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Les 10 mythes les plus répandus sur la chiropratique

La chiropratique est-elle scientifique? Est-ce que ce sont les os qui craquent lors des traitements? Même si plus de 4 millions de Canadiens consultent un chiropraticien chaque année, la chiropratique est méconnue de plusieurs personnes. Qu’en est-il vraiment? Voici les 10 mythes les plus répandus en lien avec la chiropratique.

1. La chiropratique coûte cher
Au Québec, on a souvent l’impression que les soins de santé sont gratuits. Détrompons-nous. Le système de santé occupe la plus grosse portion du budget gouvernemental et nous le finançons à même nos impôts. Il est vrai qu’il faudra débourser de votre poche pour vos soins chiropratiques, tout comme vous le faites pour les soins dentaires. Quoique la plupart des assurances couvrent une bonne partie des frais. Mais pensez-y, un problème qui dégénère risque de vous coûter bien plus cher, surtout si vous devez cesser de travailler. « Si vous pensez que la santé coûte cher, essayez la maladie! » En traitant un problème dès son apparition, les coûts seront minimes si l’on compare à un arrêt de travail, sans compter les autres conséquences sur votre vie.

Mieux encore, les soins chiropratiques préventifs ne vous coûteront que quelques centaines de dollars par année. En comparaison : l’achat (ou la location) et l’entretien d’un véhicule peuvent vous coûter plus de 10 000 $ annuellement. Nous n’avons qu’une seule colonne vertébrale, une seule santé. Comment se fait-il que nous soyons plus enclins à débourser des milliers de dollars pour un véhicule (qui se remplace soit dit en passant) que des centaines de dollars pour notre propre santé?

2. La chiropratique n’est pas scientifique
Bien au contraire, la recherche chiropratique prend de l’expansion et les preuves de l’efficacité et de la sécurité des soins chiropratiques se multiplient. Une chaire de recherche en chiropratique a d’ailleurs vu le jour à l’Université du Québec à Trois-Rivières en 2006. Il est vrai qu’il a fallu du temps à la chiropratique pour démarrer ses recherches, faute de moyens (technologie, budget). Maintenant, on peut dire que la chiropratique bénéficie de recherches sérieuses et se taille une place de choix parmi les professions de la santé.

3. Un traitement chiropratique équivaut à un massage
Il est totalement faux de croire qu’un massage peut se substituer à un traitement chiropratique. Le chiropraticien utilise l’ajustement vertébral, une manipulation articulaire qui agit à la fois sur les systèmes musculaire, osseux et nerveux. Il est vrai que le massage détend la musculature, mais les bénéfices physiques s’arrêtent là. L’ajustement chiropratique vise la correction du problème sous-jacent, celui-là même qui entraîne les contractions musculaires : la subluxation. Toutefois, le massage demeure un excellent complément à l’ajustement chiropratique.

4. La chiropratique, c’est pour ceux qui ont mal
La douleur est souvent la dernière manifestation d’un problème physique. Bien avant que la douleur n’apparaisse, des changements dans les structures et les fonctions du corps surviennent. La subluxation est un bon exemple. Elle peut demeurer silencieuse de nombreuses années. Lorsque la douleur fait son apparition, le problème est généralement présent depuis longtemps. Des irritations, de l’inflammation, des contractions musculaires et de l’usure prématurée peuvent se présenter avant la douleur. Lors des traitements, la douleur disparaîtra généralement en premier, mais ce ne sera pas le gage d’une guérison complète. Il faudra poursuivre les soins jusqu’à ce que la cause soit enrayée, sans quoi le problème et la douleur associée referont surface. Le chiropraticien détecte les subluxations avant même qu’elles ne fassent mal. Il les corrige immédiatement et s’assure ainsi qu’elles ne causeront pas plus de dommage. Consulter en chiropratique sans avoir mal, ce n’est pas inutile, c’est intelligent! Tout comme aller chez le dentiste sans avoir mal ou chez le garagiste sans entendre de bruits bizarres sortir du moteur.

5. Les chiropraticiens sont des charlatans
À une certaine époque, les chiropraticiens ont été associés aux charlatans. N’importe qui pouvait s’improviser chiropraticien et se proclamer docteur en chiropratique. Ce n’est plus le cas depuis 1973 au Québec, année où les chiropraticiens se sont dotés d’une Loi sur la chiropratique et ont fait leur entrée à l’Office des professions. Depuis, l’Ordre des chiropraticiens du Québec veille à la protection du public en s’assurant que les chiropraticiens du Québec détiennent un permis valide. Pour obtenir ce permis, le chiropraticien doit avoir complété son doctorat en chiropratique (cinq ans d’université, dont 18 mois d’internat), suivre un nombre préétabli d’heures de formation continue et payer ses cotisations annuelles.

6. La chiropratique crée une dépendance (ou vous oblige à prendre un abonnement à vie)
Le chiropraticien, en raison de ses connaissances et de son expérience, sait d’emblée que la prévention rapporte. La plupart des chiropraticiens croient en la chiropratique préventive et la proposent à leurs patients une fois que leur problème initial est résolu. Il demeure au choix du patient de poursuivre ou non des soins de mieux-être en chiropratique. Faire le choix ou non de la prévention de la santé est le reflet de ses valeurs personnelles. Bien manger, faire de l’activité physique, prendre soin de sa santé mentale sont autant de façons de cultiver son mieux-être. Inclure la chiropratique préventive dans son mode de vie relève du même domaine. La plupart des gens le font avec la dentisterie préventive. Sommes-nous dépendants des soins dentaires? Certains vous diront que la seule dépendance que crée la chiropratique, c’est la dépendance au bien-être. Une vie exempte de douleurs, c’est tentant non?

7. L’ajustement chiropratique fait craquer les os
Le son entendu lors de certains ajustements (ou manipulations vertébrales) se nomme cavitation. Il s’agit en fait d’une formation de gaz qui survient lors d’un changement de pression dans l’articulation au moment de l’ajustement. La cavitation en elle-même est sans danger lorsqu’elle survient dans le cadre d’un ajustement articulaire exécuté par un chiropraticien. Il n’y a donc rien à craindre, ce bruit de « craquement » est inoffensif. La cavitation s’accompagne d’un relâchement musculaire et d’une libération d’endorphines, les hormones du bien-être, d’où le soulagement immédiat typique de l’ajustement chiropratique.

8. L’ajustement chiropratique est douloureux
En soi, l’ajustement chiropratique n’est pas douloureux. Lorsque l’on reçoit un ajustement dans une région indolore (subluxation silencieuse à un stade précoce), on ne ressent généralement aucune douleur. Toutefois, si l’on souffre de problèmes discaux ou s’il y a présence d’inflammation importante, il se peut qu’un inconfort léger soit ressenti lors de l’ajustement. Règle générale, les douleurs ressenties (le cas échéant) sont moindres que la douleur initiale.

9. Les ajustements chiropratiques sont dangereux
Les ajustements chiropratiques sont sécuritaires, à condition bien sûr qu’ils soient faits par un chiropraticien. L’Ordre des chiropraticiens est bien clair à ce sujet : « seul le chiropraticien détient une formation adéquate pour effectuer l’ajustement chiropratique avec précision et en toute sécurité. » Les cinq années d’études universitaires du chiropraticien lui permettent d’évaluer les risques associés à certains problèmes et ainsi de choisir un plan de traitement approprié. En effet, certains problèmes de santé et antécédents médicaux sont des contre-indications à la manipulation vertébrale, le chiropraticien est formé pour les connaître et reconnaître. L’approche chiropratique est d’ailleurs bien appuyée par des recherches scientifiques solides.

10. La chiropratique, c’est seulement pour les maux de dos
Il est totalement faux de croire que la chiropratique se résume aux maux de dos. Toutes les articulations du corps peuvent bénéficier de la chiropratique : cou, poignet, épaule, coude, genou, pied, hanche, bassin, etc. Cervicalgie, lombalgie, dorsalgie, tendinites, douleurs sciatiques, bursites, tennis elbow et douleurs à la mâchoire sont tous des problèmes pour lesquels le chiropraticien a été formé.

De plus, l’efficacité de la chiropratique a été prouvée pour le traitement des maux de tête d’origine cervicale. Grâce à son approche globale de mieux-être, la chiropratique contribue à soulager les douleurs associées à de nombreux problèmes de santé tels l’arthrose, l’arthrite, les migraines, la scoliose et plus encore. La chiropratique agit directement sur le système nerveux, qui lui, contrôle l’ensemble des fonctions du corps. C’est pourquoi les soins chiropratiques peuvent aussi améliorer l’état général d’une personne.

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Nouvelle étude : Usure prématurée à la colonne vertébrale sans douleurs

PAS DE SYMPTÔMES… DONC TOUT VA BIEN?

  Tout le monde connait l’expression « il vaut mieux prévenir que guérir ». Mais combien l’appliquent vraiment quand il est question de prendre soin du système le plus important de leur corps – le système neurovertébral? Vous savez, celui qui se trouve dans votre dos et votre cou…

 Malheureusement, la très grande majorité des gens minimise l’importance de la colonne vertébrale. Ils la croient en bonne santé puisqu’ils ne ressentent pas de douleur au dos ni au cou, mais ne s’en préoccupent guère autrement. Pourtant, les faits sont probants : il est possible de souffrir d’une sérieuse dégénérescence vertébrale sans avoir mal.

 Les conclusions d’une étude de 2015 (1) viennent soutenir ces dires en démontrant à quel point il est fréquent qu’une personne moyenne souffre d’une mauvaise santé vertébrale sans nécessairement ressentir de la douleur ni même présenter d’autres symptômes.

 Voici quelques observations importantes effectuées dans le cadre de l’étude :

 37 % des personnes asymptomatiques (sans douleur ou autre symptôme) dans la vingtaine présentent une dégénérescence discale; le résultat monte à 96 % pour les octogénaires asymptomatiques.

  • 30 % des personnes asymptomatiques dans la vingtaine présentent un bombement discal; le résultat monte à 84 % pour les octogénaires asymptomatiques.
  • 29 % des personnes asymptomatiques dans la vingtaine présentent une protrusion discale (une sorte de hernie discale); le résultat monte à 40 % pour les octogénaires asymptomatiques.
  • 19 % des personnes asymptomatiques dans la vingtaine présentent une fissure annulaire (déchirure du tissu intervertébral); le résultat monte à 29 % pour les octogénaires asymptomatiques.

 Le fait que tant de personnes ne ressentent pas de douleur malgré les lésions à leur colonne vertébrale démontre que les symptômes ne sont pas les seuls indicateurs auxquels se fier pour évaluer la santé. Il est primordial de regarder l’ensemble de la fonction lorsqu’on vise un niveau de santé élevé. Voilà le rôle de votre chiropraticien de famille. C’est d’ailleurs une évaluation approfondie de la colonne vertébrale qui permet de détecter rapidement les dérèglements – nommées subluxations vertébrales –  et de s’en occuper avant même qu’ils ne soient douloureux et qu’ils entrainent des problèmes de santé plus graves.

 Ainsi, les constats de cette étude viennent supporter l’idée que tous les bébés, enfants et adultes doivent être évalués régulièrement afin de vérifier la présence de subluxations pour enrayer les risques de problèmes neuro-musculo-squelettiques de la colonne vertébrale et, par le fait même, aider à prévenir d’importants dégâts neurologiques!

 

Référence

  1. Brinjikji et al. Systematic literature review of imaging features of spinal degeneration in asymptomatic populations. American Journal of Neuroradiology avril 2015; 36(4):811-6

 

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Le stress ruine-t-il votre santé ?

On veut tous être zen… Exit les soucis financiers et les relations conflictuelles! Mais qui est vraiment prêt à faire un trait sur toutes ses sources de stress? À sabrer dans sa vie familiale, professionnelle et sociale? Soyez réaliste : vous ne laisserez pas tomber votre emploi du jour au lendemain et vous ne voulez sûrement pas non plus quitter vos obligations familiales.

Que faire alors pour sortir de l’état de survie qui ruine votre santé?

Vos options pour moins subir de stress

Logiquement, vous avez deux choix : 1 – diminuer vos sources de stress ou 2 – augmenter votre capacité d’adaptation au stress. Alors que la première option peut s’avérer difficile à appliquer, la deuxième sera synonyme de productivité, vitalité et énergie. Quand la capacité d’adaptation est assez grande, le stress peut devenir une opportunité de croissance, un défi, un apprentissage sain. C’est ce qui fait la différence entre s’épanouir et subir.

L’ingrédient secret pour augmenter votre adaptation au stress

Le stress est une question de perception. Ce qui vous stresse n’est peut-être qu’un simple défi pour un autre. Il est donc important de travailler sur vos perceptions mentales et émotives du stress.

Votre corps utilise notamment son ordinateur central, votre cerveau, aussi appelé système nerveux central, pour percevoir le stress. C’est lui qui traite toutes les informations provenant autant de vos cinq sens que de votre mental afin de déterminer ce qui est stressant dans votre environnement et ce qui ne l’est pas.

Pour que votre cerveau capte bien les informations et qu’il s’adapte correctement aux situations, il doit être lui-même en équilibre neurophysiologique. Pour cela, ses canaux de communication (nerfs et moelle épinière) doivent être libres d’interférence et le cerveau doit être stimulé de façon adéquate. Et la plus grande stimulation dont le cerveau a besoin, c’est le mouvement adéquat de la colonne vertébrale. C’est aussi lorsque la colonne ne bouge pas bien qu’elle crée de l’interférence dans la transmission de l’information nerveuse. Si vous avez l’impression que vous perdez le contrôle et que vous vous sentez constamment envahi par le stress, c’est possiblement parce que votre système nerveux ne fonctionne pas à 100 %.

Un système nerveux équilibré pour une vie plus zen

Depuis ses débuts en 1895, la chiropratique a pour but d’aider la fonction optimale du système nerveux central. Avec les connaissances de la neurologie contemporaine, on comprend mieux pourquoi le corps a une meilleure capacité d’adaptation lorsque le système nerveux est équilibré.

Beaucoup de gens l’expliquent comme des effets secondaires positifs qu’ils observent lors de leur suivi chiropratique : leur système immunitaire fonctionne mieux, leur digestion est plus efficace, ils ont plus d’énergie et devinez quoi… ils se sentent moins stressés!

N’oubliez pas que la santé de votre système nerveux et votre capacité d’adaptation au stress dépendent aussi de vos bonnes habitudes de vie. Chaque fois que vous mangez une branche de céleri, que vous allez courir, que vous profitez d’une bonne nuit de sommeil ou que vous avez une pensée positive, vous investissez dans votre capital santé. Il en va de même lorsque vous recevez un ajustement chiropratique. Chacune de ses petites actions est un dépôt dans votre banque d’adaptation. Et plus votre banque est pleine, plus vous êtes riche en santé et en vitalité!

 

 

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Les maux de tête ruinent votre vie? Des solutions simples, efficaces et sécuritaires sont à portée de main.

Vous souffrez de maux de tête? Vous n’êtes pas seul! L’association chiropratique américaine estime que neuf personnes sur dix vont expérimenter des maux de têtes au cours de leur vie. Occasionnel ou fréquent, seulement embêtant ou sérieusement douloureux. Bien que ce soit commun, ce n’est pas pour autant normal. Un mal de tête, même léger, est un signal d’alarme que votre corps vous envoie.

 

Victime ou responsable de vos maux de tête

 

Selon l’Association chiropratique américaine, 95% des maux de tête sont des céphalées primaires, c’est-à-dire des céphalées de tension, des migraines ou des céphalées cervicogéniques. Elles ne sont causées par aucune maladie, mais par un déséquilibre neurostructurel résultant de mauvaises habitudes de vie.

 

Aujourd’hui, les activités sédentaires et stressantes sévissent et la population occidentale passe la majorité de son temps dans une même position ou posture, ce qui peut mener à un mauvais mouvement ou à un mauvais positionnement des vertèbres cervicales. On parlera alors de subluxation vertébrale. La subluxation entraîne une irritation nerveuse et provoque des spasmes du cou. Une des réponses du corps face à ce déséquilibre neurostructurel est le mal de tête que vous endurez.

 

Que faites-vous lorsque vous avez mal à la tête?

 

Vous serrez les dents et continuez ce que vous faisiez? Vous vous allongez? Vous avalez un comprimé en espérant voir s’estomper la douleur? Il y a une meilleure option.

 

La recherche indique que la manipulation cervicale – principal soin administré par les chiropraticiens – permet efficacement de rétablir l’équilibre vertébral et ainsi éviter que votre corps vous envoie des signaux d’alarme comme les maux de tête.

 

Rétablir l’équilibre : la science supporte les théories

 

C’est connu depuis longtemps. Déjà en 2001, des chercheurs à l’université Duke de Durham, en Caroline du Nord, avaient conclu que la manipulation cervicale soulageait presque immédiatement les maux de tête dont la cause se trouvait dans le cou et que les effets secondaires étaient nettement inférieurs à un médicament prescrit de façon courante en plus de procurer un soulagement plus durable des céphalées de tension.

 

Que faire pour prévenir les maux de tête?

 

Les maux de tête peuvent être déclenchés par divers facteurs : aliments (additifs alimentaires, GMS, nitrites, sulfites, sucre, alcool, etc.), manque d’eau, stimuli environnementaux (bruits, lumières, stress, etc.) et comportements (insomnie, mauvaise posture, exercice excessif ou insuffisant, changements dans la glycémie, etc.). Ce sont tous des facteurs de toxicité pour votre santé qui enclenchent une réponse de stress au niveau de votre système nerveux.

 

Voici quelques conseils d’usage en cas de mal de tête.

 

  • Prenez plusieurs pauses lorsque vous travaillez à l’ordinateur, assis ou courbé : bougez, redressez votre dos et votre tête et étirez-vous.
  • Bougez au quotidien : l’exercice physique augmente le taux d’endorphines dans le corps et favorise la détente et la résistance au stress.
  • Privilégiez une saine alimentation : diminuez votre consommation de sucre, de café et d’aliments transformés ou déjà préparés.
  • Soignez votre posture au quotidien, surtout au travail.
  • Buvez minimalement 2 litres d’eau par jour pour éviter la déshydratation.
  • Trouvez des outils de gestion du stress qui vous conviennent : yoga, méditation, écoute de musique, marche en nature, etc. Le stress mental est une cause majeure de tension physique qui affecte la mobilité du cou et la tension musculaire.
  • Faites vérifier la mobilité de votre colonne vertébrale régulièrement et appliquez les conseils de saines habitudes de vie de votre chiropraticien de famille.

 

 

 

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Emmener mon enfant chez le chiropraticien? Probablement un des plus beaux cadeaux à leur faire. Voici pourquoi.

Les parents sont de plus en plus nombreux à consulter en chiropratique pour le suivi de leurs enfants. Pourquoi? La réponse est simple : la colonne vertébrale, si petite soit-elle chez le nourrisson, doit permettre la bonne communication entre le système nerveux et le reste du corps. Si ce n’est pas le cas, le corps perd de sa capacité innée à s’autoréguler. Voici 10 raisons concrètes d’amener son enfant voir un chiropraticien.

 

  1. Diminuer les interférences causées dès la naissance.

Une simple diminution de la flexibilité de la colonne vertébrale entraîne un stress au niveau du système nerveux. Il devient alors plus difficile pour ce dernier d’assurer la pleine régulation et le contrôle des autres systèmes et organes. On nomme ce type de stress « subluxation vertébrale ».

Certaines études suggèrent que les subluxations peuvent débuter alors que le bébé se trouve à l’intérieur du ventre de sa mère. Elles seraient dues à un mauvais positionnement in utero, à une restriction de mouvement du fœtus ou à une exposition à des toxines. De telles interférences peuvent aussi se manifester en cas de complications lors du processus de naissance : accouchement long et laborieux, plusieurs manipulations du bébé, utilisation de ventouses ou de forceps, accouchement par césarienne.

 

Les nourrissons peuvent être examinés et ajustés par un chiropraticien aussi tôt que quelques minutes suivant leur naissance. Des techniques particulières ont été développées pour ajuster délicatement et de façon sécuritaire la colonne vertébrale des nourrissons.

 

  1. « Vaut mieux prévenir que guérir. »

De façon innée, le corps essaie toujours de revenir en équilibre et de protéger ses blessures. Il crée ainsi des patrons de protection autour des subluxations qui rendent sa correction à long terme plus difficile et surtout moins durable. Ceci est vrai autant pour les adultes que les enfants. Il est donc beaucoup plus logique de faire vérifier la colonne vertébrale de vos enfants avant même que les symptômes apparaissent plutôt que d’attendre une accumulation de couche de protection.

 

  1. Aider à résoudre les problématiques d’allaitement et de coliques.

Pour un bébé, une diminution de la communication nerveuse (subluxation) peut se traduire en coliques, en irritabilité, en difficulté à prendre le sein à l’allaitement ou encore en trouble de sommeil.

 

  1. Renforcer le système immunitaire pour favoriser la diminution des otites, rhumes, grippes et autres infections.

Bien que la chiropratique puisse être bénéfique dans divers problèmes de santé, il ne s’agit par contre pas d’une cure. L’objectif n’est pas le traitement ni la guérison de la maladie (rhumes, grippes, otites). Les ajustements chiropratiques visent à s’assurer que le système nerveux a toutes les possibilités de communiquer clairement avec les autres systèmes du corps, comme le système immunitaire. De cette façon, le corps peut recréer son ordre naturel et une fonction optimale des petits soldats de votre enfant pour qu’ils assurent sa guérison.

 

  1. Diminuer l’impact des interférences sur les capacités d’apprentissage et de concentration.

Le système nerveux est le grand dirigeant des fonctions corporelles. Si ses moyens de communication s’embrouillent ou s’endommagent, l’enfant peut accuser un retard de développement, une difficulté de concentration, un trouble de comportement, etc.

 

  1. Favoriser une bonne plasticité neuronale.

Le cerveau, dès le développement embryonnaire et tout au long de la vie, est en développement. Il s’agit d’un système dynamique, capable de s’adapter et de se modifier. Comme la colonne vertébrale est l’organe le plus riche en récepteurs de mouvement (propriocepteurs), les ajustements chiropratiques permettent de stimuler le système nerveux et ainsi de favoriser la qualité de la communication. Il n’est pas rare de remarquer une amélioration de la coordination et de l’équilibre lorsque le système nerveux est enfin libre d’interférence.

 

  1. Promouvoir une physiologie en équilibre.

La santé des enfants est leur plus grand atout pour s’épanouir pleinement. Le chiropraticien, en corrigeant les interférences du système nerveux à la colonne vertébrale même, encourage le plein développement de l’enfant, aide à résoudre les troubles posturaux, soutient le système respiratoire en cas d’asthme et d’allergie, supporte l’efficacité du système digestif et peut même accompagner l’enfant en cas d’énurésie (pipi au lit).

 

  1. Diminuer l’impact néfaste de notre société moderne sur la santé.

Une interférence au système nerveux peut être induite par les activités de la vie quotidienne. Il peut s’agir d’un stress d’ordre physique, chimique ou émotionnel; par exemple, une mauvaise posture, une position assise prolongée, un mouvement répétitif inadéquat, une mauvaise position de sommeil, une chute ou un accrochage, de mauvais choix alimentaires, la déshydratation, l’exposition à certains produits chimiques ou toxines, l’anxiété, un climat familial ou relationnel tendu, etc.

 

  1. Faciliter la joie de vivre.

Les stress émotionnels créent des interférences au système nerveux et l’inverse est aussi vrai : un système nerveux irrité entraîne une humeur irritable. Si la colonne vertébrale de votre enfant est constamment mise sous tension, son corps doit déployer énormément d’énergie pour maintenir ses mécanismes de protection. Il lui en reste alors bien moins pour jouer, rire, courir, sauter, etc. Une fois le système nerveux dégagé et libre d’interférences, l’énergie peut être distribuée là où elle est la plus utile : croissance, guérison, création.

 

  1. Aider l’enfant à rester en pleine forme et pétillant de santé.

Combiné à un style de vie sain, la chiropratique est une porte d’entrée vers le bien-être absolu. Questionnez votre entourage et vous réaliserez que les parents qui ont recours à la chiropratique rapportent fréquemment que ça aide leurs enfants à être au sommet de leur forme.

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