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Découvrez l’importance des pieds dans votre santé globale

Ils représentent la base de la posture. Sans eux, la station debout est impensable puisqu’ils participent à la majorité de nos mouvements. Les pieds, avec leurs os, leurs tendons, leurs ligaments, leurs muscles et leurs articulations, sont des structures puissantes et fragiles à la fois. Dans cet article, vous apprendrez l’anatomie des pieds, vous découvrirez quelles conditions les affectent le plus souvent et surtout, comment vous pouvez optimiser leur fonctionnement au quotidien.

Les pieds : la base de la base

Comme mentionné d’entrée de jeu, les pieds sont à la base de la posture. Chaque pied possède 26 os qui s’articulent les uns aux autres, ce qui permet plusieurs mouvements afin d’assurer une fonction motrice exceptionnelle tout en s’adaptant aux irrégularités du sol :

  • 14 phalanges (5 distales, 4 moyennes et 5 proximales)
  • 5 métatarses
  • 7 os du tarse :
    • 3 cunéiformes (latéral, intermédiaire et médial)
    • Naviculaire
    • Cuboïde
    • Talus
    • Calcanéus

Les phalanges sont au nombre de 14, puisque le gros orteil n’en compte que 2, comparativement aux autres orteils qui en comptent 3. La zone du pied comportant les phalanges est la plus mobile.

Les métatarses ont comme fonction de relier les phalanges à la région du tarse (cuboïde, cunéiformes (3), naviculaire, calcanéus et talus). Ce sont les os du pied les plus longs.

Les os du tarse relient le pied à la cheville et sont au nombre de 7. Le calcanéus reçoit l’impact lors de la mise en charge du pied sur le sol et joue donc un grand rôle dans la biomécanique du pied. Le talus s’articule avec les os de la jambe (tibia et fibula); son rôle est également très important.

Avec ses articulations, ses ligaments, ses muscles et ses tendons, le pied peut effectuer des mouvements complexes et même en combiner certains à la fois :

  • flexion plantaire (pointer le pied vers le sol)
  • flexion dorsale (pointer le pied vers le haut)
  • inversion (flexion plantaire tout en portant le pied vers l’intérieur)
  • éversion (flexion plantaire tout en portant le pied vers l’extérieur)
  • pronation (amener le pied vers l’intérieur)
  • supination (amener le pied vers l’extérieur)
  • adduction (dans le plan horizontal, amener le pied vers l’intérieur)
  • abduction (dans le plan horizontal, amener le pied vers l’extérieur)

Chaque mouvement du pied a un rôle à jouer. Afin que chacun soit effectué de façon optimale et ainsi contribuer à la santé globale, il est nécessaire d’assurer le bon fonctionnement de chaque structure.

Comment la chiropratique peut-elle optimiser la biomécanique des pieds

Un adulte moyen peut faire jusqu’à 10 000 pas par jour. Déposer le talon au sol 10 000 fois dans une journée nécessite donc que les structures en place puissent supporter le poids corporel et effectuer un mouvement adéquat afin de transférer ce poids et permettre une foulée optimale.

Si on ajoute à ce nombre la pratique d’un sport comme la course par exemple, il est de plus en plus évident que l’intégrité des structures doive être optimale. Il en va de même lors du développement de l’enfant ou même la récupération lors d’une blessure localisée au pied.

Puisque le chiropraticien possède les aptitudes pour évaluer les mouvements articulaires, le consulter pourrait être bénéfique.Le chiropraticien, c’est bien plus que pour le mal de dos et la sciatique!

– Chez l’enfant

Chez l’enfant (et à tout âge), il peut aider à déterminer si l’arche plantaire est normale, affaissée ou trop prononcée. Saviez-vous qu’une arche plantaire affaissée ou trop prononcée peut, en plus de donner des douleurs localisées aux pieds, mener à des déséquilibres posturaux importants?

– Chez le coureur

Chez le coureur, il peut être d’excellent conseil quant à la démarche à utiliser en cas de retour à la course après une période d’arrêt et même donner des conseils sur la technique. Puisque la foulée doit être bien exécutée afin d’optimiser l’activité et limiter les douleurs aux pieds et aux articulations adjacentes comme les genoux et les hanches, il est essentiel d’être bien outillé et le chiropraticien pourrait très bien être le professionnel à consulter. Ainsi, vous pourriez éviter l’apparition de plusieurs conditions :

Malgré la petite taille de cette zone anatomique par rapport au reste du corps, les pieds nécessitent une attention particulière, et ce, chez l’enfant autant que chez l’aîné.

Quelles conditions ciblent les pieds et comment puis-je améliorer mon sort?

Plusieurs conditions peuvent occasionner une douleur aux pieds et selon chaque situation, certains conseils peuvent être mis de l’avant afin d’aider la récupération.

1. Fasciite plantaire

La fasciite plantaire est une inflammation du fascia plantaire, cette grosse structure qui donne la forme à l’arche du pied. Elle peut apparaître suite à une surutilisation comme lors de la course, ou en raison d’une arche trop prononcée ou affaissée. Dans tous les cas, une évaluation de la douleur au talon par un professionnel de la santé est essentielle afin d’établir un diagnostic précis. Une fois le diagnostic posé, vous pourrez suivre certaines recommandations de base, en plus du suivi proposé par ce professionnel :

  • Étirer les mollets
  • Étirer le pied (l’arche plantaire)
  • Utiliser une balle de tennis ou une balle de golf et la rouler sous le pied, directement sur le fascia plantaire, afin d’aider à relâcher la structure
  • Mettre de la glace à l’insertion du fascia plantaire sur le calcanéus afin d’aider à faire diminuer l’inflammation.

2. Névrome de Morton

Le Névrome de Morton est l’irritation d’un nerf, le plus souvent situé entre le 3e et le 4e métatarse. Comme mentionné pour la fasciite plantaire, un diagnostic doit être posé afin de proposer un suivi approprié. La douleur est très localisée. Pour aider au soulagement, voici quelques conseils :

  • Évaluer que les chaussures ne soient pas trop serrées
  • Mettre de la glace
  • Effectuer des massages entre les métatarses
  • Évidemment, suivre les recommandations du professionnel consulté

3. Épine de Lenoir

L’épine de Lenoir est localisée à l’insertion du fascia plantaire sur le calcanéus. Elle se caractérise par la formation d’une structure osseuse entre le fascia et l’os en raison d’une inflammation du fascia. Elle est donc la conséquence d’une fasciite plantaire. Une fois diagnostiquée et le suivi recommandé effectué, les conseils de base à la maison sont sensiblement les mêmes qu’avec la fasciite plantaire :

  • Mettre de la glace
  • Utiliser la balle de tenir ou de golf
  • Étirer le pied (arche plantaire)
  • Étirer le mollet

4. Hallux valgus

L’hallux valgus (oignon) est une difformité de l’articulation entre le métatarse et la phalange proximale du 1er orteil. Cette condition apparaît souvent avec l’âge. Selon l’importance de la difformité, certains conseils peuvent aider à soulager la douleur :

  • Porter des chaussures souples
  • Éviter des chaussures à talon et à bout pointu
  • Massage doux de la région
  • Glace au besoin

N’oubliez pas : dans tous les cas, un diagnostic doit être posé afin que vous puissiez bénéficier d’un suivi et de recommandations appropriés. La vision globale prônée par la chiropratique vous ouvre la voie vers l’optimisation de votre santé, et ce, de la tête aux pieds! N’hésitez pas à consulter en chiropratique!

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Été 2023 : des vacances santé inoubliables

Vivement les vacances! Sachant que le travailleur moyen a 4 semaines de vacances par année, pourquoi ne pas en profiter pour les rendre extraordinaires et santé à la fois? Puisque notre rôle est d’optimiser votre santé, nous avons pensé vous conseiller sur comment faire de vos vacances 2023 les plus merveilleuses qui soient. Cet article mettra en lumière des astuces et conseils santé qui vous permettront de passer du bon temps en famille cet été.

Penser léger en partant, c’est gagnant!

C’est bien le temps des vacances, non? Commencez d’abord par mettre à l’avant-plan la définition même de ce terme, qui se veut être un temps d’arrêt. Ne quittez pas le travail en vous disant que vos vacances devront être réglées au quart de tour afin de profiter de chaque instant! Ne tombez pas dans le piège de retourner au travail pour vous reposer de vos vacances! Trop de gens ont tendance à se mettre de la pression quant aux activités à faire. Allez-y plutôt avec l’intention de les rendre agréables et saines à la fois. La légèreté a toujours sa place, ne l’oubliez pas. En conséquence, votre esprit sera tout aussi reposé que votre corps. Pour commencer, voici comment vous pourriez rendre votre période de vacances plus légère. Par la suite vous pourrez les optimiser en prenant en considération nos astuces santé.

La légèreté, c’est la capacité à modifier une habitude sans se soucier du résultat. C’est prendre le temps de prendre le temps, de voir les choses différemment pendant cette période différente de l’année.

Vacances santé : comment y parvenir

Maintenant que vous comprenez que les habitudes peuvent être modifiées, ajoutez des astuces santé qui vous permettront d’optimiser vos vacances.

1. Planifiez pour vous amuser

Oui, nous venons de vous dire que la légèreté a sa place pendant la période des vacances. Détrompez-vous : la planification n’ajoutera pas nécessairement de la lourdeur à vos vacances. Au contraire, elle contribuera en quelque sorte à les alléger.

  • Planifier les repas
    À moins que vous partiez une semaine complète dans un tout-inclus, vous aurez sans doute besoin de planifier certains repas. Profitez de l’occasion pour leur ajouter une touche de fraîcheur. Pas de changement, pas d’agrément!
  • Planifier quelques activités sans en faire une maladie
    Comme mentionné d’entrée de jeu, les vacances reposent sur le principe d’un temps d’arrêt. Bien que nous vous disions de ne pas surcharger ce temps, planifier quelques sorties ou activités permet de réaliser des choses – petites ou grandes – qu’on attend depuis longtemps. C’est génial quand on y pense! Pour le reste, se laisser aller au gré du temps peut être une excellente façon d’agrémenter ce temps d’arrêt.

2. De l’eau, encore et toujours

L’hydratation est essentielle pour le corps humain, encore plus lors des journées chaudes et humides comme on les connaît depuis quelques étés. Le corps humain est composé en majorité d’eau et puisque la chaleur nous en fait perdre une bonne quantité, il est important de boire. En conséquence, on évite la déshydratation.

Prenez l’habitude de partir avec une gourde par personne afin de les remplir aux endroits prévus à cet effet. De plus, le fait de traîner sa bouteille d’eau permet de conserver cette bonne habitude plutôt que de vous laisser tenter par des boissons moins optimales et qui amputent votre budget vacances. Entendons-nous : la coupe de vin ou la bière ne sont pas interdites, loin de là! L’eau permet de vous supporter tout au long de votre journée, surtout lorsque l’alcool fait partie des plans!

3. Le soleil avec parcimonie

Les rayons UVB du soleil permettent à votre corps de synthétiser de 80 % à 90 % de votre apport en vitamine D. Ils sont importants puisque la vitamine D est essentielle à la santé de vos os et de votre système immunitaire. D’un autre côté, l’impact néfaste des rayons de soleil sur votre état de santé est réel lorsque l’exposition n’est pas bien planifiée. Il n’est pas question de ne pas profiter des rayons, soyez sans crainte! Néanmoins, une exposition prolongée sans être protégé adéquatement n’est pas recommandée. Pensez à mettre ces conseils en pratique :

  • Exposez-vous en moyenne de 10 à 15 minutes (maximum 30 min. selon les types de peau)
  • Profitez des rayons au minimum 3 fois par semaine (idéalement tous les jours)
  • Sachez que le meilleur moment pour l’absorption des rayons UV se situe entre 11 h et 14 h
  • Exposez minimalement les mains, les avant-bras et le visage
  • Utilisez un écran solaire

4. Bouger au quotidien

Que vous soyez à l’hôtel, à la maison ou en visite, pensez à bouger chaque jour. Les installations des hôtels offrent généralement des salles d’entraînement. Si ce n’est pas le cas, la marche demeure toujours l’exercice par excellence. Voici comment bouger chaque jour pendant vos vacances :

  • La marche en sentier, à la campagne et même en ville
  • Le paddlebord sur le lac près du chalet de votre amie
  • Une balade à vélo
  • Une séance de yoga sur la plage
  • Un jogging au lever du soleil
  • Un entraînement en salle à l’hôtel

5. Un moment sans réseau

Oui oui! Vous avez bien lu! Pas de réseau internet pendant un certain temps! On pense d’abord aux enfants qui pourraient rouspéter, mais nous sommes convaincus que ce n’est pas plus facile pour les parents, n’est-ce pas? Troquez le temps d’écran par une partie de cartes, un feu de soirée ou une activité nouvelle! Limitez-vous à la prise de vos courriels et la visite de vos réseaux sociaux une seule fois par jour.

6. Se gâter et éviter les excès

C’est possible, le saviez-vous? Le gros bon sens a toujours sa place, ne l’oubliez pas! Une bouteille de vin, ça se referme avec un bouchon hermétique… et le sac de chips aussi! En vacances, l’alcool, la nourriture et le soleil sont souvent “consommés” en même temps. L’un influence l’autre et vice versa, donc pensez à garder en tête le conseil sur l’hydratation : alterner entre le vin et l’eau vous permettra de profiter pleinement de votre journée plus longtemps!

Bonnes vacances!

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Cet été, pratiquez vos activités sans vous blesser

Vivement les vacances! C’est le temps d’en profiter pleinement et afin de vous aider à pratiquer vos activités de façon sécuritaire, nous avons pensé vous lister les plus populaires et vous donner quelques conseils pratiques! Cet article vous permettra de vous amuser tout en respectant certains conseils de base. Bonne lecture!

1. Paddle board : une question d’équilibre

L’une des activités estivales les plus en vogue dans les dernières années est sans aucun doute le paddle board. Ne nécessitant pas un investissement exubérant, cette activité permet une expérience en nature sans pareil. Quoi de mieux que de passer un bon moment sur les eaux tranquilles de votre lac préféré? Pour être en mesure de la pratiquer de façon sécuritaire, voici quelques conseils :

  • Portez une veste de sauvetage adaptée à votre poids et votre grandeur
  • Ayez un sifflet accessible en tout temps, attaché à votre veste
  • Attachez votre planche à pagaie à votre pied à l’aide d’une laisse prévue à cet effet
  • Assurez-vous d’avoir une corde d’au moins 15 mètres (ligne d’attrape)
  • Pensez à avoir une lampe de poche résistante à l’eau.

La ligne d’attrape et la lampe de poche peuvent être rangées dans un sceau qui s’attache à la planche et flotte sur l’eau. Vous n’avez donc pas à les porter sur vous.

Quant à la technique en soi, adoptez une posture qui vous permet de vous sentir stable. Si vous êtes plus à l’aise en position assise ou à genoux pour débuter, allez-y comme ça! Ensuite, vous pourrez passer à la posture debout. Étant donné que le centre de gravité se retrouve surélevé, cette posture est plus difficile que lorsque vous êtes assis ou à genoux. C’est à pratiquer!

Autre conseil technique élémentaire : plus votre base d’appui sera large, meilleur sera votre équilibre. Pensez donc, lorsque vous êtes à genoux ou debout, à mettre une bonne distance entre vos genoux ou vos pieds. Vous serez plus stable. Il ne vous reste qu’à contracter vos abdos et espérer que les vagues ne soient pas trop fortes! Et… n’oubliez pas votre bouteille d’eau et votre crème solaire!

2. Tennis : gare à vos coudes!

Saviez-vous qu’une des blessures les plus liées à la pratique du tennis est l’épicondylite latérale?

Cette condition touche le coude et est associée à l’utilisation de la raquette. Afin d’éviter son apparition, certains conseils sont à suivre :

  • Avant de débuter, faites des étirements dynamiques (en mouvement) du haut du corps afin d’augmenter la circulation sanguine dans vos muscles tout en leur donnant une meilleure souplesse. Vous devriez par le fait même en faire pour tout le corps, puisque cette activité exige que chaque partie du corps soit sollicitée. Demandez conseil à votre chiropraticien, il sera en mesure de vous aider à trouver les bons exercices.
  • Utilisez une raquette qui est adaptée pour vous. Un matériau léger vous aidera à moins forcer lors de vos mouvements, ce qui limitera le stress à l’articulation du coude.
  • Conseil supplémentaire : chaussez-vous adéquatement! Le tennis est un sport qui nécessite des déplacements rapides dans différentes directions. En conséquence, le soutien au pied est primordial afin de vous permettre de bouger adéquatement et de façon sécuritaire afin d’éviter les blessures à la cheville. Que vous soyez un débutant ou un expert, ce conseil n’est pas à négliger!

3. Course à pied : maîtrisez votre technique!

Très populaire depuis quelques années, la course à pied est facile à pratiquer et ne nécessite pas un trop grand investissement. Veillez toutefois à porter le bon type de chaussures afin d’éviter les blessures au pied, mais à tout le membre inférieur également. Nous nous permettons de vous donner ces conseils suivants afin de vous permettre de pratiquer votre sport de façon sécuritaire :

  1. Ne courez pas trop longtemps, surtout lorsque vous débutez ou reprenez la course.
  2. Ne courez pas trop vite, vous risquez de vous blesser.
  3. Optez pour une surface qui vous permet d’être stable.
  4. Pensez à entraîner votre corps autrement en ajoutant à votre routine de course des exercices de renforcement du corps en entier : vous serez plus stable et plus fort, ce qui vous aidera entre autres avec l’endurance.
  5. Écoutez votre corps : prenez des pauses au besoin, même si vous êtes un athlète de haut niveau!
  6. Si vous ressentez une douleur, ne l’ignorez pas. Faites-la évaluer rapidement afin d’éviter qu’elle progresse et risque de vous nuire davantage. Penser qu’elle disparaîtra d’elle-même serait une erreur!

4. Golf : à vos bâtons!

Retraité? Athlète? Adepte du 18e trou? Qu’à cela ne tienne, votre technique au golf doit être efficiente à un minimum afin de vous permettre d’apprécier votre activité tout en évitant les blessures.

Au golf, les blessures au coude et au dos sont fréquentes. Pour cette raison, on ne peut pas s’improviser joueur sans mettre ces conseils en pratique :

  • Vous avez un intérêt marqué? Pensez à suivre des cours pour avoir la base quant au positionnement de votre corps et à la façon dont le mouvement doit être effectué pour frapper la balle. La majorité des clubs de golf offrent des cours pour les débutants, n’hésitez pas! Quelle belle façon d’éviter une entorse lombaire, n’est-ce pas? Votre transfert de poids sera optimisé et votre technique, améliorée!
  • Encore une fois, chaussez-vous adéquatement. La chaussure de golf a son utilité et vous devriez vous informer sur celle qui vous convient le mieux. Crampons ou non? Quelle est la meilleure option pour votre confort à vous? Quel est le coût à envisager selon votre budget? Autant de questions qui nécessitent une réponse claire afin que vous puissiez faire un choix éclairé!
  • Le poids des bâtons joue un rôle dans votre swing : plus il est léger, plus le mouvement est facile. En assumant que la technique est optimale, le fait d’utiliser des bâtons légers peut aider à éviter les blessures.

Allez hop! Amusez-vous en toute sécurité! Et bon été!

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Alliez neuroplasticité et légèreté pour optimiser votre été!

Faites-vous partie de ceux et celles pour qui l’été est aussi la saison des “il faudrait que”? Il faudrait que je me remette à faire du sport. Il faudrait que je sois plus en forme. Il faudrait que je bouge plus. Il faudrait que je joue plus dehors avec les enfants.

Vous savez que l’une de nos missions en tant que chiropraticiens est de vous éduquer sur la santé optimale, n’est-ce pas? Avec le texte qui suit, vous comprendrez qu’il est possible de passer un été à s’amuser sans nécessairement se mettre une pression de performance sur les épaules. Vous serez plus légers, croyez-nous!

Santé globale et plaisirs de l’été : quel est le lien?

D’entrée de jeu, nous vous avons dit que l’une de nos missions était de vous guider vers la santé optimale. Pour nous, la santé représente beaucoup plus que l’absence de maladie. Elle se veut être un tout qui n’englobe pas seulement le physique. De par notre vision, nous souhaitons amener nos patients à avoir un système nerveux qui fonctionne optimalement tout en prônant les saines habitudes de vie :

Ces habitudes représentent pour nous des ancrages très importants pour l’obtention d’une santé optimale. Pour nos patients, il est facile de les comprendre puisqu’ils sont associés à des concepts concrets.

En parallèle avec ces concepts, il y a également le bien-être émotionnel et mental qui est essentiel à un état de santé optimal. Il est plus abstrait, mais tout aussi important. C’est d’ailleurs sur lui que nous nous baserons pour mettre de l’avant les informations contenues dans cet article.

Pourquoi? Parce que nous croyons fermement que le fait d’être bien avec soi-même nous pousse à être en accord avec nos actions, ce qui contribue sans contredit au fait d’être aligné tout en éliminant les émotions superflues et non essentielles. Évidemment, c’est encore plus facile à réaliser lorsque la santé physique est optimale, d’où l’importance de comprendre que la santé, c’est un tout!

En étant en accord avec nos actions, les “il faudrait que” disparaissent. Ils deviennent superflus et n’ont plus leur place. En conséquence, le temps passé à se questionner inutilement se transforme automatiquement en possibilités infinies liées au plaisir, au bien-être et à l’intégrité envers soi-même.

Quel est le lien scientifique entre mes pensées et mon été de rêve?

La neuroplasticité, vous connaissez? Ce concept est complexe et simple à la fois. À des fins de compréhension, voici comment vous pouvez vous l’imaginer.

Prenons premièrement l’exemple d’une douleur physique :

  1. Chaque stimulus (physique ou mental) envoie une information au cerveau, ce qui crée des connexions entre les neurones afin que le corps s’y adapte et maintienne un état ressemblant le plus possible au bien-être.
  2. En présence d’une douleur au dos, par exemple, le corps cherche à se protéger afin de limiter la sensation de douleur. Plus les signaux persistent, plus il envoie des signaux nerveux qui permettent aux muscles de se contracter, à l’inflammation de s’installer et à la sensation de douleur d’être moins présente. En d’autres mots, le corps s’adapte à son environnement.
  3. Plus il y a persistance, plus l’adaptation devient un état constant. Comme si c’était une nouvelle réalité dans laquelle les muscles sont continuellement en réaction pour limiter la douleur. Vous comprendrez que c’est “bon” pour limiter la douleur, mais “moins bon” pour une santé optimale, car les muscles sont toujours en réaction.
  4. Éventuellement, la douleur finit tout de même par s’installer puisque le corps ne peut plus compenser. Généralement, c’est à ce moment que les gens consultent afin d’améliorer leur condition. Comme le corps compense depuis un certain temps, les résultats peuvent être difficiles à obtenir, puisqu’il faut l’aider en créant de nouvelles connexions visant à rétablir l’équilibre.
  5. Sans suivi, on entre dans un cercle vicieux impliquant des tensions musculaires, des compensations et de la douleur.

Si elle joue un rôle dans l’adaptation du corps à la douleur, la neuroplasticité donne aussi tout son sens à la pensée positive et au fait de poser des actions pour lesquelles on est en accord. Le principe est le même : plus on est stimulé d’une façon, plus cette façon devient notre réalité. Pourquoi donc se priver de poser des gestes qui nous rejoignent, n’est-ce pas?

En lien avec les “il faut que” de l’été, le fait de prendre action et assumer nos choix vient donc créer un mouvement positif autour de cette saison. À partir de maintenant, prenez la décision de faire les choses pour vous et non pour les mauvaises raisons!

  1. Jouez dehors le temps qu’il faut avec vos enfants
  2. Faites de nouveaux sports simplement pour le plaisir
  3. Ne vous limitez pas et osez faire quelque chose de nouveau
  4. Si vous ne voulez pas un horaire précis, ne vous l’infligez pas
  5. Pensez à joindre des moments de gratitude à vos activités

Suite à cette prise de conscience, vous verrez automatiquement la pression de performance tomber et sans que vous le sachiez, vous trouverez légèreté et liberté dans toutes vos activités.

Une fois cette énergie bien installée, c’est à ce moment que vous trouverez le moyen de vous dépasser, si c’est ce que vous souhaitez!

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Les 4 meilleurs trucs afin d’optimiser votre suivi chiropratique (et votre santé globale)

La vision globale de la santé est au cœur de la philosophie chiropratique. Pour cette raison, votre chiropraticien se fait un devoir de vous donner, jour après jour, des conseils pour optimiser votre santé et par le fait même amener plusieurs bénéfices à votre suivi chiropratique. Cet article vous donnera une foule de conseils à mettre en pratique afin de bonifier vos rencontres chez votre chiropraticien tout en rendant votre quotidien encore plus équilibré.

La santé globale : à la base du bien-être

Rares sont ceux qui seraient prêts à dire non à un état de bien-être général, n’est-ce pas? Avec un suivi en chiropratique, la santé globale est une priorité et en conséquence, chaque action posée par votre chiropraticien sera orientée dans cette direction.

À tort, on pense que la santé se définit par l’absence de maladie. Nous pensons plutôt qu’elle devrait se définir par l’optimisation de tous les systèmes du corps humain, comme par exemple :

  • Système neuromusculosquelettique
  • Système cardiovasculaire
  • Système pulmonaire
  • Système endocrinien
  • Système sanguin
  • Système visuel
  • Système digestif
  • La peau
  • Système urinaire
  • Système reproducteur
  • Les dimensions affectives et psychologiques
  • etc.

Saviez-vous que tous ces systèmes sont contrôlés par le système nerveux? Sans lui, les connexions essentielles au fonctionnement des autres systèmes sont impossibles, ce qui peut avoir un impact important sur la santé. Un système nerveux qui ne fonctionne pas optimalement peut nuire au fonctionnement des autres systèmes. Le maximiser serait donc un atout indéniable afin de vous permettre d’avoir une santé globale à toute épreuve. Voici donc des conseils à mettre en pratique si vous souhaitez que votre système nerveux crée les meilleures connexions possibles, principalement entre vos ajustements chiropratiques.

1. Suivez les recommandations de votre chiropraticien

Lorsque débute le suivi chiropratique, votre chiropraticien vous propose une fréquence de traitement directement en lien avec votre condition. Cette recommandation est basée sur les résultats d’examens physiques effectués, son diagnostic chiropratique et son jugement clinique. Pour maximiser le fonctionnement du système nerveux et optimiser la condition de santé pour laquelle vous consultez, il est important de prendre en considération les recommandations concernant la fréquence des traitements. En prenant la décision d’investir dans votre santé, vous devez penser à long terme et suivre les conseils qui vous sont donnés. Votre santé vous remerciera!

2. Soyez actifs

Nous vous le répétons et les preuves sont faites; l’activité physique quotidienne est essentielle. Prenez en considération tout ce qui peut être obtenu lorsque vous bougez quotidiennement :

  • Augmentation de l’énergie, donc plus d’entrain et d’endurance.
  • Meilleur sommeil, donc meilleure récupération et amélioration du bien-être général.
  • Maintien de la mobilité articulaire, ce qui permet au système nerveux d’acheminer les bonnes informations aux structures impliquées.
  • Maintien des fonctions cardiovasculaires, ce qui favorise un bon apport sanguin partout dans le corps, y compris aux structures neurologiques. N’oubliez pas! Un système nerveux qui fonctionne bien, c’est la clé!
  • Stimule le système musculaire, donc aide à supporter le corps tout au long de la journée tout en apportant la force nécessaire aux différentes régions qui en ont besoin.
  • Aide à la motricité globale, ce qui encore une fois, permet au corps de maintenir son état de santé optimal et récupérer plus facilement de certaines conditions.
  • Procure un état de bien-être, car les endorphines sécrétées pendant l’activité physique sont les hormones qui sont directement liées à un état de joie et de bonheur.
  • Suite à un ajustement chiropratique, il est possible que certaines courbatures apparaissent. En pratiquant une activité physique régulièrement, votre corps est stimulé de façon continue, ce qui peut aider à éviter les courbatures.

Votre chiropraticien vous recommande d’être actif, mais vous avez peine à bouger? Pensez à votre enfant qui pousse derrière et qui aura besoin de vous longtemps, ça devrait suffire à vous convaincre!

3. Buvez, encore et toujours!

Tout comme l’activité physique, la recommandation de s’hydrater quotidiennement n’a plus de preuve à faire. En étant hydraté, vous allez chercher des bénéfices importants pour votre santé globale, tout en favorisant une bonne récupération suite à votre traitement chiropratique :

  • Les disques intervertébraux sont constitués en majorité d’eau. Il est donc important qu’ils soient hydratés, comme le reste des autres structures du corps humain. Pensez-y : en ayant un impact sur vos articulations intervertébrales, l’eau vous aide à avoir un meilleur mouvement et une meilleure posture!
  • En buvant une quantité adéquate d’eau, vous évitez l’apparition de différents effets liés à la déshydratation :

4. Favorisez une bonne posture

Bien que de plus en plus de familles consultent en chiropratique afin d’optimiser leur santé, les conditions de douleur constituent encore une bonne proportion des visites en clinique.

Partant du fait que plusieurs conditions de santé sont dues à des troubles posturaux, votre chiropraticien abordera sans doute le sujet avec vous. Optimiser un suivi chiropratique passe inévitablement par la mise en place de postures plus équilibrées, puisque si ces dernières sont en cause dans la condition qui est traitée, un changement doit être fait afin d’éviter la persistance et maximiser les chances de guérison. La santé globale, c’est une combinaison de facteurs qui, additionnés les uns aux autres, créent des résultats exceptionnels.

Chaque situation peut être améliorée et/ou adaptée afin de permettre au corps d’exprimer son plein potentiel. Comme vous avez pu le constater, il en va de même pour le suivi chiropratique et les conseils de base demeurent toujours sensiblement les mêmes.

La plupart du temps il ne s’agit que du gros bon sens, alors nous vous mettons au défi de les intégrer d’ici votre prochain ajustement!

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Changement de saison 2022 : un automne 100 % zen

La rentrée est passée. Les journées raccourcissent. Les vêtements d’automne sont arrivés en boutique et les décorations d’Halloween aussi. La routine semble pointer le bout de son nez et nous guider tranquillement vers le prochain changement de saison. Déjà? Soyez sans crainte, il vous reste encore plusieurs belles journées estivales avant de troquer vos sandales pour vous souliers fermés. En attendant, lisez cet article afin de vous préparer efficacement au prochain changement de saison!

Prévenir pour garder le sourire

Mieux vaut prévenir que guérir, non? Bien que septembre ne fasse que commencer, pourquoi ne pas planifier les prochains mois plutôt que de repousser certaines tâches qui alourdissent le quotidien?

1. Pensez aux corvées d’automne

L’automne, avec ses couleurs magnifiques, nous permet d’apprécier le paysage québécois. Évidemment, après les couleurs viennent les terrains remplis de feuilles! Plutôt que d’attendre que la chute soit complètement terminée, raclez un peu chaque semaine afin de diminuer la charge le moment venu. Vous verrez certains bénéfices à racler plus fréquemment :

  • Diminution de la charge de travail
  • Pratique d’une activité physique plus régulière
  • Moments passés à l’extérieur
  • Diminution des courbatures en raison de la fréquence accrue de l’activité
  • Passer d’excellents moments en famille

Vous aimez jardiner mais mettre un terme à la saison vous pèse sur les épaules? Il n’y a pas de mal à couper les plants qui commencent déjà à être moins productifs. Couper des plantes qui fleurissent moins et qui changent de couleur chaque semaine vous permettra de voir la charge diminuer à coup sûr!

Qui a dit que tout le bois de chauffage devait être cordé la même journée? Dans la même ligne de pensée, un travail étalé sur plusieurs journées n’a jamais tué personne!

2. Planifiez les journées de mise en conserve

Betteraves, tomates, carottes, haricots! Que de bons légumes à mettre en conserve, n’est-ce pas? Préparez-vous à l’avance afin de rendre la tâche plus légère :

  • Réservez vos légumes chez le maraîcher
  • Lavez vos pots à l’avance
  • Achetez vos ingrédients en fonction de la bonne quantité de bouillon

Vos papilles vous remercieront!

Faites un pied de nez à la routine “post activités d’été”

Faites-vous partie de ceux pour qui la routine est signe de liberté? Trouvez-vous qu’elle vous permet de vous accomplir davantage en vous encadrant plus facilement? Il n’y a aucun doute qu’elle est bénéfique à plusieurs niveaux. Soyez toutefois avertis : elle ne devrait pas vous servir d’excuse!

Vous avez été actifs tout l’été. Vous avez profité des soirées avec les enfants pour jouer au tennis ou faire du vélo. Évidemment, avec la rentrée scolaire et la noirceur qui arrive plus tôt, certaines habitudes estivales doivent être modifiées. Mettons ici l’emphase sur la modification plutôt que l’interruption. Il serait facile de rester à l’intérieur pour faire de nos soirées des moments plus casaniers, mais n’oubliez pas que le corps a besoin de bouger chaque jour et qu’il ne fait pas de différence entre le mois de septembre ou celui de juin!

À ce compte, voici un rappel concernant vos besoins en activité physique :

  • Entre 5 17 ans
    Au moins 60 minutes d’activité d’intensité moyenne à élevée chaque jour
    Au moins 3 fois des activités d’intensité soutenue chaque semaine
  • 18 ans et plus
    Au moins 150 minutes d’activité d’intensité moyenne ou 75 minutes à intensité élevée chaque semaine
    Au moins 2 fois des exercices de musculation d’intensité modérée

Avez-vous pensé à jouer dehors avant le souper? Certes, le souper sera plus tard, mais la collation peut être plus grande, non?

Un pique-nique au terrain de jeux de la municipalité peut être une excellente façon de casser la routine et agrémenter les soirées de semaine. De belles joues rouges pour la fin de la journée, ça n’a pas de prix! Une boîte à lunch le soir, pourquoi pas?

Les municipalités et les villes offrent une variété infinie de cours ou d’ateliers pendant l’automne et l’hiver. Sortez et amusez-vous! Vos émissions vous attendront! N’oubliez pas : la planification est la meilleure façon de contrer l’inaction!

Optimisez votre quotidien

Changement de saison ou non, vous méritez de vivre optimalement. Votre quotidien est le reflet de vos habitudes de vie et ces dernières devraient vous permettre d’exprimer votre plein potentiel.

1. Ayez un sommeil optimal

Pour certains, l’automne peut affecter l’humeur. Lorsque cette dernière est affectée, le sommeil peut quant à lui en payer le prix. Voici quelques conseils pratiques afin d’optimiser votre sommeil :

  • Prenez l’habitude d’avoir un horaire de sommeil régulier
  • Limitez le temps d’écran au moins 1 heure avant le coucher
  • Rendez l’atmosphère de la chambre à coucher propice au sommeil : lumières tamisées, ambiance épurée, pas de télévision dans la pièce

Même si l’automne n’affecte en rien votre humeur, adoptez cette habitude puisqu’elle fait partie de la base d’une santé optimale.

2. Pensez optimalement

Nous ne vous apprendrons rien en vous disant que la pensée et l’attitude jouent un rôle primordial dans la santé optimale. Parfois, la grisaille de l’automne nous affecte plus que nous le croyons et pour cette raison, intégrez certaines pratiques intéressantes :

  • Méditation
  • Relaxation
  • Visualisation
  • Respiration abdominale
  • Cohérence cardiaque

Elles vous permettront d’optimiser votre pensée et si le stress de l’automne vous pourchasse, elles sauront vous aider à l’apaiser.

3. Mangez optimalement

L’automne est la saison des récoltes. Profitez-en pour vous concocter des recettes alléchantes, d’autant plus que vous avez accès directement à des produits frais remplis de bons nutriments. Les aliments frais et non transformés vous permettent d’aller chercher un maximum de bénéfices et de saveurs, donc ne négligez pas ce conseil! N’oubliez pas les conserves maison!

4. Bougez optimalement

Revenons à ce qui a été mentionné plus haut dans l’article : l’activité physique est un besoin et non une option. L’activité physique n’a plus de preuves à faire concernant son impact positif sur la santé mentale (libération des hormones du bien-être). Il ne devrait donc plus y avoir de doute à l’intégrer à votre quotidien! En plus des effets psychologiques, elle procure bien d’autres bienfaits :

  • aide au maintien d’un poids santé
  • favorise le sommeil
  • soutient les capacités cardiovasculaires
  • aide à la santé des os
  • favorise le maintien de la masse musculaire

5. Ayez un système nerveux optimal

Dernier conseil mais non le moindre : misez sur la santé de votre système nerveux. Puisqu’il contrôle tous les systèmes du corps humain, sa bonne fonction est essentielle à votre bien-être. La chiropratique , par sa vision globale de la santé, mise justement sur l’optimisation de la fonction de votre système nerveux.

Printemps, été, automne ou hiver, votre chiropraticien se fera un honneur de vous guider vers l’atteinte de votre plein potentiel de vie!

 

Sources, telles que consultées le 29 août 2022
https://www.msss.gouv.qc.ca/professionnels/statistiques-donnees-sante-bien-etre/flash-surveillance/activite-physique-en-quelques-chiffres/

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Un été inoubliable : 6 activités à faire en famille

Tisser des liens. S’amuser. Bâtir la confiance en soi. Apprendre. Comme on dit : l’été, c’est fait pour jouer! Pourquoi ne pas bonifier ce plaisir en mettant également l’emphase sur les bienfaits qu’apportent les activités physiques?

Dans cet article, nous vous partageons notre top 6 des activités physiques à faire en famille, en toute simplicité, à la maison ou partout au Québec.

Activité physique : quand la science parle

Les preuves sont faites : l’activité physique doit faire partie intégrante de notre quotidien. Peu importe notre âge ou notre situation, il devrait toujours y avoir un moyen de l’intégrer à notre réalité.

Avons-nous besoin de vous rappeler tous les bienfaits que l’activité physique procure? À titre de rappel, en voici quelques-uns :

– L’activité physique favorise une philosophie de vie positive
– L’activité physique améliore la santé
– L’activité physique améliore le bien-être
– L’activité physique réduit le stress
– L’activité physique aide au fonctionnement des systèmes cardiovasculaire et pulmonaire
– L’activité physique augmente le niveau d’énergie
– L’activité physique aide à atteindre et maintenir un poids optimal

Selon les recommandations de La Société Canadienne de Physiologie de l’Exercice (SCPE), chaque groupe d’âge devrait pratiquer l’activité physique selon certaines recommandations :

1. 0 à 4 ans

Les nourrissons (âgés de moins de 1 an) devraient être physiquement actifs plusieurs fois par jour, particulièrement par l’entremise de jeux interactifs au sol. Les tout-petits (âgés de 1 à 2 ans) et les enfants d’âge préscolaire (âgés de 3 à 4 ans) devraient faire au moins 180 minutes d’activité physique, peu importe l’intensité.

2. 5 à 17 ans

Pour favoriser la santé, les enfants âgés de 5 à 17 ans devraient faire chaque jour au moins 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée à élevée. Cela devrait comprendre, entre autres, des activités d’intensité élevée au moins trois jours par semaine.

3. 18 à 64 ans

Pour favoriser la santé, les adultes âgés de 18 à 64 ans devraient faire chaque semaine au moins 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée à élevée par séances d’au moins 10 minutes.

4. 65 ans et plus

Vous voulez profiter de vos petits-enfants le plus longtemps possible? Pour favoriser la santé, et améliorer les capacités fonctionnelles, il est recommandé que les adultes âgés de 65 ans et plus fassent chaque semaine au moins 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée à élevée par séances d’au moins 10 minutes.

Quels sont les dénominateurs communs à toutes ces recommandations? Le plaisir et l’adaptation! Y a-t-il quelque chose de plus beau que de voir une grand-mère faire du vélo avec son petit-fils?

La simplicité a toujours sa place

Manque de temps? Manque d’espace? Budget amputé par la hausse du coût de la vie?

Vos enfants n’en demandent pas tant, vous savez! Ce qu’ils veulent, c’est un parent présent pour qui le plaisir de bouger passe par la simplicité. Pas besoin de partir à l’autre bout de la ville pendant toute la journée pour bouger en famille.

  • Balade à vélo
  • Jeu de marelle dans la ruelle
  • Corde à danser dans la cour
  • Baignade à la piscine municipale
  • Randonnée dans le bois à côté de la maison
  • Cache-cache au sous-sol
  • Tennis sur le mur arrière du garage

Qui n’a jamais fait de concours du plus grand nombre de frappes de balle avec sa raquette de tennis sur un mur? Rappelez-vous les souvenirs qui y sont rattachés et tentez de faire revivre la même chose à vos enfants! Rien de plus simple et efficace pour vous permettre de bouger en famille, n’est-ce pas?

Votre été inoubliable : voici les 6 activités à faire en famille

1. L’incontournable promenade à vélo

Cette activité est sans aucun doute l’une des plus pratiquées en famille pendant la période estivale. Elle permet de bouger à son rythme et celui des enfants. Pourquoi ne pas en profiter pour prendre une pause au bord de l’eau et admirer la beauté de notre région? Le Québec regorge de pistes cyclables toutes aussi magnifiques les unes que les autres. C’est un must!

2. Votre municipalité et ses multiples activités

Souvent mises de côté, les municipalités ou villes proposent pourtant une foule d’activités familiales axées sur l’apprentissage et le mouvement en même temps.

  • Visite au zoo
  • Journée au parc aquatique
  • Visite au musée suivie d’une chasse au trésor
  • Journée au parc d’amusement intérieur
  • Journée au parc d’amusement extérieur

3. Hébertisme

Existe-t-il une meilleure façon de développer plusieurs aptitudes à la fois? L’hébertisme est une activité physique vous permettant de stimuler l’équilibre, le système cardiovasculaire, l’endurance et la force musculaire, et ce, tout à la fois :

  • On marche
  • On court
  • On saute
  • On grimpe
  • On supporte notre corps

Une journée en hébertisme avec vos enfants leur garantit une nuit de sommeil complète… pensez-y! Une dépense d’énergie bien investie!

4. Votre maison : là où les possibilités sont infinies

Il pleut? Le budget est limité? Un membre de votre troupe a attrapé un vilain virus qui vous oblige à vous isoler quelques jours en famille?

Profitez des nombreuses alternatives que vous offre votre toit :

  • Course à relais dans la cour
  • Danse dans le salon
  • Cache-cache au sous-sol
  • Chasse au trésor chronométrée

5. Autocueillette de fruits

Quelle chance nous avons d’être dans une province où la culture est à l’honneur! L’autocueillette est de plus en plus populaire auprès de familles puisque ces dernières tendent à se rapprocher de ce que leur offre la nature. On profite du grand air, on grignote des fruits en même temps, on bouge et on cuisine ensuite. Le bonheur!

6. La baignade sous toutes ses formes

Pour plusieurs, l’été est synonyme de baignade. C’est une excellente activité physique puisqu’elle stimule le système cardiovasculaire tout en limitant le poids sur les articulations. Elle fait donc partie des activités familiales de choix! Allez à la piscine municipale, visitez les plages de votre région ou utilisez votre piscine plus souvent!

N’oubliez pas! La simplicité rend souvent les activités plus légères et amusantes! Laquelle choisirez-vous?

 

Sources telles que consultées le 4 juillet 2022
https://www.wellnessnb.ca/wp-content/uploads/2015/11/Cahier-pour-les-Directives-en-mati%C3%A8re-d%E2%80%99activit%C3%A9-physique-et-de-comportement-s%C3%A9dentaire.pdf

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Santé optimale : 6 moyens naturels pour créer la meilleure version de vous-même

La santé optimale est un concept tellement vaste qu’il est facile de s’y perdre. Cette quête semble souvent être une route difficile à emprunter : par où commencer lorsqu’on a le désir de mettre notre mode de vie en priorité? Qu’à cela ne tienne, la santé optimale n’aura plus de secrets pour vous lorsque vous découvrirez notre TOP 6 des meilleurs conseils à mettre en place pour y parvenir.

Dans cet article, vous découvrirez comment l’alimentation, le mouvement, le repos, la pensée, l’environnement et la connexion peuvent être priorisés en même temps sans terminer l’expérience en vous arrachant les cheveux de la tête! Faites de votre santé votre allié en vous permettant de l’optimiser naturellement!

1) Êtes-vous bien connecté?

Détrompez-vous : la connexion dont il est question ici n’a aucun lien avec le wi-fi. Il s’agit plutôt de la connexion interne, celle qui permet à votre système nerveux de fonctionner optimalement.

D’un point de vue chiropratique, une connexion neurologique optimale joue un rôle primordial dans la santé optimale. Puisque le système nerveux influence tous les autres systèmes du corps humain, il est facile de comprendre qu’il a un impact majeur et global dans la santé.

De par son expertise en santé neuro-vertébrale, votre chiropraticien pourra vous aider à cheminer sur la route de la santé optimale en évaluant, diagnostiquant et traitant les subluxations vertébrales et conditions associées. Il veillera donc à optimiser la santé de votre système nerveux.

La subluxation vertébrale se crée lorsque le corps humain est soumis à un stress :

  • Stress physique (ex.: traumatisme, blessure, accouchement)
  • Stress chimique (ex.: métaux lourds, drogue, alcool, pollution)
  • Stress émotionnel (ex.: sentiment d’angoisse, stress financier, stress au travail, stress familial, conciliation travail-famille)

Prendre en considération chacun de ces éléments est essentiel dans l’atteinte d’une santé optimale. En ce sens, le suivi offert par votre chiropraticien saura évaluer de façon globale votre situation afin d’avoir un impact positif sur votre santé.

Votre système nerveux vous remerciera, puisque concrètement, une fonction nerveuse optimale obtenue par les ajustements chiropratiques pourra avoir une multitude de bénéfices :

  • Optimisation de la santé neuro-vertébrale
  • Amélioration des amplitudes de mouvement
  • Soutien aux performances sportives
  • Diminution des risques de blessures
  • Diminution des risques de récidives
  • Soulagement des douleurs liées à la grossesse
  • Amélioration des troubles posturaux
  • Soulagement des douleurs associées à l’arthrose
  • Soulagement des douleurs associées aux blessures professionnelles

2) Le sommeil : la clé dans vos objectifs de santé optimale

Lorsqu’il est question de sommeil, la qualité et la quantité sont à prendre en considération. Dans les 2 cas, elles sont essentielles afin de le rendre optimal. Avoir une longue nuit de sommeil sans qu’il soit réparateur n’a pas plus de bénéfices qu’une nuit courte, mais efficace.

Un bon sommeil a un impact indéniable sur la santé optimale :

  • Aide à la sécrétion d’hormones de croissance chez l’enfant
  • Maturation du cerveau
  • Amélioration de l’humeur
  • Aide à la mémorisation et l’apprentissage
  • Stimule les défenses immunitaires
  • Favorise la régénérescence des tissus
  • Aide à la récupération physique et mentale

En contrepartie, un manque de sommeil répété peut avoir des conséquences :

  • Fatigue mentale
  • Diminution de la concentration et de la vigilance (augmentation du risque de blessures, chutes et accidents)
  • Trouble de l’humeur (stress, sentiment d’angoisse, état dépressif)
  • Trouble de l’appétit (possible prise de poids)
  • Diminution des fonctions immunitaires

La posture de sommeil, les habitudes de vie entourant le coucher, les phases liées au sommeil et des habitudes de sommeil régulières doivent être prises en considération afin d’optimiser votre sommeil. À son tour, il fera partie des éléments contribuant à votre santé optimale!

Connaissez-vous les mythes les plus fréquents rencontrés sur le sommeil? Nous vous invitons à les consulter en cliquant sur ce lien.

3) Évoluez dans un environnement optimal

Il peut y avoir différents types d’environnement :

  • Les lieux
  • Les personnes
  • L’état interne (état d’esprit, mode de pensée, mindset)

Selon l’état de chaque type, ils peuvent contribuer ou nuire à la santé optimale.

Pour rendre les lieux dans lesquels vous évoluez favorables à une santé optimale, suivez ces conseils :

Les personnes et relations qui vous entourent jouent un rôle capital dans votre santé optimale. Qui n’a jamais vécu une relation toxique? Veillez à être à l’écoute de vos émotions lorsque vous êtes en relation. Elles sauront vous guider vers ce qui est bon pour vous.

L’état interne (vos pensées, votre attitude, votre état d’esprit) représente l’environnement dans lequel vous vivez 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Il mérite donc toute votre attention! Rendez-le optimal et lisez ce qui suit, puisqu’il représente à lui seul l’un de nos secrets de santé optimale!

4) Ayez une pensée optimale

Chaque stimulus qui vous entoure a un impact sur votre pensée. C’est comme la nourriture de l’âme. Autant vous assurer qu’il soit bénéfique!

Afin de rendre chaque pensée la plus positive possible, veillez à mettre en pratique ces 4 habitudes :

1. Nourrissez votre cerveau optimalement. En offrant un environnement sain et des informations positives à votre esprit et à vos sens, vos pensées se transforment peu à peu.

  • Lecture de développement personnel
  • Musique apaisante
  • Relations saines

2. Implantez de nouvelles pensées. Lorsque vous désirez éloigner les pensées négatives, vous devez inévitablement les remplacer par de nouvelles pensées. Plutôt que de laisser le hasard faire les choses, pourquoi ne pas choisir nous-mêmes les nouvelles pensées?

Prenez l’habitude d’écrire ce qui vous anime positivement et relisez ces phrases régulièrement. Les lire à voix haute est un avantage puissant :

  • J’ai tout ce qu’il faut pour réussir
  • Je suis comblé(e)
  • Je suis bien entouré(e)
  • Je suis une bonne personne

3. Reconnaissez les émotions attachées aux pensées. Une émotion négative n’est probablement pas liée à une pensée qui vous est réellement bénéfique. Soyez-en conscients et référez-vous aux phrases qui vous animent.

4. Lorsque les pensées négatives sont coriaces à changer, pensez à mettre en pratique des techniques qui pourraient vous aider à les chasser :

  • Yoga
  • Méditation
  • Cohérence cardiaque
  • Relaxation

L’être humain (et le cerveau) apprend par répétition. Les pensées se moduleront au fur et à mesure que les stimuli positifs s’additionneront. Gageons que vous ne pourrez plus vous en passer!

5) Développez des habitudes alimentaires optimales

Si l’âme doit être nourrie adéquatement, il en est de même pour le corps, n’est-ce pas? En offrant des aliments riches en nutriments à votre corps, vous contribuez à ce qu’il s’exprime à son plein potentiel.


L’alimentation optimale ne se base pas sur la restriction. Elle est davantage axée sur la diversité et l’acceptation. Évidemment, avoir en tête certains éléments de base aide à la santé optimale :

  • Éviter les sucres raffinés
  • Éviter les aliments transformés
  • Favoriser les légumes, pousses et germinations
  • Favoriser les produits frais
  • Choisir des aliments riches en protéines et en fibres
  • Ne pas mettre de côté les bonnes sources de glucides

En intégrant ces principes, il peut être plus facile de rendre l’alimentation optimale. Toutefois, il serait utopique de penser que la majorité des individus puissent maintenir une ligne directrice comme celle-ci 100% du temps. Mieux vaut être réaliste, assumer et s’amuser, non? Privilégiez donc une alimentation constructrice.

L’important au bout du compte, c’est de se sentir bien dans les choix qui sont faits. Il est essentiel d’adopter une alimentation variée qui apporte vitalité et santé plutôt que de suivre un régime restrictif qui entraîne frustration, culpabilité et excès. Ce dernier contribuerait d’ailleurs à vous faire évoluer dans un environnement non optimal, comme décrit précédemment dans l’article.

6) Bougez optimalement

Devez-vous bouger chaque jour? Voulez-vous prioriser une activité plus qu’une autre? Quel sport est le plus adapté à vos besoins? Voyons comment éclaircir ce sujet.

Dans l’optique d’une santé optimale, le mouvement est essentiel. Il y contribue de façon non équivoque. Afin de le démystifier et vous aider à faire les bons choix d’activités, divisons-le en 3 types d’habiletés à développer :

  • Habiletés cardio-vasculaires
    Stimulation des capacités cardio-vasculaires
  • Habiletés musculaires
    Stimulation musculaire
  • Habiletés motrices globales
    Stimulation de l’équilibre, de la posture et de la mobilité générale

En choisissant des exercices qui vous permettent de développer ces habiletés, vous optimisez votre santé. Ayez donc une pensée pour ces critères lorsque vous faites un choix parmi la multitude des activités physiques qui s’offrent à vous :

  • Marche
  • Méditation
  • Yoga
  • Course à pied
  • Vélo
  • Raquette
  • Tennis
  • Entraînement en salle ou à la maison
  • Natation
  • Ski de fond
  • Pilates
  • Arts martiaux
  • etc…

Bien que les habiletés à considérer puissent vous orienter globalement, ne négligez toutefois pas vos intérêts personnels à leur détriment. Vous voulez prendre une marche plutôt lente? Faites-le! Vous préférez courir moins longtemps? Pas de problème! L’équilibre, c’est aussi de doser et s’amuser.

L’important n’est pas de savoir combien de fois vous serez tombé, mais plutôt de reconnaître le nombre de fois où vous aurez pu vous relever!

Avez-vous eu le réflexe de penser que tout ça était plus facile à dire qu’à faire? Vous savez, c’est normal! La santé optimale, c’est un processus et non une destination.

Mettez en pratique 1 ou 2 conseils à la fois. Fixez-vous des objectifs réalistes qui vous procurent une satisfaction. Ne tombez pas dans l’obligation ou la comparaison et permettez-vous de prendre le temps nécessaire pour atteindre VOTRE santé optimale.

Bonne santé!

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Sources telles que consultées le 12 avril 2022
https://www.sommeil.org

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10 mythes sur le sommeil

Le sommeil est un grand mystère de la vie. Quoique la science nous en apprenne toujours un peu plus, les mythes entourant le sommeil ont la couenne dure.

Nous vous en présentons 10 aujourd’hui, qui pourraient peut-être changer votre perspective sur le sujet et qui sait, certaines de vos habitudes.

1. Mythe : Le ronflement n’est pas dangereux. Il s’agit d’un problème courant, particulièrement chez les hommes.

Réalité : Même si le ronflement est inoffensif chez la plupart des gens, il peut être le symptôme d’un désordre plus grave comme l’apnée du sommeil, particulièrement s’il est accompagné de somnolence diurne.

L’apnée du sommeil est caractérisée par des pauses de respiration qui empêchent l’air d’entrer et de sortir des voies respiratoires. Les gens qui en souffrent se réveillent souvent la nuit à bout de souffle.

Ces pauses respiratoires réduisent les niveaux d’oxygène sanguin, peuvent créer une surcharge du cœur et du système vasculaire et augmenter le risque de maladies cardiovasculaires.

Le ronflement fréquent a aussi été associé à l’hypertension. L’obésité et un cou large sont des facteurs de risque de l’apnée du sommeil.

L’apnée du sommeil peut être traitée. Les personnes qui ronflent bruyamment et qui expérimentent des pauses respiratoires devraient consulter un professionnel de la santé.

2. Mythe : Il est possible de « tricher » sur nos heures de sommeil.

Réalité : Les experts du sommeil disent que la majorité des adultes ont besoin de 7 à 9 heures de sommeil chaque nuit pour une performance, une santé et une sécurité optimales.

Lorsqu’on ne dort pas assez, on accumule une dette de sommeil qui peut devenir difficile à « rembourser » si elle devient trop importante.

La privation de sommeil a été liée à des problèmes de santé tels que l’obésité et l’hypertension artérielle, à la mauvaise humeur, à une réduction de la productivité et à des problèmes de sécurité à la maison, au travail et sur la route.

3. Mythe : Monter le son de la radio, ouvrir la fenêtre ou allumer le climatiseur sont des moyens efficaces pour rester éveillé au volant.

Réalité : Ces trucs sont inefficaces en plus d’être dangereux pour la personne qui est somnolente au volant et pour les autres usagers de la route.

Lorsqu’on est fatigué au volant, la meilleure chose à faire est de s’arrêter dans un endroit sécuritaire comme une halte routière et de faire une sieste de 15 à 45 minutes.

Les boissons caféinées peuvent aider à réduire la fatigue temporairement, mais elles prennent environ 30 minutes avant de faire effet.

Bien sûr, la meilleure prévention contre la fatigue au volant est une bonne nuit de sommeil la veille du voyage.

4. Mythe : Les adolescents qui s’endorment en classe ont de mauvaises habitudes de sommeil ou sont paresseux.

Réalité : Selon les experts du sommeil, les adolescents ont besoin de 8 à 10 heures de sommeil chaque nuit, soit une heure de plus que l’adulte moyen. Leur horloge biologique est différente : elle les garde éveillés plus tard en soirée et endormis plus tard le matin.

Cependant, certaines écoles débutent les cours tôt le matin, au moment où les adolescents ont encore besoin de dormir. Résultat : de nombreux adolescents se rendent à l’école trop fatigués pour apprendre, sans qu’ils en soient réellement responsables.

5. Mythe : La somnolence diurne est toujours causée par un manque de sommeil.

Réalité : La fatigue excessive diurne est un problème lors duquel un individu se sent très somnolent durant la journée et ressent un urgent besoin de dormir alors qu’il devrait être alerte et réveillé.

Ce problème, qui peut survenir même après une nuit de sommeil suffisamment longue, peut être le signe d’un trouble médical ou d’un désordre du sommeil plus important, comme la narcolepsie ou l’apnée du sommeil. Il peut aussi s’agir d’un symptôme de grossesse.

La somnolence diurne peut souvent être traité et doit être mentionnée à un professionnel de la santé. L’endormissement diurne peut être dangereux et mettre la personne à risque d’un accident de la route, d’une blessure ou d’une maladie, en plus d’interférer avec ses habiletés émotionnelles, mentales et physiques.

Le manque d’hydratation est un facteur fréquemment associé à la fatigue générale. Buvons!

6. Les problèmes de santé tels que le diabète, l’obésité, l’hypertension et la dépression n’ont rien à voir avec le temps ou la qualité du sommeil d’une personne.

Réalité : Les études ont déterminé qu’il existe bien une relation entre la qualité/quantité de sommeil d’une personne et plusieurs problèmes de santé. Par exemple, le déficit de sommeil affecte la sécrétion de l’hormone de croissance, qui est à son tour liée à l’obésité; moins l’hormone de croissance est sécrétée, plus les risques de gain de poids augmentent.

La pression artérielle baisse généralement durant le cycle de sommeil, c’est pourquoi un sommeil interrompu peut affecter ce déclin normal et ainsi entraîner une hypertension et d’autres problèmes cardiovasculaires.

La recherche a aussi démontré que le déficit de sommeil interférait avec la capacité du corps à produire de l’insuline, ce qui peut mener au diabète de type 2.

7. Mythe : L’insomnie est caractérisée par la difficulté à s’endormir.

Réalité : Les problèmes d’endormissement sont un des 4 symptômes généralement associés à l’insomnie.

Les autres sont :

  • Le réveil trop tôt avec incapacité à se rendormir
  • Les réveils fréquents au cours de la nuit
  • Le réveil avec le sentiment de ne pas être reposé.

L’insomnie peut être un symptôme d’un problème de sommeil plus grave, d’un autre trouble médical physique ou psychologique. Lorsque l’insomnie survient plusieurs fois par semaine et qu’elle a un impact sur les fonctions et activités quotidiennes, il est recommandé d’en parler avec un professionnel de la santé.

8. Mythe : Les aînés ont besoin de moins de sommeil.

Réalité : Quoique la structure du sommeil au cours de la nuit change avec l’âge, le nombre d’heures nécessaires reste le même pour les aînés, soit 7 à 9 heures par nuit.

Les aînés peuvent se réveiller plus fréquemment durant la nuit, mais leurs besoins restent identiques à ceux des adultes plus jeunes.

Parce qu’ils dorment moins bien la nuit, les aînés ont parfois tendance à dormir davantage le jour.

Planifier une sieste dans la routine quotidienne peut aider la personne âgée à avoir plus d’énergie lors des périodes d’éveil.

9. Mythe : Les bébés devraient faire leurs nuits à 3 mois.

Réalité : Aucun bébé ne dort 12 heures d’affilée. Tout comme l’adulte, le bébé se réveille plusieurs fois au cours d’une nuit. Parfois il saura se rendormir seul, d’autres fois il aura besoin de son parent pour l’apaiser.

Un bébé qui a plus de facilité à se réconforter seul pourra dormir entre 6 et 8 heures vers l’âge de 6 mois. Les réveils et les boires fréquents au cours de la nuit sont essentiels au développement optimal de l’enfant.

Selon la Société pédiatrique canadienne, entre 0 et 6 mois, un bébé dormira environ 16 heures par jour, malheureusement pour les parents, pas toujours au moment où ils le souhaiteraient.

10. Mythe : Pendant le sommeil, le cerveau dort.

Réalité : Le corps se repose lors du sommeil, cependant le cerveau demeure actif. Il se recharge et se nettoie certes, mais il est toujours en contrôle de maintes fonctions du corps comme la respiration.

Typiquement, les cycles de sommeil durent 90 minutes et comportent 2 phases en alternance : le REM (« rapid eye movement ») et le non-REM.

Le sommeil non-REM comporte 4 phases distinctes, évoluant du stade 1 de l’endormissement, duquel il est aisé de se réveiller, au stade 4 de sommeil profond, qui est le plus récupérateur, mais lors duquel il est plus difficile de sortir.

 

Texte adapté de Myths – And Facts – About Sleep de la National Sleep Foundation.

Références, telles que consultées le 5 octobre 2018.

https://www.sleepfoundation.org/how-sleep-works/myths-and-facts-about-sleep/page/0/3

https://canadianfamily.ca/kids/baby/sleeping-baby/

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7 moyens naturels de se remonter le moral

On ne se la cachera pas, les dernières semaines n’ont pas été faciles. Après de longs mois de pandémie, on espérait bien reprendre une vie normale avant la fin de 2021. Malheureusement, les circonstances ont voulu qu’on revive le jour de la marmotte.

La peur, la fatigue, l’insécurité, le découragement, la pression, l’isolement, la division. Difficile de garder le moral, n’est-ce pas? Difficile peut-être, mais certainement pas impossible.

Les chiropraticiens ont à cœur la santé globale de leurs patients et connaissent très bien la connexion qui existe entre le corps et l’esprit. C’est pourquoi ils considèrent la santé mentale aussi importante que la santé physique. L’un ne va pas sans l’autre.

Un esprit sain dans un corps sain.

Voici donc 7 moyens naturels pour vous aider à garder le moral en ces temps plus sombres. Et la plupart d’entre eux sont gratuits!

1. Passer du temps en nature

Ce ne sera pas très compliqué de vous convaincre que la nature est bénéfique pour la santé. Passer du temps en nature élève l’humeur, réduit le stress, diminue la pression sanguine et calme l’esprit. Une étude a même démontré que plus il y a d’arbres dans une rue, moins les habitants de cette rue consomment des médicaments antidépresseurs. C’est peu dire! Imaginez l’effet d’une randonnée…

2. Connecter avec les autres

Pouvoir parler avec un ami, sentir qu’on appartient à un groupe ou une famille, se sentir soutenu et écouté, c’est extrêmement important pour la santé.

Déjà, d’appeler un ami pour lui partager ses émotions lors d’un coup dur, ça fait un bien fou dans l’immédiat. Entretenir des relations satisfaisantes, sincères et authentiques réduit le stress et augmente la résilience (notre capacité d’adaptation).

La dépression, l’anxiété et les suicides sont communément liés à un manque du sentiment d’appartenance.

Alors la prochaine fois que l’humeur n’est pas à son top, pourquoi ne pas faire un appel vidéo avec un ami. Encore mieux, formez un petit groupe virtuel hebdomadaire pour simplement discuter et échanger dans le plaisir. En attendant de pouvoir serrer vos proches dans vos bras à nouveau.

3. Tenir un journal

Coucher ses pensées et ses émotions par écrit offre de nombreux bénéfices. Le journaling permet entre autres de suivre son humeur, clarifier son état, comprendre et décoder ses émotions. Il devient aussi plus facile d’identifier les discours intérieurs négatifs afin de les conscientiser et de les remplacer.

Les bénéfices sont multiples : réduire le stress, gérer l’anxiété, prioriser les problèmes et bien plus.

Si vous n’êtes pas familier avec l’écriture d’un journal, commencez par y inscrire 3 gratitudes par jour. Lisez cet article pour en savoir plus sur la gratitude.

Vous pouvez aussi choisir un journal « à remplir » ou encore suivre un guide de journaling (écriture guidée). Il est aussi possible de simplement écrire ce qui vous passe par la tête, un peu comme si vous vous confiiez à un ami.

4. Se mettre au défi

Vous souvenez-vous du sentiment de fierté et d’accomplissement qui accompagnait votre dernière réussite? Que ce soit la réussite d’une recette, l’obtention d’un nouveau poste, l’apprentissage d’une langue, la construction d’une cabane d’oiseau, ces expériences enseignent à votre cerveau que vous êtes capables et que vous avez les ressources internes pour réussir. Ce qui augmente votre confiance et la foi en vos capacités d’affronter des situations plus difficiles.

En vous assignant de petits challenges ou défis quotidiens simples, vous offrez l’opportunité à votre cerveau d’expérimenter ces émotions de fierté, de confiance et d’accomplissement. Ce qui augmente votre résilience et vous fournit des munitions pour aborder les prochains moments difficiles avec foi et positivisme.

Voici quelques exemples : boire 2 L d’eau, marcher 20 minutes, faire un exercice de cohérence cardiaque, terminer un livre, visionner un module d’une formation, aider son enfant à accomplir une tâche complexe, remplacer une tasse de café par une tisane, ajouter un légume à chacun de ses repas …

5. Passer plus de temps debout

Une étude récente a démontré que le temps passé assis était fortement associé à des détériorations de la santé mentale durant les confinements de la pandémie.

Une raison de plus pour enfin se procurer un bureau assis-debout pour diversifier ses positions de travail. Si ce n’est pas possible pour le moment, prenez l’habitude de quitter votre poste de travail à toutes les 90 minutes pour vous délier les jambes et faire quelques étirements.

Pour en savoir plus sur l’aménagement d’un bureau ergonomique à domicile, lisez cet article.

Pour des protocoles d’exercices de renforcement et d’étirements à faire à la maison, lisez plutôt cet article.

6. Bien s’alimenter, s’hydrater et opter pour la supplémentation

Une alimentation composée essentiellement de produits non- transformés améliore la résilience du corps et contribue à l’harmonie chimique.

On évite d’abord les sucres raffinés, qui entraînent une réduction de la production des hormones du bien-être.

On opte plutôt pour des légumes — beaucoup de légumes — des fruits, des graines, des noix, des poissons sauvages, des œufs, des légumineuses et de bons gras (les huiles d’olive, d’avocat, de coco, de pépin de raisins, etc.).

Il est aussi primordial de rester bien hydraté. La fatigue est souvent due à un manque d’hydratation. Plus on est fatigué, moins grande est notre résilience.

La supplémentation est aussi une option intéressante. La vitamine D3, particulièrement en saison hivernale, est un incontournable.

D’autres suppléments comme le magnésium, le zinc, les probiotiques, les omégas-3 ou le GABA bio-identique ont démontré leurs effets bénéfiques sur l’humeur. Parlez-en avec un professionnel de la santé de votre choix pour connaître les suppléments qui pourraient vous aider.

7. Cultiver son jardin intérieur

Que ce soit grâce à la méditation, à la visualisation guidée, à des prières ou à de simples respirations, cultiver son jardin intérieur offre des bienfaits incontestables.

Ces différentes méthodes ont démontré leur impact positif sur le bien-être. Ils stimulent la portion « zen » de votre système nerveux, cette portion responsable de la régénération, la guérison, le calme intérieur, la créativité, la paix et la sérénité.

Cultiver son jardin intérieur (ou avoir une pratique spirituelle) favorise une meilleure gestion du stress, ce qui élève l’humeur.

Pensez aussi à visiter votre chiropraticien régulièrement. En plus d’harmoniser et optimiser le fonctionnement de votre système nerveux, il pourra vous soulager des douleurs physiques incommodantes ou des douleurs chroniques qui peuvent être des facteurs aggravants de certains troubles de l’humeur.

 

Sources telles que consultées le 5 janvier 2022.

https://www.nature.com/articles/s41598-020-79924-5?utm_medium=affiliate&utm_source=commission_junction&utm_campaign=3_nsn6445_deeplink_PID100064639&utm_content=deeplink
https://www.mayoclinichealthsystem.org/hometown-health/speaking-of-health/is-having-a-sense-of-belonging-important
https://www.urmc.rochester.edu/encyclopedia/content.aspx?ContentID=4552&ContentTypeID=1

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