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7 choses que les enfants peuvent nous enseigner à propos du bonheur

Être heureux. Comment une chose si simple peut-elle sembler si compliquée, voire inatteignable? Vous avez beau lire tous les livres de développement personnel disponibles sur le marché, vous abonner aux pages Facebook qui publient des pensées positives, chercher à gauche et à droite… mais vous n’avez toujours pas trouvé la clé du bonheur? Et si tout ce que vous aviez à faire était de prendre exemple sur les enfants qui vous entourent?

 

Ce qui suit vous présente une réflexion sur la façon dont les enfants vivent leur bonheur au quotidien. Ils ont tellement à nous apprendre! Le plus important est de vous souvenir que vous avez déjà été l’un d’eux. Il vous est donc encore possible de laisser l’enfant en vous exprimer sa joie de vivre.

 

  1. Vivez pleinement chaque moment

Regardez la manière dont les enfants embrassent l’arrivée de chaque nouvelle journée. N’est-ce pas là le meilleur exemple de pleine conscience en pratique? Une telle qualité rend la vie tellement plus riche. Pour eux, chaque instant est porteur de bonheur. Ils ne s’inquiètent pas de l’avenir et ne se désolent pas du passé comme le font les adultes. Qu’ils jouent avec des blocs, qu’ils déjeunent ou qu’ils soient en pleine lecture, ce qu’ils font à un moment précis est leur seule préoccupation. Comme ça peut l’être pour vous.

 

  1. N’essayez pas d’être heureux

Les enfants sont particulièrement proches de leurs émotions et ne sont que rarement inquiets ou embarrassés de les exprimer – que ce soit par un rire, une crise ou des mots. Il y a évidemment des exceptions, mais les enfants qui grandissent dans un environnement familial stable n’essaient généralement pas d’inventer des sentiments ni de faire semblant d’avoir des émotions qui n’existent pas. Ils ne tentent pas de toujours être heureux alors que les adultes ont l’impression de devoir le paraître en tout temps. Leur conscience profonde les aide à ne pas se laisser atteindre aussi facilement par les facteurs de stress quotidiens que les adultes.

 

  1. Pardonnez facilement

Les enfants pardonnent librement et rapidement. Ils ne conservent pas de rancunes, ne laissent pas les problèmes s’amplifier, ni ne ruminent sur la manière dont on leur a fait du mal. S’ils sont insatisfaits du comportement de quelqu’un, ils expriment leur mécontentement ou agissent pour le contrer (pour le meilleur ou pour le pire!). Mais, quelle que soit leur réaction initiale, ils lâchent prise presque immédiatement et passent à autre chose. Ils ne gardent pas de ressentiment comme le font les adultes. Ça leur enlèverait la joie du moment.

 

  1. Investissez-vous dans le présent

Nous avons tous vu un enfant tellement absorbé par une activité ou une tâche qu’il n’entend même pas qu’on lui parle. Les enfants plongent dans ce qu’ils font avec tout leur esprit et leur cœur. Ils ne se censurent pas et ne s’inquiètent pas de ce qui suivra. Ils suivent la vague en permanence. Une telle capacité de s’investir complètement dans le présent augmente le bonheur de façon exponentielle. Il est certain que vous ne pouvez pas mettre toutes vos responsabilités en attente en tant qu’adulte, mais il est incroyablement important de trouver le temps de vous perdre dans ce que vous faites et de tirer tout ce que vous pouvez des activités agréables.

 

  1. Faites une cure de câlins

Qu’un enfant ait une chicane avec un ami, qu’il subisse une frustration dans le carré de sable ou que son cornet de crème glacée tombe par terre, un câlin fait toujours des miracles. Un câlin donne un sentiment de sécurité, de calme et d’amour. Nous nous nourrissons d’appui social et le contact humain est une façon de démontrer que nous prenons soin de l’autre et que nous nous préoccupons de son bien-être. Les enfants distribuent les câlins allègrement et sincèrement et en récoltent les bienfaits. Prenez l’habitude de prendre vos proches dans vos bras plus souvent et vous améliorerez non seulement votre qualité de vie, mais également celle des gens autour de vous.

 

  1. Sachez que l’empathie a toujours sa place

L’empathie est notre capacité à remarquer et à interpréter les besoins et les désirs des autres. La recherche démontre que l’empathie est acquise à la naissance. La réponse innée est ensuite renforcée ou affaiblie en fonction de l’environnement dans lequel l’enfant grandit. Malheureusement, notre monde n’encourage pas toujours l’empathie chez les adultes. Cette caractéristique est souvent mise de côté pour des motifs plus égocentriques tels que notre désir de réussite ou les pressions sociales et culturelles de répondre à nos besoins avant ceux des autres. Il faudrait prendre exemple sur nos enfants en ce qui a trait à l’empathie.

 
  1. Croyez au miracle de la vie

Pour les enfants, le monde est nouveau et donc excitant. La moindre banalité revêt un caractère magique. Ils accueillent chaque jour avec joie et curiosité et expérimentent la vie comme des explorateurs. Si les adultes pouvaient voir la vie à travers les yeux d’un enfant, comme pour la première fois, tout serait tellement plus agréable! La beauté nous entoure malgré l’agitation, la folie et la difficulté de la vie. Appréciez. Émerveillez-vous. Il suffit d’ouvrir vos yeux et votre cœur.

 

Si vous vous réveillez un matin en vous sentant morose, répétez-vous :

Ils vécurent enfants et firent beaucoup d’heureux…

 

 

Traduction et adaptation d’une texte de Mindbodygreen.com : http://www.mindbodygreen.com/0-25817/7-things-my-kids-have-taught-me-about-happiness.html

 

 

Categories Pensez mieux avec la chiropratique

10 preuves scientifiques des bienfaits de la méditation

La méditation a de nombreux effets bénéfiques sur la santé et certains vous surprendront! Mais comment est-il possible qu’une activité aussi simple que de se concentrer sur une seule pensée puisse produire des résultats aussi remarquables?

 

Les bouddhistes méditent depuis des millénaires. Ils en connaissent les effets positifs, notamment la stimulation de la force intérieure et de l’introspection nécessaire à une pratique spirituelle élevée. Mais ce n’est que récemment que les neuroscientifiques ont pu jeter un œil à ce qui se passe directement dans le cerveau. La venue de l’IRM et d’autres techniques d’imagerie médicale ont grandement contribué aux avancées.

 

Voici ce que des études récentes nous apprennent au sujet de la méditation et de la manière dont elle peut modifier le cerveau.

 

1. Pense vite!

 

La méditation renforce le cerveau en améliorant la connexion entre les neurones. Les gens qui pratiquent la méditation présentent des niveaux plus élevés de gyrification – ensemble des replis du cortex cérébral – ce qui permet de traiter l’information de façon plus rapide.

 

2. J’ai moins mal

 

La méditation apporte d’autres changements physiques au cerveau. On lie notamment la méditation à l’épaisseur corticale, qui peut se traduire par une diminution de la sensibilité à la douleur.

 

3. Cerveau, cœur et poumons…

 

Les différences structurelles observées entre les cerveaux de méditants et de non-méditants ont mené les scientifiques à spéculer que certains bénéfices, comme l’amélioration des réponses cognitives, émotionnelles et immunitaires, peuvent être liés aux effets positifs sur la respiration et la fréquence cardiaque.

 

4. Par ici le positivisme

L’intégrité de la matière grise, qui joue un rôle majeur dans le système nerveux central, semble vraiment profiter de la méditation; on parle d’une augmentation du volume de l’hippocampe et du lobe frontal. Ainsi, on note des émotions plus positives, un maintien de la stabilité émotionnelle et une plus grande focalisation dans la vie de tous les jours. De plus, la méditation aide à améliorer l’état de conscience et les pensées contemplatives et à alléger les symptômes dépressifs.

 

5. Protégez votre matière grise

 

Il a également été démontré que la méditation a des effets neuroprotecteurs. Elle peut diminuer les effets associés à l’âge sur la matière grise et le déclin cognitif.

 

6. Finies les difficultés de concentration

 

En plus des composants physiques et chimiques du cerveau, la méditation affecte aussi l’activité cérébrale! Par exemple, la méditation touche les fonctions indésirables qui sont responsables de troubles tels que le TDAH et l’anxiété et de maladies telles que l’Alzheimer.

 

7. En toute quiétude

 

La méditation a été liée à des changements considérables dans l’activité électrique cérébrale qui se traduisent par un état d’éveil calme et posé.

 

8. À bas le stress!

 

Une étude a démontré, sans grande surprise, que la méditation peut grandement diminuer le niveau de stress après seulement huit semaines de pratique, probablement en raison d’une réduction des niveaux de cortisol (hormone du stress). Fait intéressant, si vous méditez avant une situation stressante, vous vous sentirez moins stressé pendant l’événement.

 

9. Libre cours à la créativité

 

Si vous désirez augmenter votre créativité, la méditation en pleine conscience est pour vous : elle favorise la production de nouvelles idées. La méditation en pleine conscience est à l’opposé de la méditation attentive; il s’agit de centrer son attention sur le moment présent.

 

10. Love is in the air!

 

Finalement, la pratique d’un type précis de méditation – la méditation amour-bienveillance-compassion – augmente le niveau d’empathie. Il s’agit d’une méditation attentive, mais le pratiquant doit se concentrer sur des sentiments d’amour, de compassion et de compréhension.

 

Alors qu’attendez-vous? Commencez à méditer et transformez votre cerveau!

 

 

 

 

 

 

Pour en apprendre d’avantage sur les effets bénéfiques de la méditation, consultez les études suivantes, qui ont servi de référence pour l’article :

 

  1. http://newsroom.ucla.edu/releases/evidence-builds-that-meditation-230237
  2. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20141301
  3. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3184843/
  4. http://www.neurobiologyofaging.org/article/S0197-4580%2807%2900243-6/abstract?cc=y=
  5. http://www.pnas.org/content/108/50/20254.abstract
  6. http://pss.sagepub.com/content/early/2010/05/11/0956797610371339.abstract
  7. http://faculty.washington.edu/wobbrock/pubs/gi-12.02.pdf
  8. http://online.liebertpub.com/doi/abs/10.1089/acm.2010.0142
  9. http://journal.frontiersin.org/article/10.3389/fpsyg.2012.00116/full
  10. http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0001897

 

 

Texte traduit et adapté d’un article de George Dvorsky, The science behind meditation, and why it makes you feel better. http://io9.com/how-meditation-changes-your-brain-and-makes-you-feel-b-470030863

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