure, toxine, etc. Il s’agit d’un moyen de défense très efficace du corps qui vise d’abord à cerner et éliminer la menace (phase aiguë), puis à nettoyer la région et réparer les tissus (phase de résolution).

La phase aiguë est la plus connue puisqu’elle est visible, mais surtout ressentie. Le système immunitaire déclenche une cascade chimique qui entraînera sur son passage de la chaleur, de la douleur, de l’enflure et de la rougeur. L’inflammation aiguë apparaît et disparaît en quelques jours.

Puis viendra la phase de résolution, qui induit la présence de cellules immunitaires dont la mission est de nettoyer le site en vue de la réparation des tissus lésés. L’accomplissement de cette phase est essentiel dans le processus de guérison, sans quoi l’inflammation chronique risque de s’installer.

L’élément-clé de cette réussite est le retrait de la menace sous-jacente (le virus, la toxine, la blessure mécanique, etc.). Tant que la menace sera présente, le corps continuera d’alimenter le processus inflammatoire, occasionnant par le fait même un état inflammatoire chronique dont les conséquences peuvent être désastreuses.

Est-ce que je souffre d’inflammation chronique?

L’inflammation chronique, contrairement à l’inflammation aiguë, se fait plutôt discrète, jusqu’à ce qu’elle occasionne une dysfonction. Il est tout de même possible de détecter de façon précoce un état inflammatoire chronique par des bilans sanguins. Un résultat anormal de l’un de ces paramètres peut indiquer un état inflammatoire : insuline, cholestérol, triglycérides, protéine C réactive, glucose, vitesse de sédimentation, hémoglobine. Une baisse du taux de vitamine D peut aussi être un indice. Une consultation avec un médecin pourra vous éclairer, il est le seul à pouvoir prescrire et analyser un bilan sanguin.

Mais il n’est pas toujours nécessaire de faire une prise de sang pour soupçonner qu’une inflammation chronique est installée. Les symptômes suivants indiquent souvent un état inflammatoire :

  • Allergies et asthme
  • Hypertension artérielle
  • Fatigue et léthargie
  • Problèmes de peau (acné, sécheresse, rosacée, couperose…)
  • Syndrome du côlon irritable
  • Troubles de l’équilibre
  • Troubles digestifs (alternances de constipation et diarrhée, gaz, ballonnements, crampes…)
  • Congestion nasale
  • Infections fréquentes
  • Troubles musculo-squelettiques (raideurs, douleurs articulaires…)
  • Souffle court

Qu’est-ce qui aggrave l’inflammation chronique?

L’inflammation peut être causée ou aggravée par de nombreux facteurs.

  • Une diète pro-inflammatoire. De nombreux aliments ont été qualifiés de pro-inflammatoires. On parle notamment du sucre (particulièrement le sucre raffiné), des gras trans, des glucides simples (grains non entiers) et certaines huiles (de maïs, de soya), particulièrement si elles sont rancies. Un mauvais ratio oméga-3/oméga-6 a aussi été désigné comme un facteur favorisant l’inflammation. L’inflammation est également entretenue par l’acidité du corps; les aliments acides sont donc à éviter : boissons gazeuses, bonbons sûrs, etc. Le sucre est le meilleur ami de l’inflammation : il stimule la production de cytokines par les cellules immunitaires, provoque le relâchement d’interleukines inflammatoires par le pancréas et exagérerait la réponse inflammatoire d’une infection empirant ainsi les symptômes.
  • Dysbiose. Il s’agit d’un déséquilibre de la flore intestinale ou microbiome. Nos intestins sont colonisés par de bonnes bactéries, qui contribuent au maintien de notre santé. Pour de multiples raisons (la prise d’antibiotiques, par exemple), nos bonnes bactéries peuvent diminuer et laisser plus de place à de mauvaises bactéries, ce qui occasionne plusieurs problèmes intestinaux, dont des parois perméables (« leaky gut ») et enflammées.
  • Le stress. Le stress, particulièrement lorsqu’il est chronique, a été associé à une augmentation des marqueurs inflammatoires dans le sang. Le stress a un effet pervers sur le système nerveux et par conséquent sur le système hormonal. Il entraîne un déséquilibre chimique du corps en plus de favoriser l’oxydation et la production de radicaux libres.
  • Le manque de sommeil. Il a été démontré que le manque de sommeil réparateur (dont toutes les phases sont respectées) augmente le taux de cytokines inflammatoires et la douleur.
  • Sédentarité. Rester assis plus de huit heures par jour augmente de 90 % les chances de développer un diabète de type 2. C’est donc dire que la sédentarité augmente la résistance à l’insuline, l’un des facteurs principaux causant l’inflammation.
  • Intolérances alimentaires. Les produits laitiers, le gluten, les noix et les œufs sont les aliments les plus susceptibles de causer des intolérances alimentaires. Lorsque nous consommons un aliment auquel nous sommes intolérants, ne serait-ce qu’un peu, le système immunitaire réagit et déclenche le processus inflammatoire considérant cet aliment comme un corps étranger.
  • Toxines environnementales et alimentaires. Les toxines que l’on retrouve dans l’alimentation ou dans l’environnement, comme les pesticides, la pollution atmosphérique, les perturbateurs endocriniens, les parfums ou les additifs alimentaires, s’accumulent et stimulent le système immunitaire, ce qui garde le corps réactif de façon permanente.
  • Mauvaise posture. Une mauvaise posture entraîne un déséquilibre biomécanique qui cause des dysfonctions articulaires et des contractions musculaires. Les troubles neuro-musculo-squelettiques qui en découlent sont des menaces constantes pour le corps. Celui-ci aura recours à l’inflammation pour tenter de réparer les tissus endommagés.
  • Blessures non traitées. Toutes les anciennes blessures dont les tissus n’ont pas été nettoyés et réparés correctement pourraient favoriser une inflammation chronique. Comme nous l’avons vu plus tôt, l’inflammation est un mécanisme de défense et de guérison normal du corps, mais encore faut-il que la menace initiale (la blessure) soit d’abord traitée.
  • Prise prolongée d’anti-inflammatoire non stéroïdien. Vous avez bien lu, les anti-inflammatoires non stéroïdiens occasionnent eux-mêmes de l’inflammation lorsqu’ils sont pris sur de longues périodes. Paradoxal, n’est-ce pas?
  • Tabac/alcool/drogue. Ces substances sont nocives pour la santé et favorisent aussi un état inflammatoire chronique.

Contrer l’inflammation à l’aide de la chiropratique

Votre chiropraticien peut vous aider à combattre l’inflammation de trois façons.

  1. En optimisant votre système nerveux. Les cellules nerveuses sont particulièrement sensibles à l’inflammation. Les soins chiropratiques équilibrent l’activité du système nerveux et améliorent la fonction du cerveau. Un système nerveux qui fonctionne à son plein potentiel facilite la communication entre le corps et le cerveau, aide les systèmes endocrinien (hormones) et immunitaire à faire leur travail adéquatement et favorise la guérison. Il a été démontré que les ajustements chiropratiques diminuent certains marqueurs inflammatoires dans le sang (protéine C réactive, TNF, cytokines et interleukine-6).
  2. En améliorant la fonction biomécanique. Les chiropraticiens sont reconnus depuis plus de 100 ans pour leur impact positif sur le système neuro-musculo-squelettique. Ils évaluent, détectent et traitent les troubles biomécaniques de toutes les articulations du corps, incluant la colonne vertébrale. En plus d’améliorer la posture et donc de réduire les stress mécaniques potentiels, les soins chiropratiques éliminent à la source de nombreuses menaces pouvant être à l’origine de l’inflammation.
  3. En prodiguant des conseils sur le style de vie. Les docteurs en chiropratique prônent l’adoption de saines habitudes de vie depuis longtemps. Ils savent qu’une saine alimentation couplée à l’activité physique, à un sommeil adéquat, à des soins chiropratiques et à une diminution du stress est la meilleure façon de conserver la santé et une bonne qualité de vie. Ils sont formés pour guider leurs patients vers un style de vie plus sain.

Nos 6 astuces anti-inflammatoires

  1. Adopter une diète anti-inflammatoire. On privilégie les légumes et les fruits. On choisit des huiles saines comme les huiles d’olive, de pépins de raisin, d’avocat et de noix de coco. On consomme des oméga-3, surtout ceux d’origine animale (poisson sauvage). On introduit des aliments probiotiques comme le kimchi, le kombucha ou la choucroute pour nourrir ses bonnes bactéries. On retire les aliments susceptibles de créer des intolérances (gluten, produits laitiers, noix, œufs) pour une période d’au moins un mois, puis on les réintègre un à la fois et notant les changements. On bannit les produits transformés, le sucre, les gras trans, la malbouffe.
  2. Bénéficier de soins chiropratiques. Pour leurs effets biomécaniques, neurologiques et pour les précieux conseils de notre chiropraticien.
  3. Faire de l’activité physique. Bouger est essentiel et l’entraînement par intervalles à haute intensité est particulièrement bénéfique pour contrer l’inflammation. On veille toutefois à avoir une bonne période de récupération, sans quoi on risque de créer un effet contraire. Si on se blesse, on se fait examiner immédiatement par notre chiropraticien pour éviter un foyer inflammatoire.
  4. Choisir les bons suppléments. Dans tous les cas d’inflammation (aiguë ou chronique), on opte pour un supplément en oméga-3. L’ostéopathe américain reconnu Joseph Mercola recommande particulièrement l’huile de krill. En hiver, on comble le manque de soleil avec un supplément de vitamine D3 (2000 UI/jour chez l’adulte). Pour contrer les effets du stress et en présence d’inflammation aiguë, on supplémente avec du magnésium. Les probiotiques contribuent au maintien d’un microbiome sain et équilibré. Si l’on souffre d’inflammation chronique, la curcumine et la griffe du diable ont démontré des bénéfices substantiels dans plusieurs recherches. On s’informe auprès de son pharmacien ou d’un conseiller en produits de santé naturels.
  5. Gérer le stress. La méditation, la prière, l’activité physique, les arts et les activités sociales sont de bonnes façons de réduire le stress quotidien.
  6. Adopter un style de vie sain. On se fixe un horaire de sommeil et on s’y conforme 7 jours sur 7. On élimine les substances toxiques de ses cosmétiques, produits ménagers, parfums, sent-bon, etc. On évite les drogues : alcool, médicament (on consulte notre pharmacien), tabac.

L’inflammation chronique est associée à pratiquement toutes les maladies connues. Avec toutes les recherches scientifiques qui convergent vers cette même conclusion, gageons qu’on n’a pas fini d’en entendre parler… et c’est tant mieux!

 

(1) Roy, Richard A., Jean P. Boucher, et Alain S. Comtois. « Inflammatory Response Following a Short-Term Course of Chiropractic Treatment in Subjects with and without Chronic Low Back Pain. » Journal of Chiropractic Medicine 9.3 (2010): 107–114. PMC.
(2) Robertina Giacconi, Marco Malavolta, Laura Costarelli, Mauro Provinciali, « Cellular Senescence and Inflammatory Burden as Determinants of Mortality in Elderly People Until the Extreme old age», EBioMedicine, Volume 2, Issue 10, Octobre 2015, p. 1316-1317.
(3) Balducci, S. et coll., «Anti-inflammatory effect of exercise training in subjects with type 2 diabetes and the metabolic syndrome is dependent on exercise modalities and independent of weight loss», Nutrition, Metabolism and Cardiovascular Diseases, Volume 20, Issue 8, p. 608 – 617.
(4) Lee et coll., «Impact of systemic inflammation on the relationship between insulin resistance and all-cause and cancer-related mortality», Metabolism Clinical and Experimental, publié en ligne le 27 novembre 2017.
(5) Minihane, A., Vinoy, S., Russell, W., Baka, A., Roche, H., Tuohy, K., Calder, P. (2015), « Low-grade inflammation, diet composition and health: Current research evidence and its translation. » British Journal of Nutrition, 114(7), 999-1012.
(6) Medzhitov, «Origin and Physiological Roles of Inflammation», Nature 454, 428–435 (24 July 2008).
(7) Medzhitov R. « Inflammation 2010: new adventures of an old flame.» Cell. 2010;140(6):771-6.
(8) Seaman DR, Palombo AD. « An Overview of the Identification and Management of the Metabolic Syndrome in Chiropractic Practice.» Journal of Chiropractic Medicine. 2014;13(3):210-219.
(9) Seaman, D.R. « The diet-induced proinflammatory state: a cause of chronic pain and other degenerative diseases». Journal of Manipulative Physiological Therapeutics. 2002;25:168-179.
(10) https://french.mercola.com/sites/articles/archive/2016/09/23/alimentation-inflammation.aspx (Tel que consulté le 1er décembre 2017)
(11) https://spinalresearch.com.au/simple-solutions-extinguish-inflammatory-conditions/ (Tel que consulté le 1er décembre 2017)
(12) https://www.acatoday.org/News-Publications/ACA-News-Archive/ArtMID/5721/ArticleID/155 (Tel que consulté le 1er décembre 2017)
(13) https://draxe.com/health/inflammation/inflammation-at-the-root-of-most-diseases/ (Tel que consulté le 1er décembre 2017)
(14) https://french.mercola.com/sites/articles/archive/2016/06/23/omega-3-arthrite.aspx (Tel que consulté le 1er décembre 2017)
(15) https://www.chiropractic.ca/blog/five-tips-for-reducing-chronic-inflammation/ (Tel que consulté le 1er décembre 2017)
(16) https://www.thejoint.com/arizona/phoenix/7th-ave-mcdowell-48018/what-your-chiropractor-knows-about-chronic-inflamm (Tel que consulté le 1er décembre 2017)
(17) https://www.ncmic.com/learning-center/articles/risk-management/clinical-risks/chronic-inflammation-and-the-chiropractic-practice/ (Tel que consulté le 1er décembre 2017)
(18) https://www.cleveland.com/lyndhurst-south-euclid/2014/06/chronic_inflammation_chronic_d.html (Tel que consulté le 4 décembre 2017)

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