Ajustements chiropratiques pour douleur au coccyx à L'atelier Santé, clinique chiropratique à Beloeil
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Douleur au coccyx ou coccydynie : comment s’en débarrasser

Les douleurs à la colonne vertébrale font souvent référence à la région cervicale ou la région lombaire. Cependant, d’autres zones peuvent être touchées et le coccyx en fait partie. Cette petite section située à la base de la colonne vertébrale n’est pas à négliger et peut être source de différentes douleurs. Dans cet article, vous découvrirez l’anatomie liée à la région du coccyx et les différentes causes de douleurs lui étant associées. Bonne lecture!

Coccyx : partie intégrante de la colonne vertébrale

La petite section terminale de la colonne vertébrale s’appelle le coccyx. Il est formé par la fusion de 4 vertèbres coccygiennes et est d’allure triangulaire, dont la base est située en haut et le sommet, en bas. Sa base s’articule avec le sacrum, qui, lui, s’articule aussi avec la 5e vertèbre lombaire.

Le coccyx serait considéré comme le vestige d’une queue que possédaient nos ancêtres et qui a disparu avec l’évolution de l’homme. En effet, avec la station debout, la queue des primates a perdu de son utilité, ce qui lui a valu sa disparition avec le temps.

L’articulation sacro-coccygienne est de type cartilagineuse, c’est-à-dire qu’elle est constituée de cartilage et est peu mobile. Elle n’est pas formée d’une capsule articulaire contenant du liquide synovial comme les autres articulations de la colonne vertébrale.

Bien que ce segment soit considéré comme un vestige et n’ait plus d’utilité, il est bien présent et, tout comme le reste de la colonne vertébrale, il peut faire partie de conditions neuromusculosquelettiques nécessitant un suivi particulier.

Coccyx et conditions communes

La douleur au coccyx (coccydynie) est plus fréquente qu’on le croit. Elle peut se présenter de différentes façons :

  • Douleur locale
  • Douleur irradiante aux fesses, d’un côté ou des 2 côtés
  • Douleur à la position assise
  • Douleur à la position debout
  • Douleur au passage de la position assise à la position debout

Plus fréquemment, la douleur est très localisée et à la position assise, l’inconfort est très présent. En conséquence, on tentera de s’asseoir d’un côté ou l’autre afin d’éviter un contact direct entre le coccyx et l’assise de la chaise sur laquelle on se retrouve.

La douleur au coccyx peut être causée de différentes façons. Les conditions neuromusculosquelettiques sont la plupart du temps impliquées :

1. Traumatisme direct

Les chutes sont des causes fréquentes de douleur au coccyx.

  • Chute dans les escaliers
  • Chute sur la glace
  • Chute pendant la pratique d’un sport

Afin de limiter les risques de chute, prenez note de certains conseils pratiques :

  • L’hiver, prenez l’habitude de porter des crampons sous vos bottes afin qu’ils mordent dans la glace et permettent une bonne adhérence.
  • Lorsque vous descendez les escaliers, utilisez la main courante pour vous supporter et vous donner un appui.
  • Chaussez-vous adéquatement lorsque vous pratiquez un sport. Les chaussures permettent un support à la cheville et au pied et favorisent une stabilité.

Dans un cas de traumatisme direct, une fracture du coccyx peut survenir. En conséquence, une évaluation de la condition est importante. Comme chaque condition nécessite son propre traitement, il est essentiel d’obtenir un diagnostic précis afin d’assurer un suivi approprié. Le chiropraticien, de par sa formation doctorale peut, encore une fois, évaluer, diagnostiquer et émettre des recommandations chiropratiques appropriées pour des conditions neuromusculosquelettiques.

2. Douleur d’origine lombosacrée

Parfois, la douleur localisée au coccyx peut provenir d’ailleurs. Le coccyx n’est donc pas impliqué directement. En conséquence, il est important de consulter un professionnel de la santé qui saura déterminer la cause exacte de la douleur. Puisqu’il est formé pour évaluer, diagnostiquer et traiter des conditions neuromusculosquelettiques, le chiropraticien pourrait très bien vous aider avec ce type de douleur.

Les articulations lombosacrées peuvent perdre de leur mobilité et devenir irritées, ce qui provoque une douleur locale ou une douleur irradiante au niveau du coccyx. Cette perte de mobilité peut être causée de différentes façons :

3. Accouchement

À l’accouchement, le passage de la tête de l’enfant dans le bassin peut causer un mouvement de l’articulation sacro-coccygienne. Il peut en résulter une douleur locale assez intense. Comme mentionné plus haut, l’articulation sacro-coccygienne est de type cartilagineuse, donc peu mobile, mais cela ne veut pas dire qu’elle ne peut pas bouger. Comme n’importe quelle articulation, lorsque le mouvement se perd, des douleurs peuvent apparaître. Dans ce cas précis, elles seront présentes principalement à la position assise.

Suivi d’une douleur au coccyx

La chiropratique peut aider des conditions comme celles touchant la mobilité du coccyx :

Manipulations de l’articulation sacro-coccygienne

Selon les techniques utilisées, la manipulation peut être externe ou interne. Puisque chaque condition diffère, le chiropraticien pourra déterminer quelle technique est la plus appropriée pour celle de son patient.

Travail des tissus mous

La région du coccyx comporte plusieurs types de tissus mous :

  • Muscles
  • Ligaments
  • Tendons

Certains s’attachent directement sur le coccyx, d’autres, non. Comme pour les autres régions anatomiques, la chiropratique ne considérera pas seulement la région affectée. Elle regardera les tissus environnants puisqu’elle tient compte de l’ensemble du corps humain.

Manipulations des articulations connexes

En lien avec une condition ciblant le coccyx, la chiropratique portera également une attention particulière aux articulations sacro-iliaques, aux articulations vertébrales, aux articulations des hanches et à l’articulation de la symphyse pubienne.

Conseils pour soulager la douleur

Dans certains cas, des conseils peuvent être donnés :

  • Utiliser un beigne pour s’asseoir afin d’éviter un contact direct sur le coccyx
  • Glace
  • Exercices d’étirements

Thérapies complémentaires

Certaines thérapies complémentaires comme les ultrasons (ondes) et la neurostimulation électrique transcutanée (TENS) peuvent être utilisées pour la gestion de la douleur. Conjointement aux manipulations et aux recommandations données, elles peuvent permettre une récupération efficace de la douleur.

Puisque la santé globale est au cœur de la vision chiropratique, votre consultation vous aidera à récupérer suite à la douleur pour laquelle vous consultez. Elle vous guidera également sur la marche à suivre pour éviter les récidives et maintenir un état de santé optimal. À bientôt!

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3 conseils pratiques pour combattre les maux de dos

La lombalgie, communément appelée mal de dos, touche une grande partie de la population mondiale. Les jeunes comme les moins jeunes seront aux prises avec un épisode de mal de dos au moins une fois dans leur vie, ce qui fait de cette condition celle causant le plus haut taux d’invalidité dans le monde. Dans cet article, vous découvrirez une foule d’astuces naturelles et sensées qui vous aideront à soulager la douleur lombaire.

Lombalgie, mal de dos et douleur lombaire : c’est quoi au juste?

Vous l’aurez sans doute deviné : ces trois termes ou expressions définissent la même chose. La douleur lombaire peut se traduire comme ceci :

  • Douleur ou inconfort ciblant la région lombo-sacrée
  • Douleur ou inconfort ciblant la région des crêtes iliaques, ou même plus bas
  • Douleur ou inconfort localisé sous le rebord des côtes inférieures
  • Douleur ou inconfort localisé au-dessus des plis fessiers.

Dans chacune de ces situations, une irradiation peut être présente ou non dans le membre inférieur.

Comme mentionné en introduction, la lombalgie est très fréquente. Elle représente d’ailleurs le trouble neuromusculosquelettique le plus fréquent. Plusieurs causes peuvent lui être attribuables :

  • La posture de travail
  • La posture de sommeil
  • L’obésité
  • Le tabagisme
  • L’âge
  • La mauvaise pratique d’un sport
  • La manipulation de charges trop lourdes
  • La mauvaise utilisation de son centre de gravité de façon répétitive
  • Le port de mauvaises chaussures
  • Les facteurs psychosociaux (stress au travail, stress à la maison, charge mentale, milieu de vie difficile)

Les causes sont nombreuses, ce qui favorise un risque accru au sein de la population, n’est-ce pas?

Voici donc comment vous pourriez aider et même prévenir l’apparition de la lombalgie pour vous et les membres de votre famille.

ASTUCE #1 : Consultez votre chiropraticien régulièrement

Le chiropraticien est formé pour évaluer, diagnostiquer et traiter des conditions neuromusculosquelettiques et la lombalgie en fait partie. Les ajustements chiropratiques permettent de redonner – ou maintenir – une mobilité articulaire optimale aux articulations de la région lombaire. En conséquence, la douleur peut être diminuée et l’apparition d’une récidive ou d’une nouvelle douleur peut être éloignée dans le temps.

Outre les ajustements chiropratiques, votre chiropraticien pourra vous donner une multitude de conseils et recommander différents changements dans vos habitudes de vie :

  • Adapter votre posture de travail à l’ordinateur
  • Modifier votre posture de sommeil
  • Donner des exercices de renforcement ou d’étirement selon la condition et la cause précises de votre douleur au dos
  • Adapter votre poste de travail
  • etc.

Consulter en chiropratique, ça va au-delà de la douleur! Pensez à voir votre santé d’un point de vue global!

ASTUCE #2 : soyez actifs

Les preuves concernant les bienfaits de l’activité physique au quotidien ne sont plus à faire. Outre celles qu’on lui attribue le plus souvent, comme l’amélioration des capacités cardiovasculaires, l’augmentation de l’énergie et de la qualité du sommeil ou le maintien d’un état mental sain, il faut maintenant penser à l’activité physique comme un moyen de soulager la douleur et prévenir les blessures.

En bougeant régulièrement, vous permettez à votre corps de poursuivre la guérison entamée en chiropratique. Il devient plus mobile et la musculature s’adapte, ce qui peut réduire le risque de récidives.

Saviez-vous que l’activité physique aide à la libération des endorphines? Ces hormones sont les hormones du bien-être et elles aident à soulager la douleur. Un 2 pour 1, quoi demander de mieux? Vous serez toujours gagnants à être actifs, c’est garanti!

Évidemment, en période de grosse douleur, l’activité physique peut ne pas être recommandée. En consultant votre chiropraticien, il sera en mesure de déterminer ce qui est bon ou non pour vous, selon votre condition et vos objectifs de santé. Le repos peut aider temporairement, mais plus tôt l’activité reprendra, le mieux ce sera.

ASTUCE #3 : écoutez votre corps

Le corps humain est une machine exceptionnelle. Les athlètes sont la preuve même qu’il est capable d’accomplir de grandes choses. Il en va de même pour la période entourant la grossesse chez la femme. Ces exemples nous rappellent que certaines situations nous font entrer dans un état de douleur. Si cet état est parfois inévitable comme lors de l’accouchement, il est loin d’être essentiel au quotidien. En conséquence, masquer une douleur ne devrait jamais être la première option à envisager et voici pourquoi :

  • La douleur doit être perçue comme un signal d’alarme. Si elle est présente, cela signifie qu’il y a un déséquilibre dans l’expression du plein potentiel du corps humain.
  • Une douleur qui persiste peut entraîner une adaptation pour le corps humain : certains muscles se contractent et d’autres s’étirent afin de tenter de ramener la situation à la normale. Cet état d’adaptation n’est pas idéal, puisqu’il engendra potentiellement des douleurs collatérales.
  • Plus le corps est en déséquilibre, plus le risque de blessures augmente. Ce principe ne s’applique pas seulement pour les douleurs au dos, mais pour le corps humain entier.

N’oubliez pas ceci : en évitant de reconnaître une douleur, vous placez votre corps dans une situation de conflit entre la santé globale et l’état douloureux.

Le résultat : vous n’écoutez pas vos limites. Cela nous amène à vouloir vous faire réfléchir au pourquoi il devrait en être ainsi. Qu’avez-vous à prouver? Que retirez-vous d’une douleur au dos? Pourquoi attendez-vous d’être incapable de vous lever de votre lit avant de remédier à la situation?

Les enjeux psychosociaux prennent une place importante de notre mode de vie et ils ne sont pas à négliger. Dans cette ère où la tendance au bien-être prend de plus en plus de place, pensez à vous écouter. Vous, ainsi que ceux qui poussent derrière vous, serez fiers de vivre optimalement, sans douleur ni tracas!

 

Sources, telles que consultées le 1er mars 2023
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29573870/
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1779012321000243

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Découvrez une cause commune de douleur au cou

Avec les douleurs lombaires, les douleurs cervicales représentent un motif de consultation très fréquent en chiropratique. L’origine de ces douleurs est souvent liée au système neuromusculosquelettique. Dans cet article, vous découvrirez une cause insoupçonnée associée à votre douleur au cou.

Le cou : anatomie 101

Au point de vue neuromusculosquelettique, le cou est constitué de plusieurs structures :

  1. Vertèbres (7)
  2. Muscles
  3. Disques intervertébraux
  4. Ligaments
  5. Nerfs

Chacune de ces structures a un rôle précis dans le fonctionnement optimal de la région cervicale. Parmi celles-ci, la vertèbre est d’une importance capitale et il est primordial de connaître ses principales parties.

Les facettes articulaires contribuent au mouvement puisqu’elles permettent à chaque vertèbre de bouger en synergie avec celle qui est située au-dessus et au-dessous d’elle. Chaque vertèbre possède 4 facettes articulaires au total, soit 2 supérieures et 2 inférieures, de chaque côté. En chiropratique, il n’est pas rare d’émettre un diagnostic qui implique les facettes articulaires comme étant la cause de la douleur au cou.

Comment la facette articulaire peut-elle donner mal au cou?

Plus souvent qu’autrement, les douleurs au cou sont associées à différentes causes comme celles-ci :

  • Spasme musculaire
  • Arthrite (généralement arthrose)
  • Spondylose cervicale
  • Sténose cervicale du canal rachidien
  • Hernie discale
  • Lésions musculaires et ligamentaires
  • Fibromyalgie

Plus rarement, on entend parler des facettes. Cependant, lorsqu’elles deviennent irritées, elles sont impliquées dans une bonne partie des douleurs au cou. Voici un résumé de la cascade d’évènements menant à leur irritation et donnant un diagnostic chiropratique d’irritation facettaire :

  1. Stress vertébral (ex. : mauvaise posture de travail, mauvaise posture de sommeil, traumatisme, mouvement répétitif)
  2. Réaction du système nerveux (transmission d’informations entre la région impliquée et le cerveau)
  3. Adaptation du corps (inflammation, modification de la posture, spasme musculaire)
  4. Diminution des amplitudes de mouvements cervicales (l’adaptation du corps entraîne une diminution des capacités de mouvement)
  5. Irritation des facettes articulaires (l’inflammation et la perte de mouvement créent l’irritation)
  6. Apparition de la douleur cervicale (résultat de cette cascade d’évènements)

Cette cascade est très fréquemment rencontrée dans nos cliniques et le patient peut se présenter avec ces symptômes :

  • Raideurs cervicales
  • Cou bloqué (incapacité de mouvement)
  • Douleur/pincement lors du mouvement cervical
  • Douleur au repos
  • Posture antalgique (posture adoptée pour limiter la douleur)
  • Spasmes musculaires
  • Douleur locale et précise
  • Douleur diffuse et irradiante (dans ce cas, il est question d’un syndrome facettaire plutôt qu’une irritation facettaire)

Plusieurs conditions créant des douleurs au cou peuvent reproduire les mêmes signes et symptômes que celles associées à l’irritation facettaire. Pour cette raison, il est essentiel de consulter un professionnel, comme le chiropraticien, qui saura déterminer avec précision la cause exacte des douleurs pour lesquelles le patient se présente à lui. Cet élément est primordial, puisque si l’on associe un mauvais diagnostic à une douleur, le traitement risque de ne pas être optimal.

Comment conclure à un diagnostic chiropratique d’irritation facettaire?

Lors de votre visite, votre chiropraticien commencera en vous posant des questions précises quant à votre douleur au cou:

  • Depuis combien de temps la douleur est présente
  • Comment la douleur est apparue
  • Quel mouvement reproduit la douleur
  • De quelle Intensité est la douleur
  • Où se situe la douleur
  • Quelle est la fréquence de la douleur

Les réponses à ces questions orienteront le chiropraticien dans la suite de sa rencontre. Il fera ensuite un examen physique complet afin d’approfondir la prise d’informations :

  • Amplitudes de mouvement cervicales
  • Examen orthopédique (l’examen orthopédique est spécifique à chaque région et chaque test vise à reproduire la douleur en stimulant une structure anatomique précise. Des tests visant à reproduire des douleurs d’origine facettaire seront donc faits pour déterminer si une facette en particulier est impliquée)
  • Examen neurologique
  • Évaluation du mouvement articulaire de chaque vertèbre (palpation vertébrale)

Dans certains cas, des examens complémentaires comme des radiographies pourraient être envisagés. Puisque votre chiropraticien possède la formation pour prescrire, prendre et analyser des radiographies, ce type d’examen peut très bien être fait au moment même de votre consultation.

Fait intéressant à noter : il n’y a pas que les vertèbres cervicales qui possèdent des facettes articulaires. Il est donc probable que les douleurs lombaires ou thoraciques puissent provenir de leur irritation, tout comme les douleurs cervicales. Soyez avertis!

Par la suite, une analyse des informations amassées est faite et le diagnostic chiropratique est émis. C’est à ce moment que le chiropraticien détermine si les facettes sont impliquées ou non dans la condition.

Les facettes causent la douleur. Et ensuite?

La douleur au cou associée à une irritation facettaire est un diagnostic neuromusculosquelettique. En conséquence, votre chiropraticien est apte à prendre en charge une telle condition :

  1. Les ajustements vertébraux représentent la base du suivi chiropratique.
    a. Ils visent à redonner du mouvement aux vertèbres, ce qui pourrait avoir un impact sur l’irritation de la facette et sur la douleur.
    b. Ils contribuent à optimiser la fonction du système nerveux, donc peuvent influencer les informations qui sont véhiculées par lui (ex. : douleurs au cou, réactions physiques comme l’inflammation, contraction musculaire amenant un changement de posture)
  2. Le travail musculaire peut aider au relâchement de certaines contractions, ce qui contribue à l’augmentation de la mobilité vertébrale et atténue la douleur associée.
  3. Afin d’aider au contrôle de la douleur et de l’inflammation, certaines thérapies complémentaires peuvent être utilisées : ultrason, neurostimulation électrique transcutanée/TENS, glace, chaleur.
  4. Les conseils posturaux peuvent jouer un rôle dans la gestion de la condition puisque souvent, les postures inadéquates contribuent à l’apparition de douleurs facettaires. En modifiant certaines postures, comme la posture de travail, on contribue à éloigner les récidives et on améliore la qualité de vie globale.
  5. Des exercices de renforcement ou d’étirement peuvent être recommandés afin d’optimiser la fonction des muscles de la région impliquée.

Puisqu’elle voit le patient dans sa globalité, la chiropratique assure une évaluation complète qui ne prend pas seulement en compte les douleurs. Les habitudes de vie et les antécédents de santé sont également au cœur des rencontres puisqu’elle considère que la santé n’est pas seulement associée à l’absence de maladie. Quelle belle philosophie, non?

Sources, telles que consultées le 18 juillet 2022 :
https://www.merckmanuals.com/fr-ca/accueil/troubles-osseux,-articulaires-et-musculaires/douleurs-lombaires-et-cervicales/douleurs-cervicales

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