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Les maux de tête : découvrez les types les plus fréquents et leurs pistes de traitement

Céphalées et migraines… Tant de possibilités diagnostiques se présentent à nous lorsque vient le temps de trouver la cause d’un mal de tête. Les origines sont nombreuses, les symptômes varient énormément et les traitements doivent être conséquents afin d’obtenir un soulagement efficace et direct. Dans cet article, vous découvrirez les principaux types de maux de tête et des pistes de solutions vous seront données afin d’établir une routine sans faille afin de vous aider à soulager vos douleurs.

Céphalée et migraine, comment les différencier?

Abordons d’abord le sujet de façon plus scientifique. Selon la littérature, une céphalée est caractérisée par une douleur ciblant une partie de la tête :

  • crâne
  • cou
  • visage
  • intérieur de la tête

Ces caractéristiques sont assez larges, n’est-ce pas? En conséquence, il y a différents types de céphalées, et la migraine en fait partie :

  • Céphalée de tension
  • Migraine avec aura
  • Migraine sans aura
  • Céphalée de Horton
  • Céphalée cervicogénique
  • Névralgie du trijumeau
  • Algie vasculaire de la face
  • Migraine ophtalmique
  • Céphalée de rebond (par surconsommation de médicaments)
  • etc.

De plus, on peut classer les céphalées selon leur cause, c’est-à-dire qu’elles peuvent être primaires ou secondaires.

  • Primaire : dont la cause est directement liée à la douleur (ex. : céphalée de tension)
  • Secondaire : dont la cause est liée à autre chose (ex. : céphalée de rebond)

Pour déterminer avec précision le diagnostic associé à la céphalée, un suivi approprié avec un professionnel qualifié comme le chiropraticien devrait être envisagé.

Céphalées : les types les plus fréquents

Cet article vise principalement à vous donner de l’information sur les types de céphalées les plus fréquents. De ce fait, vous saurez les reconnaître plus facilement et serez à même de trouver les pistes de solutions qui vous permettront d’améliorer votre qualité de vie.

1. Céphalée de tension

La céphalée de tension est une condition très commune. Elle fait partie des céphalées primaires.

Le plus souvent, elle se caractérise par une sensation d’étau ou de pression autour de la tête, qui cible les yeux et peut se rendre à l’arrière de la tête. La douleur est d’une intensité modérée/sévère et se retrouve de chaque côté de la tête.

La céphalée de tension découle principalement de ceci :

2. Migraine

La migraine est un type de céphalée primaire. Elle peut se présenter de 2 façons principales :

  • Avec aura (signes annonciateurs que la douleur approche)
  • Sans aura (sans signes annonciateurs)

Les auras peuvent prendre différentes formes, dont des troubles de la vision, de la sensation, de l’équilibre, du mouvement ou du langage. Les auras sont temporaires et réversibles, c’est-à-dire qu’ils ne restent pas. Ils ne font qu’annoncer l’arrivée de la migraine.

Une fois la migraine installée, elle se caractérise souvent comme ceci :

  • Douleur sévère
  • Douleur pulsatile
  • Douleur unilatérale le plus souvent
  • Douleur pouvant être aggravée par l’activité physique, les bruits, les odeurs et la lumière
  • Douleur pouvant être associée à des nausées et vomissements

Contrairement à la céphalée de tension, les déclencheurs de la migraine sont très diversifiés et non seulement associés à l’aspect musculosquelettique :

  • Fatigue
  • Consommation de certains aliments
  • Alcool (vin rouge)
  • Faim
  • Exposition à certaines odeurs
  • Stress

3. La céphalée cervicogénique

La céphalée cervicogénique est définie par une céphalée dont l’origine se trouve au niveau cervical (cou). Elle fait donc partie des céphalées secondaires, puisque la douleur ressentie à la tête peut être provoquée par un mouvement cervical. Généralement, le diagnostic de la céphalée cervicogénique repose sur ceci :

  • Augmentation de la douleur par le mouvement cervical
  • Augmentation de la douleur par la mise en charge au niveau du cou
  • Diminution des amplitudes de mouvement cervicales
  • Douleurs cervicales
  • Présence de points gâchettes donnant des douleurs à la tête

Ces caractéristiques ne sont pas toujours présentes en totalité. Dans l’éventualité où seulement les points gâchettes reproduiraient la douleur à la tête, le diagnostic de céphalée cervicogénique ne serait pas le bon. Il s’agirait plutôt d’une céphalée de tension.

Les causes des dysfonctions cervicales à l’origine de la céphalée cervicogénique sont multiples :

  • Stress
  • Mauvaise posture de travail
  • Mauvaise posture de sommeil
  • Syndrome du cou texto
  • Mauvaise utilisation des appareils technologiques
  • Traumatisme direct

Diagnostic précis : questionnaire et examen complets

Chaque diagnostic chiropratique repose essentiellement sur une anamnèse (questionnaire) et un examen physique complets et détaillés. Non seulement ils sont essentiels pour déterminer la cause du problème, mais ils servent également à éliminer des causes ou des pathologies potentiellement plus graves qui ne découlent pas d’un suivi chiropratique.

En effet, certains maux de tête peuvent avoir une origine dite “non-chiropratique”, dans le sens où elle n’est pas neuromusculosquelettique. On peut penser à différentes causes comme une tumeur cérébrale, un AVC, un trouble neurologique, une méningite ou une hémorragie intracrânienne. Ces diagnostics ne sont pas des diagnostics chiropratiques et les symptômes qu’ils présentent ne sont pas associés à ceux des types de céphalées énumérés précédemment. Dans tous les cas, le chiropraticien est formé pour reconnaître les signes et symptômes qui ne s’apparentent pas à des conditions chiropratiques et pourra orienter le patient vers le professionnel de la santé indiqué.

Quoi faire maintenant que le diagnostic est tombé?

Lorsque le mal de tête apparaît, prenez certaines habitudes afin d’optimiser votre état. Sans nécessairement certifier que le mal partira, vous serez en mesure de mettre toutes les chances de votre côté pour améliorer votre condition.

  • Buvez de l’eau
    La déshydratation peut avoir un impact sur l’apparition d’un mal de tête.
  • Faites des exercices d’étirement
    Si le mal de tête est d’origine cervicale, il peut être bénéfique de faire des exercices d’étirement afin de stimuler la musculature.
  • Prenez une pause des écrans
    Les maux de tête peuvent être exacerbés par la lumière des écrans. Retirez-vous dans un endroit où la stimulation à la lumière n’est pas présente.
  • Reposez-vous
    Faites une sieste, allez prendre une marche, relaxez sur le fauteuil. Combiné avec l’hydratation, le repos est un élément clé dans la récupération des maux de tête.
  • Consultez votre chiropraticien
    Puisqu’il s’agit d’un diagnostic chiropratique, il va de soi que le suivi avec un chiropraticien peut faire partie des solutions à envisager pour optimiser votre état de santé. Les ajustements chiropratiques s’avèrent bénéfiques pour les conditions comme les céphalées de tension et les céphalées cervicogéniques. Outre les ajustements, votre chiropraticien sera en mesure de vous donner de judicieux conseils qui complèteront son suivi. Puisqu’il voit la santé dans sa globalité, il ne se limitera pas seulement au soulagement de la douleur, mais mettra aussi l’emphase sur vos habitudes de vie.

 

Sources, telles que consultées le 12 mars 2023
https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/headache-disorders#:~:text=Les%20c%C3%A9phal%C3%A9es%2C%20caract%C3%A9ris%C3%A9es%20par%20des,cours%20de%20l’ann%C3%A9e%20%C3%A9coul%C3%A9e.

https://www.merckmanuals.com/fr-ca/accueil/troubles-du-cerveau,-de-la-moelle-%C3%A9pini%C3%A8re-et-des-nerfs/c%C3%A9phal%C3%A9es/c%C3%A9phal%C3%A9es-de-tension

https://www.merckmanuals.com/fr-ca/accueil/troubles-du-cerveau,-de-la-moelle-%C3%A9pini%C3%A8re-et-des-nerfs/c%C3%A9phal%C3%A9es/migraines?query=migraine

https://www.chiropractic.ca/wp-content/uploads/2014/09/Headache-CPG-final-Jan2012_French.pdf?e3c7c0

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Accident de voiture : comment la chiropratique peut vous aider et quand consulter?

Au volant de sa voiture, Rémi écoutait son émission de radio favorite en attendant patiemment que le feu passe au vert. Il commençait à faire noir et les routes devenaient de plus en plus glissantes.

Malheureusement, le conducteur du véhicule derrière lui n’avait pas remarqué que la chaussée était glacée. Il n’a pas pu freiner à temps et son véhicule est entré en collision avec celui de Rémi.

Comme on aime dire en bon québécois : Rémi s’est fait rentrer dedans.

Rémi a senti le contrecoup, mais n’a pas tellement fait attention à l’état de sa colonne vertébrale. Il s’inquiétait bien davantage des dommages à sa voiture.

Quelques jours plus tard, il s’est mis à ressentir une raideur au cou et des maux de tête. Se pourrait-il que ce petit accident d’apparence anodine puisse être à l’origine de ces douleurs? Que doit-il faire maintenant?

Le TAEC : une conséquence fréquente de l’accident de voiture

Les accidents de voiture, aussi banals paraissent-ils, peuvent causer des dommages neuro-musculo-squelettiques.

Le TAEC, le trouble associé à l’entorse cervicale, est parmi les problèmes les plus fréquents liés aux accidents de voitures.

Lors d’un accident de voiture, le TAEC est habituellement provoqué par l’accélération suivie d’une décélération brusque de la tête. Ce mouvement est mieux connu sous les noms de coup du lapin, coup de fouet ou whiplash.

Parfois sournois le TAEC : des jours avant d’en ressentir les effets

Lorsque l’impact est de faible amplitude, comme c’est le cas dans l’histoire de Rémi, les symptômes peuvent prendre plusieurs jours pour se manifester. Même que certains dommages peuvent se manifester des années plus tard. Il peut donc être difficile de faire le lien avec l’accident et de choisir conséquemment d’entreprendre un plan de soin chiropratique.

Au contraire, lorsqu’il s’agit d’un impact important, les symptômes apparaîtront rapidement, dès que le stress associé à l’accident se dissipera, voire avant.

Mais attention!
Quoique la sévérité de l’accident est un bon indicateur du grade du TAEC, ce n’est pas toujours le cas. Un petit accident peut créer de graves dommages et l’inverse est aussi vrai.

Le TAEC n’est pas à prendre à la légère :

Près de 50% des adultes qui subissent un coup du lapin disent ressentir des douleurs au cou plus d’un an après leur accident.

Les signes et symptômes du TAEC

Le TAEC est classé en 4 stades selon la gravité des signes et symptômes.

Stade I : Cervicalgie et symptômes associés en l’absence de signes physiques objectifs.
Stade II : Cervicalgie et symptômes associés en présence de signes physiques mais sans évidence d’implication neurologique
Stade III : Cervicalgie et symptômes associés avec évidences d’implication neurologique
Stade IV : Cervicalgie et symptômes associés avec évidences de fracture ou de dislocation

Les signes et symptômes principaux du TAEC sont :

  • Douleur au cou
  • Raideurs et rigidités
  • Maux de tête
  • Étourdissements
  • Perte d’amplitude de mouvement
  • Douleurs ou engourdissements dans les bras

Ces symptômes sont attribués à des lésions aux structures telles que les ligaments, les muscles et les disques intervertébraux.

Les mécanismes sous-jacents de certains symptômes ne sont pas encore totalement compris à ce jour, mais certaines hypothèses pointent du doigt l’inflammation causée par le déplacement du cerveau dans la boîte crânienne ou encore par des microlésions vasculaires. D’autres études devront confirmer le tout.

Comment le chiropraticien peut soulager le TAEC?

Les docteurs en chiropratique sont habiletés à évaluer et traiter les cas de TAEC.

Selon le stade et la durée du TAEC, le chiropraticien établira un plan de soins basé sur des guides de pratique reconnus par la profession.

Ses recommandations seront donc adaptées à chaque patient :

  • Ajustements chiropratiques
  • Mobilisations et manipulations articulaires
  • Thérapie des tissus mous
  • Étirements assistés
  • Thermothérapie
  • Exercices à la maison
  • Collet cervical sporadique (souple ou rigide)
  • Oreiller cervical orthopédique
  • Conseils posturaux
  • Changement dans les habitudes de vie
  • Supplémentation
  • Autres thérapies complémentaires
  • Etc.

Quand consulter en chiropratique après un accident de voiture?

Puisque les signes et symptômes d’un TAEC peuvent apparaître des jours, des semaines voire des années après un accident de voiture, il est logique et judicieux que TOUS LES PASSAGERS (incluant les enfants) consultent un chiropraticien dans les plus brefs délais après avoir été victime d’un accident de voiture, même de faible impact.

Tous les passagers, incluant les enfants devraient faire évaluer l’état de leur colonne vertébrale à la suite d’un accident de voiture.

Votre chiropraticien procédera à une entrevue et un examen pour connaître votre histoire de santé et faire le bilan de votre état actuel.

S’il le juge opportun (s’il soupçonne par exemple une fracture ou une lésion de la moelle épinière), il pourra vous référer au bon professionnel de la santé.

Notez qu’au Québec, les soins chiropratiques peuvent être couverts par la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) si le patient présente une prescription médicale.

 

Sources (telles que consultées le 7 décembre 2021)

https://www.chiropractic.ca/wp-content/uploads/2016/11/FR-Educational-Executive-Summary-for-Practitioners-271016.pdf
https://chiro.org/LINKS/GUIDELINES/ART_CROFT.Chap12.shtml
https://cnfs.ca/pathologies/whiplash-cervical
https://www.spineuniverse.com/conditions/whiplash/chiropractic-care-whiplash
https://www.mayoclinic.org/diseases-conditions/whiplash/symptoms-causes/syc-20378921

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La routine mal de tête : 7 actions faciles à faire dès l’apparition d’une céphalée

Faites-vous partie de ces personnes qui ont régulièrement des maux de tête?

La plupart des gens ont le réflexe d’utiliser des médicaments sans ordonnance comme l’acétaminophène ou l’ibuprofène pour se soulager.

C’est compréhensible, très peu d’entre eux connaissent les véritables causes des maux de tête d’autant plus que notre culture occidentale prône le soulagement rapide pharmacologique et le retour à la performance.

En tant que chiropraticiens, nous proposons une tout autre approche dite holistique. Nous cherchons (depuis plus de 120 ans!!!) à trouver et corriger la cause des problèmes et douleurs de façon naturelle plutôt qu’à en camoufler les symptômes.

Cette approche permet de normaliser les fonctions et donc régler le problème à la source. On réduit ainsi le risque et les effets indésirables liés à la prise de médicament (parce que oui ils existent).

Puisqu’elles sont nombreuses, il est parfois difficile de trouver la cause à l’origine d’un mal de tête. (En savoir plus sur les causes des maux de tête).

C’est pourquoi nous avons pensé vous proposer une petite routine simple, facile et accessible à faire dès l’apparition d’un mal de tête. Cette routine permet d’adresser plusieurs des causes de maux de tête pour vous soulager sans avoir recours à des médicaments.

1. Boire de l’eau

Dès qu’un mal de tête fait son apparition, commencez par boire une très grande quantité d’eau, soit environ 1,5 L en moins de 30 minutes.

La déshydratation est une cause commune du mal de tête. Elle s’accompagne souvent de fatigue ainsi que d’une faible quantité d’urine foncée.

Il est recommandé de boire chaque jour 1 L d’eau par 50 lb de poids. Pour en augmenter la réabsorption intestinale, pensez à ajouter une pincée de fleur de sel dans votre bouteille.

Si l’hydratation est un défi pour vous, consultez cet article pour vous donner des idées afin de faciliter la prise d’eau quotidienne.

2. Faire des étirements

Tout en buvant votre 1,5 L d’eau, prenez quelques minutes pour vous étirer. Il n’est pas rare que le mal de tête soit causé par des tensions musculaires, elles-mêmes souvent associées à de mauvaises postures.

Voici une petite routine à mettre en place afin d’étirer adéquatement les muscles du cou, du haut du dos et des épaules.

3. Masser les muscles du cou et de la tête

Les maux de tête causés par des muscles tendus sont appelés les céphalées de tension. En massant les muscles, on permet un relâchement des points gâchettes qui causent cette douleur référée à la tête.

Allez-y dans cet ordre, en faisant de petites pressions circulaires. Si vous sentez un « nœud » et que la douleur à la tête est augmentée en y faisant une pression, insistez sur ce point jusqu’à ce qu’il relâche.

  • Muscles des tempes, du front et du tour des yeux
  • Muscles de la mâchoire
  • Muscles sous-occipitaux (derrière la tête, sous la ligne du crâne)
  • Muscles fléchisseurs du cou (penchez la tête légèrement vers l’arrière et massez du haut vers le bas en partant derrière les oreilles jusqu’à la clavicule)
  • Muscles extenseurs du cou (chaque côté de la colonne cervicale)
  • Les muscles trapèzes et les pectoraux
  • Les muscles de l’omoplate (utilisez une balle de tennis contre le mur ou le sol ou demandez à quelqu’un).

Les bénéfices des massages peuvent être amplifiés par l’utilisation d’un gel d’arnica et de certaines huiles essentielles comme la menthe poivrée, la gaulthérie (thé des bois) ou le romarin.

L’huile essentielle de menthe poivrée est la plus utilisée en aromathérapie pour soulager un mal de tête. Assurez-vous d’utiliser des huiles essentielles de haute qualité, de lire les instructions d’utilisation et de consulter un professionnel de la santé si vous souffrez de problèmes de santé sous-jacents.

4. Se retirer des écrans

Certains maux de tête sont occasionnés par la lumière directe des écrans. C’est en fait la fatigue oculaire qui peut être à l’origine de certaines céphalées.

Mais en plus de la lumière, les postures associées à l’utilisation des différents écrans sont d’autant plus problématiques.

Il est donc important de faire une pause des écrans pour réduire la fatigue oculaire ET ramener le corps dans une posture adéquate.

Et quand on parle d’écran, on parle de l’ordinateur oui, mais aussi des téléphones mobiles. Une image vaut mille mots.

5. Relâcher le stress grâce à des techniques de respirations

Quand la pression monte et devient intolérable, chaque corps a sa façon bien à lui de le démontrer. Certaines personnes ressentent des malaises digestifs alors que d’autres souffriront de douleurs musculo-squelettiques. Il arrive aussi que ce soit les maux de tête qui se pointent le bout du nez. Dans ces cas-là, avoir recours à des techniques de gestion du stress peut avoir un impact positif.

La respiration est la seule fonction autonome (elle se fait de façon inconsciente, comme la digestion et le battement cardiaque) que nous pouvons aussi contrôler consciemment.

La respiration est une porte d’entrée sur notre système nerveux.

Il existe des dizaines de techniques de respiration. Peu importe celle que vous choisirez, en inspirant et expirant lentement et profondément de façon consciente, vous activez automatiquement votre système nerveux parasympathique, responsable de la détente et de la régénérescence.

Pour connaître d’autres façons de gérer le stress en activant le système nerveux parasympathique, consultez notre article ici.

6. Faire une sieste ou prendre une marche

Le sommeil et le mouvement sont deux alliés quand vient le temps de soulager un mal de tête. Choisissez celui qui vous convient le mieux selon les circonstances (pas évident de faire une sieste au bureau 😉 ).

En plus d’activer votre système nerveux parasympathique et de réduire la pression liée au stress, une sieste ou une marche vous éloignera de votre écran.

7. Prendre rendez-vous avec son chiropraticien

Vous vous doutiez sûrement qu’on y arriverait, n’est-ce pas? Si votre mal de tête persiste ou qu’il devient récurrent, n’hésitez pas une seconde à faire vérifier votre colonne vertébrale par votre chiro préféré.

Bon nombre de maux de tête sont occasionnés par des subluxations vertébrales (une dysfonction articulaire et nerveuse) au niveau du cou ou par des tensions musculaires.

L’ajustement chiropratique a fait ses preuves dans le traitement des maux de tête. En plus de soulager la douleur, l’ajustement chiropratique permet la normalisation des fonctions et donc, la disparition de la cause sous-jacente.

Si vous souffrez régulièrement de maux de tête, n’attendez pas que votre problème s’aggrave en intensité, en fréquence ou en durée. Demandez un rendez-vous dès maintenant chez votre chiropraticien.

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15 solutions naturelles pour soulager les maux de tête et migraines

Vous en avez assez d’avoir régulièrement mal à la tête? Dans cet article, vous découvrirez les causes les plus communes à l’origine des maux de tête ainsi que nos 15 meilleures solutions naturelles pour les soulager ou les traiter.

Le mal de tête se retrouve au sommet de la liste des problèmes physiques les plus invalidants à travers le monde. Des épisodes fréquents de céphalées (ou maux de tête) entraînent une diminution de la qualité de vie et peuvent même affecter les sphères familiale, sociale et professionnelle d’un individu qui en souffre.

Il existe plusieurs sortes de maux de tête; les céphalées de tension et la migraine sont les plus communes. D’autres types de céphalées sont aussi fréquents : la céphalée de Horton (ou algie vasculaire de la face ou Cluster), les désordres temporo-mandibulaires (mâchoire), la névralgie d’Arnold, les céphalées cervicogéniques, la sinusite et plusieurs autres.

Selon l’Association chiropratique américaine, 95 % des maux de tête sont des céphalées primaires, c’est-à-dire des céphalées de tension, des migraines ou des céphalées cervicogéniques. Elles ne sont causées par aucune maladie, mais par un déséquilibre neurostructurel résultant de mauvaises habitudes de vie.

Il existe autant de causes que de types de maux de tête : dysfonction des articulations vertébrales, tension musculaire, déshydratation, intolérance à des parfums synthétiques, intolérance alimentaire, débalancement hormonal, déficience en vitamines ou minéraux, abus d’alcool, sevrage, infection des voies respiratoires supérieures, hypertension, hypoglycémie, maladie grave…

Le soulagement de la céphalée dépendra évidemment de son origine. Un docteur en chiropratique peut vous aider à mettre en lumière la cause de vos maux de tête. Vous serez ainsi plus en mesure d’identifier les éléments déclencheurs, s’il y en a, et de les éviter, si possible. Vous pourrez aussi établir avec votre docteur en chiropratique un plan de traitement adapté à votre situation et découvrir les outils qui vous aideront à soulager vos symptômes.

Voici 15 solutions naturelles pour soulager les maux de tête.

1) Boire de l’eau. Quel conseil banal, n’est-ce pas? Vous seriez surpris du nombre de maux de tête causés par la déshydratation. Dès que l’on ressent un début de céphalée, on se précipite sur notre bouteille d’eau pour boire un grand coup!

2) Consulter en chiropratique. Le chiropraticien est en mesure de trouver et de régler la cause de nombreux maux de tête. Il pourra aussi vous guider dans l’adoption d’un style de vie sain dans lequel la fréquence et la durée des maux de tête pourraient être réduites. De nombreuses études rapportent que les ajustements chiropratiques (manipulations cervicales) sont efficaces et sécuritaires dans le traitement des migraines et des céphalées d’origine cervicale, tout en étant associés à peu d’effets secondaires. Consulter un chiropraticien vous permettra de recevoir un diagnostic clair et d’établir avec lui un plan de traitement adapté à votre situation.

3) Se masser le cou, les épaules et le visage. De nombreux maux de tête prennent leur origine dans une tension musculaire du cou ou des épaules. Effectuer un massage et des étirements de ces muscles peuvent aider à relâcher la pression. Consultez un chiropraticien pour trouver et régler la cause de ces tensions musculaires dès que possible. D’autres céphalées proviennent plutôt d’une congestion des sinus. Avec le bout des doigts, massez le front et les joues de l’extérieur vers l’intérieur – l’objectif étant de diriger le mucus vers le nez pour qu’il s’écoule dans la gorge.

4) Détecter les intolérances. Le gluten, les produits laitiers et même les ondes électromagnétiques peuvent être la cause de maux de tête. La seule façon de savoir si vos maux de tête sont provoqués par une intolérance, c’est d’éliminer l’agent soupçonné pendant une période d’environ 30 jours et d’observer les effets.

5) Éviter les déclencheurs. Certains types de maux de tête, et particulièrement les migraines, sont précipités par des éléments déclencheurs comme les sulfites, le café, les produits laitiers, l’alcool, les charcuteries, les additifs alimentaires, les colorants alimentaires, le sucre raffiné, etc. Apprenez à connaître quels aliments vous provoquent des maux de tête (le journal alimentaire peut être d’une grande utilité) et évitez-les autant que possible de manière à réduire la fréquence des épisodes.

6) Éviter les parfums synthétiques. Ils sont PARTOUT : détergents, eau de toilette, produits ménagers, désodorisants textiles, chandelles parfumées, cosmétiques, etc. Choisissez des produits sans parfum et ajoutez vous-mêmes vos huiles essentielles de haute qualité (les huiles essentielles bon marché contiennent souvent des agents de remplissage et des solvants synthétiques). Évitez de vous parfumer, n’utilisez pas de « sent-bon » dans la voiture ou dans la maison.

7) Utiliser l’huile essentielle de menthe poivrée ou de lavande. Optez pour une huile essentielle de grade thérapeutique : mettez une goutte dans la paume de votre main, frottez vos mains ensemble, fermez les yeux et approchez vos mains de votre nez. Prenez 3 ou 4 grandes inspirations par le nez. Frottez vos mains sur votre nuque et vos épaules et massez vos tempes. Répétez au besoin.

8) Prendre l’air. Sortez prendre une marche de quelques minutes pour oxygéner votre cerveau et réduire les tensions.

9) Essayer la cryothérapie et la thermothérapie. Certains maux de tête peuvent être soulagés par l’application de glace ou de chaleur sur la nuque. N’appliquez pas la glace directement sur la peau et ne dépassez pas 15 minutes. La chaleur peut être laissée environ 30 minutes.

10) Prendre un supplément de magnésium. Nombreuses sont les personnes présentant un déficit de magnésium et des études ont rapporté que les personnes souffrant de migraines étaient particulièrement touchées par ce déficit. Un supplément quotidien de magnésium de haute qualité (sous forme de citrate ou de bisglycinate de magnésium) peut être une bonne option, particulièrement chez les personnes vivant beaucoup de stress, chez les diabétiques ou chez les gens qui consomment de fortes quantités d’alcool.

11) Délaisser les écrans. L’ordinateur, la tablette, la télévision ou le téléphone mobile peuvent fatiguer les yeux et entraîner des maux de tête. Les appareils mobiles sont encore plus souvent à l’origine de maux de tête en raison de la position dans laquelle on les consulte (cou du texto). Redressez-vous et prenez des pauses régulières, que ce soit lors des loisirs ou du travail.

12) Bouger plus. L’exercice physique augmente le taux d’endorphines dans le corps et favorise la détente et la résistance au stress. Faire des étirements régulièrement peut aussi aider à réduire l’apparition des maux de tête.

13) Apprendre à gérer son stress. Trouvez des outils de gestion du stress qui vous conviennent : yoga, méditation, écoute de musique, marche en nature, etc. Le stress mental est une cause majeure de tension physique qui affecte la mobilité du cou et la tension musculaire.

14) Adopter une posture adéquate. Que ce soit au bureau, sur le divan ou dans votre lit, une posture adéquate est importante dans la prévention des maux de tête. Assurez-vous d’avoir un poste de travail ergonomique. Utilisez un oreiller à votre taille et ne dormez pas sur le ventre.

15) Soigner les allergies. Les maux de tête peuvent provenir d’un problème d’allergie saisonnière ou encore d’une allergie à la poussière ou aux acariens. Utilisez l’huile essentielle de lavande pour réduire vos symptômes, passez l’aspirateur fréquemment et particulièrement sur le matelas.

 

Références
1. MAUSKOP et coll. « Why all migraine patients should be treated with magnesium », Journal of neural transmission, Vienne, vol. 119, no 5, p. 575-579, 2012.
2. BRYANS et coll. « Evidence-based guidelines for the chiropractic treatment of adults with headache », Journal of Manipulative Physiological Therapeutics, 2011.
3. TUCHIN. « A Randomized Controlled Trial of Chiropractic Spinal Manipulative Therapy for Migraine », Journal of Manipulative and Physiological Therapeutics, 2000.
4. CLAR C. et coll. « Clinical effectiveness of manual therapy for the management of musculoskeletal and non-musculoskeletal conditions: systematic review and update of UK evidence report », Chiropractic Manual Therapies, 28 mars 2014, vol. 22, no 1, p. 12.
5. VARATHARAJAN S. et coll. « Are non-invasive interventions effective for the management of headaches associated with neck pain? An update of the Bone and Joint Decade Task Force on Neck Pain and Its Associated Disorders by the Ontario Protocol for Traffic Injury Management (OPTIMa) Collaboration », European Spine Journal, juillet 2016, vol. 25, no 7, p. 1971-1999.

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8 effets insoupçonnés d’une mauvaise posture

Bas du dos creux, ventre flasque, épaules arrondies, tête penchée vers l’avant… vous reconnaissez quelqu’un ? Plus ou moins flatteur comme portrait, sans compter les maux de dos, de cou et de tête qui apparaissent tôt ou tard.  Mais bien au-delà de l’esthétique, votre mauvaise posture entraîne son lot d’effets secondaires néfastes pour la santé. Voici 8 excellentes raisons de soigner votre posture peu importe votre âge.

1.      Système nerveux irrité

Une mauvaise posture crée un stress immense sur la colonne vertébrale et lui fait perdre de sa flexibilité. L’exemple parfait est celui d’un vieillard qui, au fil du temps, est devenu figé dans cette posture recourbée. Évidemment, ce genre de situation est évitable si on prend soin de sa posture dès un jeune âge.

Ce qui est important de comprendre, c’est que lorsqu’on adopte une mauvaise posture, les multiples articulations de la colonne deviennent dysfonctionnelles et créent de l’irritation au système nerveux. Ceci affecte la capacité du cerveau à bien communiquer avec le corps. Cette connexion corps-cerveau est évidement primordiale pour un bon fonctionnement général de tous les organes et une bonne santé globale.

C’est donc dire que si votre posture se dégrade, votre santé globale se dégrade aussi et ce, peu importe votre âge.

2.      Mode de survie constant

Une mauvaise posture signifie aussi une sollicitation constante de certains muscles qui sont nécessaires en état de survie. Par exemple, si vous êtes assis, les muscles psoas sont rétractés, comme si vous étiez en train de vous enfuir à la course. Lorsque votre cerveau détecte une contraction soutenue de ces muscles, il entre graduellement en mode « fuite ou attaque » et enclenche une cascade de réactions physiologiques telles qu’une augmentation du rythme cardiaque, du rythme respiratoire, de la pression artérielle et du taux de cortisol (hormone de stress).

3.      Amplification d’émotions négatives

Comme l’explique la psychologue sociale, Dre Amy Cuddy PhD, dans sa présentation sur TED Talks « Votre langage corporel forge qui vous êtes », la posture que vous adoptez peut littéralement affecter la biochimie de votre cerveau et vos hormones. Ainsi, une posture recourbée indique au corps un comportement replié, renfermé et effacé, ce qui cause et amplifie des sentiments de dépression, d’isolation, de baisse d’énergie et de diminution de la confiance en soi.

 

4.      Langage corporel nuisible

Si vous optez pour une posture affaissée, cela n’affectera pas que votre humeur et votre attitude, vous verrez aussi une incidence sur la manière dont les autres vous perçoivent. Si votre patron entre dans votre bureau et vous voit affalé sur votre chaise, il ne pensera peut-être pas à vous au moment de distribuer les promotions. Et probablement que le premier rendez-vous galant n’aura pas de suite si vous projetez l’image d’une personne qui n’a « pas de colonne ».

5.      Troubles digestifs

Une bonne posture tonifie les muscles qui supportent les organes digestifs. Les chercheurs croient qu’une mauvaise posture peut contribuer à divers problèmes digestifs, notamment les reflux gastriques, la constipation et même certains types d’hernies. De plus, l’estomac et les intestins sont alors comprimés, ce qui ralentit le transit et diminue l’absorption des nutriments. Grand-mère avait raison : à table, on se tient droit!

 

6.      Arthrose et ostéoporose

Un bon alignement postural aide le squelette à supporter la masse corporelle tel qu’il le doit et, par conséquent, les os restent forts et les articulations saines. À l’inverse, une mauvaise posture oblige les muscles, tendons et ligaments à faire tout le travail. Avec le temps, la densité osseuse diminue et les articulations s’érodent. Si vous voulez renforcer vos os, garder vos articulations mobiles et retarder l’usure de vos articulations (arthrose), tenez-vous bien droit.

7.      Circulation entravée

Votre corps est une machine qui fait circuler les fluides sans arrêt. Demeurer assis pendant une longue période, particulièrement les jambes croisées et le dos courbé, peut obstruer la circulation sanguine, augmenter la pression et même causer des varices. Il en va de même pour le système lymphatique qui est ralenti dans son drainage des toxines.

8.      Stress intense et anxiété

Une étude récente de Harvard a démontré que le fait de s’affaisser causait une diminution de 10% de la testostérone et une augmentation de 15% du cortisol, conséquemment un niveau élevé de stress et d’anxiété.

 

Si vous êtes inquiet au sujet de votre posture ou de celle d’un membre de votre famille, parlez-en à un chiropraticien. Après tout, c’est lui l’expert de la colonne vertébrale et du système nerveux! Il sera en mesure de bien évaluer la situation et de vous conseiller sur les meilleures solutions possibles.

 

Maintenir une bonne posture, c’est bon pour la santé physique, mentale et émotionnelle, et ça permet d’éviter une panoplie de problèmes!

 

 

Categories Soyez Ajustés en chiropratique

Les maux de tête ruinent votre vie? Des solutions simples, efficaces et sécuritaires sont à portée de main.

Vous souffrez de maux de tête? Vous n’êtes pas seul! L’association chiropratique américaine estime que neuf personnes sur dix vont expérimenter des maux de têtes au cours de leur vie. Occasionnel ou fréquent, seulement embêtant ou sérieusement douloureux. Bien que ce soit commun, ce n’est pas pour autant normal. Un mal de tête, même léger, est un signal d’alarme que votre corps vous envoie.

 

Victime ou responsable de vos maux de tête

 

Selon l’Association chiropratique américaine, 95% des maux de tête sont des céphalées primaires, c’est-à-dire des céphalées de tension, des migraines ou des céphalées cervicogéniques. Elles ne sont causées par aucune maladie, mais par un déséquilibre neurostructurel résultant de mauvaises habitudes de vie.

 

Aujourd’hui, les activités sédentaires et stressantes sévissent et la population occidentale passe la majorité de son temps dans une même position ou posture, ce qui peut mener à un mauvais mouvement ou à un mauvais positionnement des vertèbres cervicales. On parlera alors de subluxation vertébrale. La subluxation entraîne une irritation nerveuse et provoque des spasmes du cou. Une des réponses du corps face à ce déséquilibre neurostructurel est le mal de tête que vous endurez.

 

Que faites-vous lorsque vous avez mal à la tête?

 

Vous serrez les dents et continuez ce que vous faisiez? Vous vous allongez? Vous avalez un comprimé en espérant voir s’estomper la douleur? Il y a une meilleure option.

 

La recherche indique que la manipulation cervicale – principal soin administré par les chiropraticiens – permet efficacement de rétablir l’équilibre vertébral et ainsi éviter que votre corps vous envoie des signaux d’alarme comme les maux de tête.

 

Rétablir l’équilibre : la science supporte les théories

 

C’est connu depuis longtemps. Déjà en 2001, des chercheurs à l’université Duke de Durham, en Caroline du Nord, avaient conclu que la manipulation cervicale soulageait presque immédiatement les maux de tête dont la cause se trouvait dans le cou et que les effets secondaires étaient nettement inférieurs à un médicament prescrit de façon courante en plus de procurer un soulagement plus durable des céphalées de tension.

 

Que faire pour prévenir les maux de tête?

 

Les maux de tête peuvent être déclenchés par divers facteurs : aliments (additifs alimentaires, GMS, nitrites, sulfites, sucre, alcool, etc.), manque d’eau, stimuli environnementaux (bruits, lumières, stress, etc.) et comportements (insomnie, mauvaise posture, exercice excessif ou insuffisant, changements dans la glycémie, etc.). Ce sont tous des facteurs de toxicité pour votre santé qui enclenchent une réponse de stress au niveau de votre système nerveux.

 

Voici quelques conseils d’usage en cas de mal de tête.

 

  • Prenez plusieurs pauses lorsque vous travaillez à l’ordinateur, assis ou courbé : bougez, redressez votre dos et votre tête et étirez-vous.
  • Bougez au quotidien : l’exercice physique augmente le taux d’endorphines dans le corps et favorise la détente et la résistance au stress.
  • Privilégiez une saine alimentation : diminuez votre consommation de sucre, de café et d’aliments transformés ou déjà préparés.
  • Soignez votre posture au quotidien, surtout au travail.
  • Buvez minimalement 2 litres d’eau par jour pour éviter la déshydratation.
  • Trouvez des outils de gestion du stress qui vous conviennent : yoga, méditation, écoute de musique, marche en nature, etc. Le stress mental est une cause majeure de tension physique qui affecte la mobilité du cou et la tension musculaire.
  • Faites vérifier la mobilité de votre colonne vertébrale régulièrement et appliquez les conseils de saines habitudes de vie de votre chiropraticien de famille.

 

 

 

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