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Les 4 meilleurs trucs afin d’optimiser votre suivi chiropratique (et votre santé globale)

La vision globale de la santé est au cœur de la philosophie chiropratique. Pour cette raison, votre chiropraticien se fait un devoir de vous donner, jour après jour, des conseils pour optimiser votre santé et par le fait même amener plusieurs bénéfices à votre suivi chiropratique. Cet article vous donnera une foule de conseils à mettre en pratique afin de bonifier vos rencontres chez votre chiropraticien tout en rendant votre quotidien encore plus équilibré.

La santé globale : à la base du bien-être

Rares sont ceux qui seraient prêts à dire non à un état de bien-être général, n’est-ce pas? Avec un suivi en chiropratique, la santé globale est une priorité et en conséquence, chaque action posée par votre chiropraticien sera orientée dans cette direction.

À tort, on pense que la santé se définit par l’absence de maladie. Nous pensons plutôt qu’elle devrait se définir par l’optimisation de tous les systèmes du corps humain, comme par exemple :

  • Système neuromusculosquelettique
  • Système cardiovasculaire
  • Système pulmonaire
  • Système endocrinien
  • Système sanguin
  • Système visuel
  • Système digestif
  • La peau
  • Système urinaire
  • Système reproducteur
  • Les dimensions affectives et psychologiques
  • etc.

Saviez-vous que tous ces systèmes sont contrôlés par le système nerveux? Sans lui, les connexions essentielles au fonctionnement des autres systèmes sont impossibles, ce qui peut avoir un impact important sur la santé. Un système nerveux qui ne fonctionne pas optimalement peut nuire au fonctionnement des autres systèmes. Le maximiser serait donc un atout indéniable afin de vous permettre d’avoir une santé globale à toute épreuve. Voici donc des conseils à mettre en pratique si vous souhaitez que votre système nerveux crée les meilleures connexions possibles, principalement entre vos ajustements chiropratiques.

1. Suivez les recommandations de votre chiropraticien

Lorsque débute le suivi chiropratique, votre chiropraticien vous propose une fréquence de traitement directement en lien avec votre condition. Cette recommandation est basée sur les résultats d’examens physiques effectués, son diagnostic chiropratique et son jugement clinique. Pour maximiser le fonctionnement du système nerveux et optimiser la condition de santé pour laquelle vous consultez, il est important de prendre en considération les recommandations concernant la fréquence des traitements. En prenant la décision d’investir dans votre santé, vous devez penser à long terme et suivre les conseils qui vous sont donnés. Votre santé vous remerciera!

2. Soyez actifs

Nous vous le répétons et les preuves sont faites; l’activité physique quotidienne est essentielle. Prenez en considération tout ce qui peut être obtenu lorsque vous bougez quotidiennement :

  • Augmentation de l’énergie, donc plus d’entrain et d’endurance.
  • Meilleur sommeil, donc meilleure récupération et amélioration du bien-être général.
  • Maintien de la mobilité articulaire, ce qui permet au système nerveux d’acheminer les bonnes informations aux structures impliquées.
  • Maintien des fonctions cardiovasculaires, ce qui favorise un bon apport sanguin partout dans le corps, y compris aux structures neurologiques. N’oubliez pas! Un système nerveux qui fonctionne bien, c’est la clé!
  • Stimule le système musculaire, donc aide à supporter le corps tout au long de la journée tout en apportant la force nécessaire aux différentes régions qui en ont besoin.
  • Aide à la motricité globale, ce qui encore une fois, permet au corps de maintenir son état de santé optimal et récupérer plus facilement de certaines conditions.
  • Procure un état de bien-être, car les endorphines sécrétées pendant l’activité physique sont les hormones qui sont directement liées à un état de joie et de bonheur.
  • Suite à un ajustement chiropratique, il est possible que certaines courbatures apparaissent. En pratiquant une activité physique régulièrement, votre corps est stimulé de façon continue, ce qui peut aider à éviter les courbatures.

Votre chiropraticien vous recommande d’être actif, mais vous avez peine à bouger? Pensez à votre enfant qui pousse derrière et qui aura besoin de vous longtemps, ça devrait suffire à vous convaincre!

3. Buvez, encore et toujours!

Tout comme l’activité physique, la recommandation de s’hydrater quotidiennement n’a plus de preuve à faire. En étant hydraté, vous allez chercher des bénéfices importants pour votre santé globale, tout en favorisant une bonne récupération suite à votre traitement chiropratique :

  • Les disques intervertébraux sont constitués en majorité d’eau. Il est donc important qu’ils soient hydratés, comme le reste des autres structures du corps humain. Pensez-y : en ayant un impact sur vos articulations intervertébrales, l’eau vous aide à avoir un meilleur mouvement et une meilleure posture!
  • En buvant une quantité adéquate d’eau, vous évitez l’apparition de différents effets liés à la déshydratation :

4. Favorisez une bonne posture

Bien que de plus en plus de familles consultent en chiropratique afin d’optimiser leur santé, les conditions de douleur constituent encore une bonne proportion des visites en clinique.

Partant du fait que plusieurs conditions de santé sont dues à des troubles posturaux, votre chiropraticien abordera sans doute le sujet avec vous. Optimiser un suivi chiropratique passe inévitablement par la mise en place de postures plus équilibrées, puisque si ces dernières sont en cause dans la condition qui est traitée, un changement doit être fait afin d’éviter la persistance et maximiser les chances de guérison. La santé globale, c’est une combinaison de facteurs qui, additionnés les uns aux autres, créent des résultats exceptionnels.

Chaque situation peut être améliorée et/ou adaptée afin de permettre au corps d’exprimer son plein potentiel. Comme vous avez pu le constater, il en va de même pour le suivi chiropratique et les conseils de base demeurent toujours sensiblement les mêmes.

La plupart du temps il ne s’agit que du gros bon sens, alors nous vous mettons au défi de les intégrer d’ici votre prochain ajustement!

Categories Pensez mieux

La méditation: un outil formidable à mettre en pratique

La réputation de la méditation n’est plus à faire. Ses bienfaits sont reconnus partout et ses adeptes sont de plus en plus nombreux à travers le monde. Avec les changements de luminosité de l’automne, les dommages collatéraux laissés par la pandémie et la frénésie de Noël qui nous éloigne parfois de la nature elle-même de cette fête, la méditation pourrait très bien vous servir d’ancrage afin de rester connecté. Cet article met en lumière les bienfaits liés à la méditation. Lisez jusqu’à la fin… d’autres trucs vous seront donnés!

Une pratique ancienne aux multiples bienfaits

Être dans le moment présent. Éloigner les pensées négatives. Prendre du temps pour soi. Peu importe les raisons pour lesquelles on pratique la méditation, il n’y a que des bienfaits qui en ressortent. Avez-vous déjà entendu quelqu’un dire que la méditation lui avait fait avoir des effets négatifs? Pas vraiment. Pour certains, elle peut sembler inefficace, mais elle ne crée certainement pas de “dommages”. Les effets positifs de cette pratique sont décrits ici :

1. Prendre du recul

En pratiquant la méditation, on se focalise sur le moment présent. Le silence, le calme et la sérénité dans laquelle on se plonge permettent une prise de conscience sur les évènements qui nous entoure. Par la suite, notre esprit est plus à l’écoute de notre environnement. Puisqu’on vit dans un monde où tout va vite, la méditation aide à prendre le recul nécessaire pour voir les choses autrement.

2. Être positif

Pour certains, le trouble d’humeur saisonnière et les séquelles de la pandémie n’aident pas à mettre du positif dans le quotidien. La méditation aide à promouvoir le positivisme en prenant conscience des choses bénéfiques qui nous entourent. L’hippocampe et le lobe frontal, des zones cérébrales impliquées dans les émotions, augmenteraient en volume avec la pratique de la méditation. Finie, la grisaille de novembre. On regarde en avant!

3. Apprécier ce qu’on a

La vie va vite. On en veut parfois plus sans que ce soit nécessaire. La méditation agit positivement sur la gestion du stress et puisqu’on devient moins stressé, nos choix sont plus éclairés et conscients. Avec le recul, l’impulsivité prend le large. Quoi de mieux que d’apprécier ce qu’on a, spécialement à l’arrivée des Fêtes?

4. Améliorer sa confiance en soi

La pratique de la méditation aide à l’introspection. Si les derniers mois ont été plus difficiles (perte d’emploi, séparation, difficultés financières, solitude), laisser aller ses émotions réelles lors d’une séance de méditation pourrait faciliter l’accès à votre vraie nature. En conséquence, vos agissements seront les bons pour vous, vous exprimerez vos réelles émotions et vous gagnerez en confiance.

5. Stimuler le système nerveux positivement

L’appétit vient en mangeant! Puisque le système nerveux est modulable et adaptable, le fait de se trouver dans un état d’esprit positif le mène à créer des connexions neuronales “positives” elles aussi. C’est une façon imagée et simpliste de vous faire comprendre que lorsque vous vous trouvez dans un état d’esprit qui vous fait du bien, vous avez tout à gagner en tentant de le reproduire le plus souvent. En découleront un automatisme et un bien-être quotidien. C’est aussi ça, la méditation!

À l’action!

La méditation est nouvelle pour vous et vous ne savez pas comment l’introduire dans votre quotidien? Si votre désir de l’intégrer à votre quotidien est en partie motivé par la recherche du calme, ne commencez surtout pas à vous stresser avec ça! Ce serait donc la première leçon : laissez aller votre intuition!

Il y a la méditation telle qu’on la connaît, c’est-à-dire celle où l’on se voit assis en position du tailleur avec les mains sur les genoux, avec de la musique ou des paroles qu’on écoute. Ceci étant dit, vous pouvez laisser aller votre intuition et vous asseoir confortablement dans une chaise pour débuter. Vous permettre de le faire est déjà un excellent pas, n’est-ce pas?

Étape 1

Trouvez le bon moment

Le matin? En fin de journée? Avant le coucher? Il n’y a que vous qui savez ce qui est bon pour vous. Essayez et vous verrez ce qui vous convient le mieux. Cette étape est essentielle afin de rendre l’exercice agréable.

Étape 2

Créez un environnement propice

Rendre la pratique de la médiation optimale passe nécessairement par un environnement optimal. L’endroit doit être paisible. Votre chambre à coucher, le salon, le bord de l’eau ou l’arrière de la cour. Peu importe, assurez-vous qu’il vous convienne. Vous voulez mettre une ambiance? Tamisez les lumières et allumez des chandelles! Le silence devra être de la partie!

Étape 3

Préparez votre mental

Vous arrivez du travail, la marmaille débarque de l’autobus et le tourbillon de la routine vous encombre l’esprit avant votre séance de méditation prévue au bord de l’eau? Ce n’est peut-être pas le moment idéal, mais seulement vous, pouvez le découvrir. Prenez quelques minutes avant de débuter. Pourquoi ne pas relaxer un peu avant de débuter? Voyez cet exercice comme une “pré-méditation”. Accordez-vous le droit de débuter de la bonne façon.

Étape 4

Installez-vous confortablement

Comme mentionné plus haut, la posture habituelle de la méditation est celle où l’on se retrouve assis en position du tailleur. Nous vous proposons encore une fois d’écouter vos besoins. La séance ne sera pas moins bénéfique si vous n’êtes pas dans cette position. L’important est que vous puissiez entrer en contact avec votre propre intérieur, alors focalisez sur ce qui est bon pour vous. Même si la posture est le premier pilier de la méditation, rien n’empêche de procéder par étapes.

Étape 5

Entrez en connexion

Vous pouvez avoir les yeux mi-clos avec un regard vers le sol, mais s’il est toujours détourné, fermez-les complètement. Gardez votre attention sur votre respiration, de façon à ce qu’elle soit légère et douce, comme la brise du vent au bord de la mer. Acceptez les pensées qui arrivent dans votre esprit sans les chasser ou les refuser. Si elles y sont, c’est qu’elles ont une raison d’être. Graduellement, vous serez en mesure de les comprendre et de leur trouver un sens. Les bienfaits notés plus haut ressortiront.

Un autre truc pour vous aider

Outre la médiation, la respiration par cohérence cardiaque a des effets positifs sur le stress et la santé en général. Nous ne pouvons la passer sous silence afin de vous aider à optimiser votre santé.

Le principe de la cohérence cardiaque est comme un balancier qui régule le rythme cardiaque pour l’amener à une fréquence bénéfique pour le corps humain en se synchronisant avec la respiration. Le nombre à retenir est le 365.

  • 3 fois par jour, l’exercice sera fait.
  • 6 respirations seront faites chaque minute (5 secondes d’inspiration et 5 secondes d’expiration)
  • 5 minutes seront accordées à l’exercice

Allez! Bâtissez-vous votre propre routine!

 

Sources, telles que consultées le 28 octobre 2022
https://monchiro.ca/blogue/10preuvesmeditation/

Categories Mangez mieux avec la chiropratique

Devrions-nous laisser les enfants « passer l’Halloween »?

L’Halloween approche à grand pas et tous se demandent quel costume sera le plus drôle, mignon ou effrayant à porter. Et c’est aussi la saison des bonbons. Il n’y a pas à dire, l’Halloween est clairement l’une des fêtes préférées des enfants! Mais les parents qui encouragent leur famille à manger santé toute l’année se sentent souvent divisés entre la coutume populaire des friandises et la santé de leurs enfants. Voici le secret pour permettre à vos enfants de profiter de cette fête sans compromettre leurs saines habitudes de vie.

 

 

S’amuser sans s’empoisonner

 

Le truc le plus simple consiste à diminuer la taille du sac de bonbons. Moins vos enfants ramasseront de friandises, moins ils en mangeront et moins ils ingurgiteront d’ingrédients néfastes pour la santé. Voici l’effet de certains de ces ingrédients sur le corps.

 

  1. Sucre blanc raffiné et sirop de maïs :
  • Toxiques pour le système nerveux : créent une dépendance aussi élevée que certaines drogues dures et entraînent une surstimulation du système nerveux central (relié au TDAH et aux hypersensibilités telles que les allergies).
  • Suppression du système immunitaire : n’avez-vous pas déjà remarqué que les enfants sont toujours malades à la suite de l’Halloween ou durant les vacances de Noël?
  • Dommage à la fonction hépatique : certaines études ont démontré que le sucre est aussi néfaste que l’alcool.
  • Dérèglement de la relâche d’insuline en faisant grimper la glycémie.
  • Augmentation du niveau d’acidité dans le corps en général.
  1. Colorants alimentaires toxiques : liés au développement de cancers, de troubles de comportement et de réactions allergiques.
  2. Huile de palme hydrogénée : dommage au système cardiovasculaire.
  3. Préservatifs alimentaires : cancérigènes et neurotoxiques.

 

Diminuer la consommation

 

La clé, c’est de faire preuve de modération : limitez la prise de friandises commerciales tout en laissant les enfants profiter des moments magiques. Voici quelques trucs et astuces pour y parvenir.

 

  1. Prévoyez un repas copieux, sain et nutritif le soir de l’Halloween pour éviter que les enfants aient des fringales de fin de soirée ou qu’ils mangent leurs bonbons au fur et à mesure de leur collecte.
  2. Expliquez aux enfants qu’ils pourront garder une certaine quantité de bonbons et donc qu’ils pourront trier ceux de leur choix après leur collecte.
  3. Expliquez la raison de cette limite; ex., ingrédients néfastes, pas des aliments pour faire grandir leur corps, pour la santé de leurs belles cellules, etc.
  4. Ne laissez jamais le sac de friandises bien en vue. Certaines personnes le gardent au réfrigérateur puisque les bonbons sont moins goûteux lorsqu’ils sont froids. Il semblerait que les enfants s’en désintéressent…
  5. Ne laissez pas les enfants piger à volonté dans leurs bonbons. Il serait préférable qu’ils doivent demander la permission (p. ex., en dessert). Vous pouvez aussi faire le compromis de les laisser prendre un bonbon en autant qu’un aliment sain et nutritif soit consommé.
  6. Soyez un modèle et ne mangez pas de bonbons vous-même!
  7. Mettez l’emphase autour de la fête et non de la chasse aux bonbons; elle deviendra secondaire et la consommation des bonbons encore moins importante. P. ex., préparez un repas spécial d’Halloween avec des recettes santé thématiques, organisez une fête à la maison, allez visiter une maison « hantée » dans votre quartier, regardez un film d’Halloween…

 

Inspirer l’entourage

 

Une partie du plaisir vient aussi de répondre à la porte. Laissez les enfants courir l’Halloween une partie de la soirée et ensuite revenir vous aider à distribuer vos « surprises santé » : collants, faux tatouages, crayons et effaces d’Halloween, petits sacs de noix ou de fruits (mélange du randonneur), maïs soufflé, chocolat noir sans sucre, jujubes naturels, petits jouets, etc. Tout ce qui importe est qu’il y ait le moins de sucre et d’additifs possible et que tout soit scellé commercialement. Sinon, à moins que vous connaissiez personnellement les enfants, vous perdez votre temps à fabriquer des sucreries maison; les enfants ne les mangeront pas par sécurité.

 

 

Souvenez-vous que l’Halloween, comme toutes les fêtes, n’arrive qu’une fois par année. Si votre famille mange des repas sains et nutritifs tout le reste de l’année, l’impact de quelques excès ne sera pas considérable. Comme toujours, la modération a bien meilleur goût…

 

Joyeuse Halloween à tous!

 

 

 

 

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