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« Cou du texto » : comment la techno ruine votre colonne vertébrale

Découvrez dans cet article comment votre téléphone intelligent nuit à l’intégrité de votre colonne vertébrale et quelles en sont les conséquences sur votre santé.

Tête penchée vers l’avant, épaules et dos voûtés, yeux hypnotisés par un écran… ça vous dit quelque chose? La plupart des gens adoptent cette position pour lire les nouvelles, consulter les réseaux sociaux, magasiner, texter un ami, regarder une vidéo, alouette!

Mais saviez-vous que cette habitude pouvait endommager votre colonne vertébrale de façon importante? Le phénomène est si récent qu’il n’a pas encore de nom définitif : on parle du cou du texto, du syndrome du texteur, du text neck ou encore du tech neck.

Ce syndrome s’est propagé comme une traînée de poudre. En peu de temps, le cou du texto est devenu un motif de consultation courant dans les cliniques chiropratiques. Les patients sont nombreux à rapporter un ou plusieurs des symptômes liés à l’utilisation prolongée de leur appareil mobile :

  • Douleurs au cou
  • Raideurs au cou
  • Maux de tête
  • Douleurs au visage
  • Douleurs au haut du dos
  • Douleurs aux épaules
  • Douleurs aux bras, coudes, poignets et mains
  • Engourdissement dans les mains
  • Étourdissements et vertiges
  • Troubles du sommeil
  • Sensation de lourdeur
  • Fatigue oculaire

Si ladite position n’était tenue que 5 minutes, on n’écrirait pas sur le sujet. Mais les gens passent en moyenne 3 heures par jour à regarder leur appareil mobile (téléphone, tablette, etc.), c’est plus de 1000 heures par année! Les problèmes surviennent quand sont associées mauvaise posture et utilisation prolongée.

Les 5 conséquences néfastes du « cou du texto » sur la colonne vertébrale

1. Troubles posturaux

La position usuelle lors de l’utilisation d’un appareil mobile entraîne une diminution de la courbe cervicale (en forme de C) pouvant aller jusqu’à la rectitude (cou militaire en forme de I).

Lorsque cela se produit, la tête se retrouve déportée vers l’avant par rapport au reste de la colonne vertébrale. On parle d’un port antérieur de la tête (PAT). Si les recherches scientifiques sur le cou du texto sont limitées en raison de sa récente apparition, celles sur le port antérieur de la tête sont très nombreuses.

D’ailleurs, une étude importante a démontré « qu’une perte de la courbe naturelle de la colonne cervicale mène à une augmentation croissante du stress sur la colonne. » (1) Le poids de la tête est d’environ 5 kg (0° d’inclinaison). Lorsque la tête est inclinée de 15° par rapport à la verticale, la colonne cervicale doit supporter un poids équivalent à 12 kg. C’est comme si un enfant de 2 ans était assis sur vos épaules en tout temps. On parle d’environ 5 kg pour chaque 15° d’inclinaison supplémentaires.

Tout ce stress mécanique provoque à son tour une augmentation de la courbe thoracique (hypercyphose), parfois surnommée bosse de bison. La combinaison d’un PAT et d’une hypercyphose peut parfois faire penser au cou d’une tortue. Une fois ces changements posturaux installés, il peut être difficile de les renverser.

2. Élongations musculaires et ligamentaires

Le port antérieur de la tête (PAT) crée un déséquilibre dans la mécanique du cou et entraîne des étirements et des élongations dans plusieurs muscles et ligaments de la nuque, des épaules et du haut du dos. Ces tensions musculaires sont souvent à l’origine de douleurs, de raideurs et de maux de tête reliés au cou du texto.

3. Hernies discales

Comme il a été mentionné plus haut, le PAT occasionne un stress mécanique énorme sur la colonne cervicale. Parmi les structures les plus sollicitées, on retrouve les disques intervertébraux, petits coussinets situés entre chacune des vertèbres et servant à amortir les chocs. Lorsque la tête s’incline vers l’avant, comme dans le cou du texto, les disques subissent beaucoup de pression, particulièrement dans leur partie avant. Cette pression excessive prolongée peut mener à une déchirure du disque et à l’expulsion de son contenu — un petit noyau. On nomme cette pathologie une hernie discale. La hernie discale cervicale se traduit généralement par des douleurs localisées, mais aussi par d’autres symptômes comme des engourdissements, des brûlures, des picotements et même des faiblesses musculaires.

4. Arthrose ou ostéoarthrite

La présence d’un stress mécanique important, comme c’est le cas dans le syndrome du « cou du texto », n’endommage pas que les disques intervertébraux. Les vertèbres elles-mêmes peuvent subir des conséquences irréversibles. La charge accrue, les tensions musculaires et les disques moins performants peuvent, à long terme, engendrer une usure prématurée des vertèbres. Cette dégénérescence est mieux connue sous le nom d’arthrose. Non, ce ne sont pas que les grand-mères qui peuvent souffrir d’arthrose. Il est de plus en plus fréquent de repérer des signes d’arthrose cervicale chez des sujets beaucoup plus jeunes, particulièrement depuis l’apparition de la technologie numérique mobile. Les dommages structurels causés par l’arthrose sont irréversibles. Les symptômes d’arthrose les plus fréquents sont la douleur, la raideur et la perte de mouvement.

5. Autres problèmes de santé

Il a été démontré que le PAT diminuait la force des muscles respiratoires (situés au-devant du cou, ces muscles aident les côtes à se soulever lors de l’inspiration), ce qui peut entraîner des troubles respiratoires. Des tendinites, particulièrement au niveau des mains et des doigts, sont aussi associées au « cou du texto ». La lumière diffusée par l’écran numérique perturbe les cycles d’éveil/sommeil et augmente les risques de souffrir de troubles du sommeil. Il a aussi été démontré que l’utilisation abusive de la technologie numérique mobile favorisait l’apparition de troubles de l’humeur, dont la dépression.

Trucs pour prévenir le « cou du texto »

  1. Faites vérifier votre colonne vertébrale par un chiropraticien régulièrement. Les soins chiropratiques contribuent au maintien d’une bonne posture. Ils optimisent à la fois la structure et la fonction vertébrales. Ils détendent la musculature et aident à prévenir la dégénérescence articulaire. Entre les ajustements chiropratiques, suivez les conseils 2 à 5.
  2. Adoptez la bonne posture. Relevez la tête et le menton puis remontez les bras sur la poitrine de façon à ce que votre écran soit à la hauteur de vos yeux. Une bonne astuce pour éviter la fatigue dans vos bras (et d’avoir l’air un peu étrange) est de soutenir le coude qui tient le téléphone avec le bras opposé. Aménagez votre poste de travail pour le rendre plus ergonomique, un écran d’ordinateur mal positionné peut entraîner ou aggraver un PAT.
  3. Faites des pauses régulièrement. Comme nous l’avons mentionné plus haut, c’est la posture prolongée qui est problématique dans le développement du syndrome du « cou du texto ». Prenez des pauses toutes les 5 minutes pour vous étirer (et peut-être même parler à quelqu’un ;-p ).
  4. Utilisez d’autres technologies. Diversifiez vos utilisations : ordinateur de bureau, portable, tablette. Faites un appel au lieu d’envoyer des textos. Utilisez la reconnaissance vocale pour dicter vos messages textes.
  5. Faites des exercices. Une étude a démontré que, combinés à des soins chiropratiques, les exercices d’étirement et de renforcement des muscles du cou amélioraient la posture thoracique chez des femmes d’âge moyen. Voici quelques exercices qui vous aideront à soulager les tensions et raideurs au cou et aux épaules ainsi qu’à réduire le PAT.À faire quotidiennement :
  • Collez l’oreille sur l’épaule du même côté pour étirer les muscles du cou. Maintenez cette position 5 secondes. Répétez 10 fois de chaque côté.
  • Rentrez le menton et maintenez la position pendant 5 à 10 secondes. Répétez 10 fois.
  • Croisez les doigts derrière le dos et remontez les bras vers le haut. Maintenez la position 30 secondes. Répétez au besoin.
  • Assis au bureau ou dans la voiture, collez les omoplates ensemble en ramenant les épaules vers l’arrière. Maintenez 10 secondes et répétez entre 5 et 10 fois.

Des enfants à risque

Les enfants et les adolescents sont particulièrement à risque de développer un syndrome du « cou du texto », notamment parce que leur colonne vertébrale est en pleine croissance. Dans une étude réalisée sur 1049 personnes, 70 % des adultes et 30 % des enfants ont déclaré ressentir des douleurs musculo-squelettiques en lien avec l’utilisation de leur appareil mobile.

Discutez avec vos enfants des risques qu’ils encourent lorsqu’ils utilisent leur téléphone, tablette ou console de jeu portative afin de les conscientiser tôt. Ils pourront ainsi prendre de bonnes habitudes dès le départ. Faites aussi vérifier leur colonne vertébrale par votre chiropraticien!

Références

1. Hansraj, K., « Assessment of Stresses in the Cervical Spine Caused by Posture and Position of the Head », Surgical Technology International XXV, section Neuro and Spine Surgery.
2. Castello-Branco, K., et M. Moodley, « Chiropractic manipulative therapy of the thoracic spine in combination with stretch and strengthening exercises, in improving postural kyphosis in woman », Health SA Gesonheid, vol. 21, décembre 2016, p. 303-308. Science Direct, https://hsag.co.za/index.php/hsag/article/view/982, consulté le 7 juin 2017.
3. https://spinalresearch.com.au/stress-on-the-spine-the-downside-of-prolific-social-media-use/, consulté le 15 janvier 2018.
4. https://spinalresearch.com.au/forward-head-posture-effects-young-aging/, consulté le 15 janvier 2018.
5. https://www.spine-health.com/blog/modern-spine-ailment-text-neck, consulté le 15 janvier 2018.
6. https://staging.chiropractic.ca/fr/blogue/trois-facons-de-prevenir-le-syndrome-du-texteur/, consulté le 15 janvier 2018.

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Pourquoi la technologie ruine le cerveau des enfants [et quoi faire pour éviter les dommages…]

Vos enfants, aujourd’hui, ne grandissent pas du tout dans le même environnement que vous avez connu dans votre jeunesse. Jeu, imagination, activité, nature… tous vos sens étaient sollicités. Si vous rêviez d’être un grand chef, vous prépariez de bons gâteaux à la boue. Si vous rêviez d’être un explorateur, vous transformiez la cour arrière en vaste étendue sauvage. Si vous rêviez d’être une princesse, vous sortiez la boîte de costumes et le conte de fées commençait.

 

Les enfants d’aujourd’hui ont encore ces options de jeu idyllique au bout des doigts, mais un concurrent qui soulève bien des préoccupations a fait son apparition : les écrans de toutes sortes. Téléviseur, ordinateur, téléphone intelligent, tablette. La tentation est omniprésente. Comme tout le monde dit, c’est une bonne gardienne. Mais les effets néfastes sont nombreux et pas du tout anodins.

 

Obésité, déficit d’attention et cie

 

La recherche révèle maintenant des liens directs entre le temps passé devant un écran et l’obésité. Le ministère de la Santé de l’Australie-Méridionale affirme notamment que « regarder la télévision peut contribuer au surpoids et à l’obésité puisque l’utilisation d’appareils électroniques remplace d’autres activités comme le jeu libre et l’activité physique structurée, incite à une consommation accrue de collations ou à une augmentation de la demande pour des aliments riches en calories, qui apparaissent grandement dans les publicités. » [1]
Toutefois, les problèmes de poids ne sont pas les seules préoccupations liées au temps passé devant un écran. On parle aussi de perte en ce qui a trait à la qualité du sommeil, aux habiletés sociales et aux aptitudes cognitives de même que des impacts physiologiques tels qu’une mauvaise posture, des blessures aux pouces, poignets et coudes et une détérioration de la vue. [2] La recherche indique que pour chaque heure qu’un enfant passe devant la télévision par jour, le risque de développer des problèmes de déficit d’attention augmente de 10 %. [1]

Combien d’enfants passent plus de deux heures accrochés à l’écran de la télévision? Apparemment, ce serait la moitié de tous les enfants de 5 à 15 ans et jusqu’à 92 % des jeunes de 12 à 17 ans en Australie [2]. Mais on se doute bien que les résultats doivent être semblables ici.

 

Débrancher le cerveau

 

Selon le psychologue Dr Aric Sigman, « que ce soit Facebook, internet ou jeux informatiques, le temps passé devant l’écran n’est plus qu’une simple question culturelle sur la manière dont les enfants comblent leurs temps libres, ni une inquiétude uniquement relative à la valeur pédagogique ou au contenu inapproprié – il s’agit d’un problème médical. » [3]

 

Dr Victoria Dunckley, pédopsychiatre utilisant l’approche intégrative, a rédigé un article à ce sujet dans le Psychology Today en se concentrant sur ce qui se passe lorsque l’enfant entre dans l’adolescence. Elle y met en garde les parents :
« En bref, le temps excessif passé devant l’écran semble perturber la structure et la fonction cérébrale. Les dommages se produisent principalement dans le lobe frontal du cerveau, qui subit des changements considérables de la puberté à la mi-vingtaine. Le développement du lobe frontal joue un rôle crucial dans tous les secteurs de la vie – du sentiment de bien-être à la réussite scolaire et du succès professionnel aux qualités relationnelles. » [4] Vous trouvez peut-être tout ça extrême, mais d’autres études démontrent à quel point un adolescent peut devenir anxieux lorsqu’il est séparé de son téléphone intelligent ou autre appareil électronique. [5]

 

Changer les habitudes

 

Alors que pouvez-vous faire à propos de la problématique? Allez-y doucement, disent les experts. Vous ne changerez pas des habitudes bien ancrées du jour au lendemain et il est important que les parents donnent l’exemple. Voici les meilleures stratégies à adopter [6] :

 

  • Aucun appareil électronique dans la chambre à coucher.
  • Aucun appareil électronique lors des repas; profitez du moment pour vous asseoir et discuter en famille.
  • Horaires d’utilisation des écrans; bannir tout écran une heure avant d’aller au lit.
  • Autres activités encouragées comme la lecture, les jeux de société, les casse-tête et surtout les activités extérieures.
  • Discussion avec les plus grands au sujet de choix intelligents en ce qui a trait à la télévision, aux médias et aux publicités.

Voilà un problème auquel nous n’avions pas pensé devoir faire face il y a une génération, mais la technologie fait maintenant partie de nos vies et elle est là pour rester. Il peut être difficile ou même carrément impossible de complètement éviter les écrans vu la panoplie de gadgets électroniques qui nous entoure, mais vous avez le pouvoir de réduire leur impact sur les jeunes cerveaux de vos enfants.

 

Bonne chance!

 

 

 

Traduction et adaptation d’un article de l’Australian Spinal Research Fondation : The Impact Of Screen Time On Children 

Article original disponible au https://spinalresearch.com.au/impact-screen-time-children/

Références

[1] Staff Writer (2015), “Give the Screen a Rest. Active Play is Best”, South Australian Department of Health

[2] Staff Writer (2016), “Switch off the screen”, Healthy Kids (An initiative of NSW Ministry of Health, NSW Department of Education, Office of Sport and the Heart Foundation)

[3] Jary, S (2015), “How much screen time is healthy for children?”, PC Advisor

[4] Dunckley, V (2014), “Gray matters: too much screen time damages the brain”, Psychology Today

[5] Rosen, L (2015), “Iphone Separation Anxiety”, Psychology Today

[6] Beard, C Ed. (2011), “TV and Kids: How to cut screen time”, Web MD

Categories Bougez mieux avec la chiropratique

Faites-vous partie des victimes de cette épidémie?

Saviez-vous que votre tête pèse environ 12 livres? C’est le poids d’une boule de quille. Toutefois, plus votre cou est incliné vers l’avant et vers le bas, plus le poids que doit soutenir votre colonne cervicale est grand. C’est une question de physique mécanique. Par exemple, si votre cou est incliné à un angle de 15 degrés, votre corps perçoit un poids d’environ 27 livres; à 30 degrés, c’est comme si votre tête pesait 40 livres; à 45 degrés, le poids que la colonne doit soutenir est de 49 livres; et à 60 degrés, c’est l’équivalent de 60 livres!

 

Imaginez-vous avec un enfant de huit ans sur les épaules pendant quelques heures. Ouf! Voilà exactement le fardeau infligé à votre colonne lorsque vous fixez votre téléphone ou votre tablette. Les utilisateurs des iPhone, Galaxy et cie passent en moyenne de deux à quatre heures par jour penchés à lire leurs courriels, à envoyer des textos ou à se promener sur les réseaux sociaux.

 

Le danger n’est pas seulement au volant!

Vous êtes des millions à risque. Les chercheurs laissent entendre que, si vous ne faites pas attention, le syndrome du texto (« text neck ») peut mener à une usure prématurée puis à la dégénérescence de la colonne. « La situation est de plus en plus courante, pour ne pas dire qu’il s’agit d’une véritable épidémie », déclare Kenneth Hansraj, chef de la chirurgie rachidienne à New York Spine Surgery and Rehabilitation Medicine.

 

« Regardez simplement autour de vous, tout le monde a la tête baissée. »

 

Si vous avez des enfants, soyez vigilants : les élèves du secondaire sont probablement les pires. Selon Dr Hansraj, ces derniers peuvent passer 5000 heures de plus par année dans cette position que le reste de la population (de 700 à 1400 heures/an).

 

Quels sont les symptômes reliés?

Vous pouvez développer des tensions musculaires (même au repos), irriter votre système nerveux jusqu’à donner l’impression de nerfs coincés, développer des hernies discales et, à plus long terme, la courbe naturelle de votre cou vient à disparaître. Et ça ne s’arrête pas là! Une mauvaise posture peut occasionner d’autres problèmes. Les experts parlent d’une diminution possible de la capacité pulmonaire (jusqu’à 30 %), de maux de tête, de problèmes neurologiques, de dépression et de maladies cardiaques.

 

La clef c’est la prévention

Il ne s’agit pas ici de démoniser la technologie. Votre chiropraticien ne conseille pas de délaisser complètement votre téléphone intelligent, mais plutôt de l’utiliser de façon intelligente. Quelle est la posture idéale? Omoplates rapprochés, épaules basses, tête droite et relevée, abdos contractés. Et pour éviter les douleurs au cou, amenez le téléphone à la hauteur de vos yeux plutôt que de rapprocher votre tête du téléphone. C’est une habitude santé à adopter et à enseigner à vos proches.

 

Dans tous les cas, assurez-vous de faire vérifier votre posture et celle de vos enfants par votre chiropraticien de famille. Vous aurez l’heure juste sur votre niveau de santé vertébrale et saurez comment agir pour en prendre soin. Mieux vaut prévenir que guérir!

 

 

 

 

Adaptation d’un texte de Lindsey Bever du Washington Post : http://www.washingtonpost.com/news/morning-mix/wp/2014/11/20/text-neck-is-becoming-an-epidemic-and-could-wreck-your-spine/

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