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Bouffe réconfortante, délicieuse et santé; c’est possible! Voici la recette idéale pour chasser le froid hivernal.

Le frisson vous prend lorsque vous mettez le nez dehors? Vous rêvez d’un feu de foyer et tout ce que vous pensez à manger s’appelle bouffe réconfortante : pâté chinois, spaghetti, tourtière…

C’est normal. Votre corps vous demande de l’aide pour garder le thermostat à niveau avec des calories (eh! oui, les calories servent à créer de l’énergie pour vous réchauffer). Mais attention de ne pas tomber dans le piège : ne délaissez pas vos bonnes habitudes alimentaires en consommant des sources de calories vides de nutriments. Vous avez besoin d’autant, sinon plus, de légumes, de protéines, de fibres et de vitamines qu’en été.

Alors comment combler les besoins essentiels de votre corps sans succomber à vos rages alimentaires? Une solution simple et économique : la soupe-repas! C’est facile à faire, nutritif et goûteux en plus d’être un classique de la nourriture réconfortante.

Laissez aller votre imagination

La plupart des soupes faites maison sont excellentes pour la santé puisque vous choisissez ce que vous y mettez. Elles contiennent normalement peu de gras trans, sont riches en protéines lorsque vous y ajoutez des légumineuses ou de la viande et pleines de minéraux et vitamines nécessaires grâce aux légumes que vous y mettez en grande quantité.

Pour ajouter encore plus de bénéfices à votre soupe-repas, garnissez-la de persil ou de coriandre (détoxifiant), de graines de citrouille (OMG-3), d’une pincée d’algues (iode) ou de quelques graines de sésame (calcium).

 

Voici une suggestion pour partir le bal de la saison de la soupe.

Réconfortante soupe minestrone revisitée

Ingrédients
  • 1 oignon doux – haché grossièrement
  • 2 branches de céleri – coupées en petits morceaux
  • 3 carottes – coupées en petits morceaux
  • 2 c. à table d’huile d’avocat, de tournesol ou de sésame
  • 2 gousses d’ail – finement hachées
  • 2 tasses de courgettes – coupées en petits morceaux
  • 2 tasses de haricots verts – coupés en petits morceaux
  • 1 poivron rouge – coupé en petits morceaux
  • 1,75 lb de tomates fraîches ou 28 oz de tomates en boîte – coupées en dés
  • 4 tasses de bouillon de légumes ou de poulet
  • 1 boîte de conserve de fèves rouges
  • 1 boîte de conserve de pois chiches
  • 1 tasse de quinoa – rincé
  • 2 tasses de kale ou d’épinards
  • 1 c. à thé de curcuma
  • 1 pincée de flocons de piment
  • Sel ou poivre au goût
  • Basilic, persil ou romarin frais – finement haché, pour garnir la soupe

 

  1. Dans une grande casserole, attendrir à feu moyen les oignons, carottes et céleris.
  2. Ajoutez l’ail et les flocons de piment et laisser sur le feu pour 2 min.
  3. Ajoutez les courgettes et les haricots et assaisonnez le tout avec le curcuma, le sel et le poivre. Laissez les saveurs se mélanger pendant 3-5 min.
  4. Ajoutez les tomates et le bouillon et élevez la température pour amener à ébullition.
  5. Baissez le feu à moyen/doux et laissez mijoter pendant 20 min.
  6. Ajoutez le quinoa et couvrez pour 15 min ou jusqu’à ce que le quinoa soit cuit. Ajoutez de l’eau au besoin après la cuisson du quinoa.
  7. Ajoutez le kale ou les épinards, les fèves et les pois chiches et laissez sur le feu pendant 5 min de plus jusqu’à ce que le kale soit attendri.

 

Quelle est votre soupe favorite pour éloigner les frissons hivernaux?

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Le meilleur régime alimentaire qui soit !

Mangez pour vous, mangez avec plaisir et mangez pleinement : le meilleur régime alimentaire qui soit!

 

La « pleine conscience » gagne en popularité dans le mouvement du bien-être et de la santé. On parle souvent de méditation pleine conscience, mais elle s’applique également à l’alimentation. Si vous désirez améliorer vos habitudes alimentaires, il peut s’agir d’un bon premier pas. L’alimentation pleine conscience vous amènera à respecter les besoins de votre corps et à les comprendre, sans compromettre le plaisir de manger. Mais de quoi s’agit-il exactement?

Une autre diète compliquée? Absolument pas.

Une diète implique souvent des privations. L’alimentation pleine conscience, à l’opposé, propose de manger ce que vous voulez et de pleinement l’apprécier. La seule indication est d’écouter ce que votre corps vous demande et de reconnaître pourquoi vous avez envie de manger tel aliment ou tel autre.

En d’autres mots, vous élevez votre niveau de conscience sur ce qui se passe dans votre corps et sur les aliments que vous utilisez pour le nourrir.

Vous craignez de mal manger ou de trop manger si vous ne suivez pas un régime strict? Vous vous rendrez compte rapidement que l’intelligence innée de votre corps vous dirigera vers des choix santé et vous indiquera quand vous aurez mangé à votre faim.

Un exercice de connexion profonde

La plupart des gens connaissent les bases d’une alimentation saine. Alors pourquoi mangent-ils autant d’aliments nocifs pour leur santé? C’est qu’ils sont déconnectés des besoins fondamentaux de leur corps.

En mangeant de façon consciente, vous permettez la connexion entre le corps et l’esprit. Vous entendez votre corps vous dire : stop, assez mangé… C’est aussi apprendre à le traiter avec respect, en lui donnant ce dont il a vraiment besoin pour bien fonctionner et continuer à vous servir dans vos expériences de vie.

Ce n’est pas tant ce que vous mangez, mais comment et pourquoi vous mangez.

Allez-y, mangez un hamburger ou des biscuits si c’est vraiment ce que vous désirez – en autant que vous le faites en étant pleinement conscient des raisons derrière cette envie. Si c’est pour gâter votre palais et que ça bien longtemps que vous n’en avez pas mangé; allez-y sans remord! C’est correct de ne pas toujours suivre les lignes directrices de l’alimentation parfaite. Ce n’est pas de tricher, mais d’être humain… Vous verrez que de profiter pleinement de ces petits écarts vous permettra de diminuer les pulsions pour certains aliments. Si toutefois vous vous rendez compte que vous voulez le hamburger parce que vous êtes affamé et que vous n’avez pas pris le temps de préparer un bon repas par exemple, vous savez que la satisfaction de le manger ne sera pas assez grande pour contrebalancer les effets sur votre santé. Ça aussi, ça permet de diminuer les rages alimentaires.

Cultivez votre conscience

Manger en pleine conscience, ça ne vient pas du jour au lendemain; c’est une pratique qui se cultive et qui requiert du temps. Plus vous vous y exercerez, meilleure sera l’écoute de vos besoins et plus vous prendrez plaisir à vous choyer avec de bons aliments. La clef est de reconnaître vos habitudes automatiques nocives et de les remplacer par ce qui nourrit réellement votre corps et votre esprit.

Voici quelques trucs :

  • Mâchez lentement et utilisez vos cinq sens pour capter toute l’information des aliments et pour profiter de l’expérience.
  • Mangez quand vous avez faim et arrêtez quand vous êtes satisfait(e), pas plein!
  • Prenez votre temps : prenez au moins 20 minutes par repas (votre cerveau a besoin de ce délai pour détecter l’état de satiété).
  • Avant de manger, demandez-vous : Quelle est l’ampleur de ma faim? Et durant le repas, prenez une pause, respirez et demandez-vous : suis-je satisfait(e)?
  • Prenez les temps de repas comme une opportunité de connexion personnelle, pas une échappatoire de la routine. Assoyez-vous dans un endroit calme, limitez le bruit et les sources de distraction. Au lieu d’être en mode multitâches, ne faites que manger et appréciez-en chaque bouchée!
  • Allez-y graduellement. Un ou deux repas en pleine conscience par semaine peuvent être suffisants pour débuter un changement dans vos habitudes alimentaires.

En plus de rendre vos repas beaucoup plus agréables, l’alimentation pleine conscience peut vous aider à reconnaître certains schémas émotionnels en lien avec votre consommation de nourriture (rage d’aliments, par exemple). Comprendre votre véritable motivation lorsque vous mangez peut être un grand pas vers la guérison et le bien-être.

 

 

 

 

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Êtes-vous trop stressés pour être malade?

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi vous avez tendance à tomber malade aux pires moments? Sprint de productivité au travail, période d’étude et d’examens, phase financière difficile… ou, pour faire exprès, juste au début des vacances.

C’est que le stress et le système immunitaire ne vont pas de paire.

En 2012, des chercheurs de l’Université Carnegie Mellon ont étudié l’effet du stress sur des participants mis en contact avec un rhinovirus (virus commun du rhume). Les participants sous stress ont été deux fois plus nombreux à être malades.*

Pourquoi le stress existe-t-il s’il est si mauvais pour la santé?

On pense souvent à tort que le stress est négatif, mais il existe du bon stress. C’est le stress à court terme, celui que vous ressentez durant une présentation orale ou avant une compétition. C’est lui qui vous donne un boost d’énergie, vous rend alerte et augmente vos performances. Le corps humain est fait pour bien répondre à ce stress. Et heureusement qu’il existe puisque son rôle est d’enclencher l’instinct de survie! Si un lion se mettait à vos trousses, vous seriez bien heureux que votre corps sonne l’alerte de stress.

Toutefois, quand le stress se prolonge, il devient chronique. C’est lui qui est néfaste et qui est source de bien des problèmes de santé dans notre société. Dites-vous que vos soucis quotidiens enclenchent le même type de réactions biochimiques dans votre corps que si vous aviez constamment à fuir un lion.

Comment le stress affecte-t-il vos défenses naturelles?

Lorsque le stress est continu ou exacerbé, le cortisol et les corticostéroïdes sont relâchés dans la circulation sanguine sur une période prolongée. À court terme, ces hormones sont saines et nécessaires à la survie, mais à long terme elles entravent le bon fonctionnement de vos petits soldats.

  1. Création d’un terrain inflammatoire
    En temps normal, la relâche de cortisol fait augmenter votre rythme cardiaque, votre amplitude respiratoire et votre tension artérielle en plus de diminuer l’activité du système immunitaire. Ainsi, la réponse inflammatoire aux agents pathogènes est momentanément réduite. Pensez que le but en stress immédiat est de sauver votre peau, pas de vous protéger contre le rhume.

Par contre, en stress chronique, votre système immunitaire devient moins sensible au cortisol, comme s’il s’y habituait. La réponse inflammatoire est alors anormalement grande et crée un terrain inflammatoire propice aux infections.

  1. Diminution de l’efficacité des cellules immunitaires
    Les lymphocytes ont un rôle majeur dans la défense immunitaire. Ils tuent les agents envahisseurs et peuvent identifier les substances néfastes. À long terme, le cortisol et les corticostéroïdes suppriment vos lymphocytes. Vous avez donc moins de défenses pour vous débarrasser d’une infection virale ou bactérienne.

En bref, votre stress vous rend plus vulnérable à tomber malade et augmente votre période symptomatique ainsi que votre temps de récupération. Une raison de plus pour incorporer une technique de gestion de stress à votre quotidien.

La meilleure combinaison reste encore et toujours l’activité physique et les pratiques de retour au calme : la méditation, le yoga, les techniques d’ancrage, l’EFT (Emotionnal Freedom Technique), l’ISR (intégration somato-respiratoire), la cohérence cardiaque, etc.

Personne n’est immunisé contre le stress! Mais en comprenant mieux ce qui se passe dans votre corps, vous serez plus apte à écouter les signaux d’alarme et à choisir des stratégies vous permettant de mieux gérer votre stress.

 

 

* S. Cohen et al. Chronic stress, glucocorticoid receptor resistance, inflammation, and disease risk. PNAS. Avril 2012, vol. 109 no. 16, 5995-5999.

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Guide 101 pour « booster » le système immunitaire de vos enfants

Voici 7 astuces à mettre en application dès maintenant pour soutenir le système immunitaire de toute votre famille et ainsi éviter les nez coulants durant l’hiver!

1. Diminuez la consommation de sucre

Le sucre favorise la croissance bactérienne et virale et contribue à garder un milieu interne acide. Le sucre inclut les friandises/desserts, jus, céréales, aliments préparés contenant du sucre (regardez la liste d’ingrédients des collations que vos enfants mangent : sucrose, fructose, lactose, bref tout ce qui finit en –ose) et même les fruits.

Bémol à mettre sur les fruits; l’idée est simplement de favoriser les légumes et de ne pas remplacer la portion de légumes par des fruits seulement.

Saviez-vous que…? : Les poivrons mûrs (de couleur rouge, orange ou jaune) contiennent deux fois plus de vitamine C que les oranges. Alors oubliez le jus d’orange (sucré et acide) au déjeuner et emportez plutôt des poivrons en crudités dans votre lunch.

2. Réduisez la consommation de produits laitiers

Les produits laitiers ont une teneur élevée en sucre (lactose) et favorisent la sécrétion de mucus. Ils sont aussi un irritant chez plusieurs personnes pour la santé intestinale vu la présence de la protéine bovine (caséine).

Saviez-vous que…? : Les produits laitiers ne sont pas une source nécessaire de calcium. Vous en trouverez davantage dans une alimentation variée et riche en légumes verts. Vous n’avez donc pas à craindre pour la santé des os et des dents de vos enfants en réduisant les produits laitiers.

3. Éliminez les sources d’irritants et d’agents allergènes

Voici quelques exemples présents dans l’air ambiant : fumée secondaire, vieux tapis, poils d’animaux domestiques, produits ménagers chimiques, parfums d’ambiance (chandelles parfumées, vaporisateurs chimiques, etc.), parfums personnels, moisissure, etc. Une surcharge d’irritants entraine une réponse d’hypersensibilité du système immunitaire qui peut se traduire en symptômes d’allergie, d’asthme ou de production de mucus chronique. La meilleure tactique consiste à éliminer les sources d’irritants plutôt que d’enrayer les symptômes qui sont une réaction de protection naturelle du corps de votre enfant.

Saviez-vous que…? Tout ce qui a une odeur artificielle ou chimique est source d’irritation pour les voies respiratoires. Si on peut le sentir, c’est que les particules se rendent dans les voies respiratoires.

4. Buvez de l’eau en grande quantité

L’eau est essentielle pour éliminer les toxines et les agents infectieux. Évitez les jus et le lait (autre que lait maternel ou en formule maternisée pour les bébés) comme source de liquide. De plus, si votre enfant est malade, l’eau aide son corps à liquéfier les sécrétions, ce qui les rend plus faciles à éliminer.

Petit guide pour savoir quelle quantité d’eau devrait boire votre enfant (en plus de l’eau présente dans l’alimentation) :

  • enfants de 7 à 12 mois : 600 ml d’eau
  • enfants de 1 an à 3 ans : 900 ml
  • enfants de 4 ans à 8 ans : 1,2 l
  • 8 ans et + : augmentez graduellement selon le poids jusqu’à 2 l comme chez l’adulte

5. Intégrez la prise d’un probiotique

L’équilibre bactérien de l’intestin est en lien direct avec la santé du système immunitaire. Consultez un professionnel au comptoir des produits naturels ou un pharmacien pour connaître le meilleur produit et la posologie idéale selon l’âge et le poids de votre enfant.

6. Consommez un supplément de vitamine D3

La vitamine D3, qui est normalement créée par la peau exposée au soleil, est nécessaire au bon fonctionnement du système immunitaire. On remarque une carence globale dans notre population en raison de notre style de vie intérieur. Une supplémentation est nécessaire puisque l’alimentation à elle seule, même lorsque de bonne qualité, ne suffit pas à combler la carence.

Voici un guide des dosages recommandés par le département de nutrition de l’Université de Montréal

 

0-6 mois : entre 400 et 1000 UI/jour

7-12 mois : entre 400 et 1500 UI/jour

1-3 ans : entre 600 et 2500 UI/jour

4-8 ans : entre 600 et 3000 UI/jour

8 ans et + : entre 600 et 4000 UI/jour

 

 

7. Réduisez l’impact des stress émotionnels

Tout comme nous, les enfants vivent des stress émotionnels et peuvent éprouver de l’anxiété. Plus le niveau de stress est élevé, plus le système nerveux perd de son équilibre (parasympathique/sympathique). Cela affecte directement la réponse du système immunitaire; c’est-à-dire une diminution de son efficacité à combattre les microbes et les cellules inadéquates ainsi qu’une hypersensibilisation aux agents allergènes.

Trucs et astuces pour diminuer le niveau de stress chez les enfants :

  • Discutez des situations conflictuelles. Ceci l’aidera à libérer la charge émotionnelle associée.
  • Observez si le rythme de vie familial convient au rythme personnel de votre enfant : garderie/école, cours de tout acabit, temps de repos, etc.
  • Toutes les pratiques réduisant le stress sont aussi bonnes pour vous que pour vos enfants (p. ex. : sport, yoga, méditation, musique classique, exercices de respiration, etc.).
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Votre sommeil détruit-il vos défenses immunitaires ?

Le manque de sommeil est lié à une panoplie de problèmes de santé physique et mentale, notamment ceux découlant d’un système immunitaire affaibli. Votre système immunitaire est conçu pour vous protéger des rhumes, grippes et autres maladies, mais lorsqu’il ne fonctionne pas adéquatement, il ne peut pas remplir sa mission. Si vous ne dormez pas bien ni suffisamment, il se peut également que vous mettiez plus de temps à récupérer si vous tombez malade.

 

Votre corps est bien fait

 

Lorsque vous dormez, votre système immunitaire libère des protéines (cytokines). Le corps a besoin d’une plus grande quantité de certaines cytokines lors d’une infection, d’une inflammation ou de stress. Un déficit de sommeil peut faire diminuer la production de ces cytokines protectrices. Aussi, les cellules et les anticorps chargés de combattre les infections se trouvent à chuter lors des périodes où vous dormez moins que ce qui est nécessaire.

 

Autrement dit, plus vous accumulez les nuits blanches, plus votre corps aura de la difficulté à se défendre contre les rhumes ou les infections bactériennes.

 

Encouragez la fièvre

 

Le sommeil ne joue pas seulement un rôle dans la prévention des rhumes et grippes. Il influence en outre la manière dont votre corps lutte contre la maladie lorsque vous en contractez une.

 

Par exemple, votre corps utilise entre autres la fièvre contre les infections. L’augmentation de la température du corps et l’activation de la sudation tuent les microbes qui ne tolèrent pas un environnement de cette chaleur. C’est donc important de laisser la fièvre faire son travail et de ne pas chercher à la supprimer d’emblée avec un antipyrétique.

 

Et la réponse fiévreuse est meilleure lorsque vous dormez. C’est la raison pour laquelle la fièvre a tendance à monter la nuit. Mais si vous ne dormez pas, votre réaction fiévreuse n’est pas amorcée et votre combat contre l’infection n’est pas aussi efficace qu’il pourrait l’être.

 

Trop c’est comme pas assez

 

Le nombre d’heures de sommeil conseillé pour la majorité des adultes est de sept à huit chaque nuit. Pour les adolescents, on parle plutôt de 10 heures. Les enfants d’âge scolaire ont besoin d’au moins 10 heures.

 

Toutefois, dormir plus ne veut pas dire bien dormir. Le fait qu’un adulte dorme plus de neuf ou dix heures par nuit peut cacher un trouble lié au sommeil, comme un sommeil inefficace et non récupérateur.

 

La société actuelle est en perpétuel mouvement et se fait bombarder de façon continue par les médias. Le sommeil semble un luxe. Mais avoir de bonnes habitudes de sommeil fait partie intégrale d’un mode de vie sain. Vos petits soldats en ont besoin pour mener leur combat!

 

 

 

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Devrions-nous laisser les enfants « passer l’Halloween »?

L’Halloween approche à grand pas et tous se demandent quel costume sera le plus drôle, mignon ou effrayant à porter. Et c’est aussi la saison des bonbons. Il n’y a pas à dire, l’Halloween est clairement l’une des fêtes préférées des enfants! Mais les parents qui encouragent leur famille à manger santé toute l’année se sentent souvent divisés entre la coutume populaire des friandises et la santé de leurs enfants. Voici le secret pour permettre à vos enfants de profiter de cette fête sans compromettre leurs saines habitudes de vie.

 

 

S’amuser sans s’empoisonner

 

Le truc le plus simple consiste à diminuer la taille du sac de bonbons. Moins vos enfants ramasseront de friandises, moins ils en mangeront et moins ils ingurgiteront d’ingrédients néfastes pour la santé. Voici l’effet de certains de ces ingrédients sur le corps.

 

  1. Sucre blanc raffiné et sirop de maïs :
  • Toxiques pour le système nerveux : créent une dépendance aussi élevée que certaines drogues dures et entraînent une surstimulation du système nerveux central (relié au TDAH et aux hypersensibilités telles que les allergies).
  • Suppression du système immunitaire : n’avez-vous pas déjà remarqué que les enfants sont toujours malades à la suite de l’Halloween ou durant les vacances de Noël?
  • Dommage à la fonction hépatique : certaines études ont démontré que le sucre est aussi néfaste que l’alcool.
  • Dérèglement de la relâche d’insuline en faisant grimper la glycémie.
  • Augmentation du niveau d’acidité dans le corps en général.
  1. Colorants alimentaires toxiques : liés au développement de cancers, de troubles de comportement et de réactions allergiques.
  2. Huile de palme hydrogénée : dommage au système cardiovasculaire.
  3. Préservatifs alimentaires : cancérigènes et neurotoxiques.

 

Diminuer la consommation

 

La clé, c’est de faire preuve de modération : limitez la prise de friandises commerciales tout en laissant les enfants profiter des moments magiques. Voici quelques trucs et astuces pour y parvenir.

 

  1. Prévoyez un repas copieux, sain et nutritif le soir de l’Halloween pour éviter que les enfants aient des fringales de fin de soirée ou qu’ils mangent leurs bonbons au fur et à mesure de leur collecte.
  2. Expliquez aux enfants qu’ils pourront garder une certaine quantité de bonbons et donc qu’ils pourront trier ceux de leur choix après leur collecte.
  3. Expliquez la raison de cette limite; ex., ingrédients néfastes, pas des aliments pour faire grandir leur corps, pour la santé de leurs belles cellules, etc.
  4. Ne laissez jamais le sac de friandises bien en vue. Certaines personnes le gardent au réfrigérateur puisque les bonbons sont moins goûteux lorsqu’ils sont froids. Il semblerait que les enfants s’en désintéressent…
  5. Ne laissez pas les enfants piger à volonté dans leurs bonbons. Il serait préférable qu’ils doivent demander la permission (p. ex., en dessert). Vous pouvez aussi faire le compromis de les laisser prendre un bonbon en autant qu’un aliment sain et nutritif soit consommé.
  6. Soyez un modèle et ne mangez pas de bonbons vous-même!
  7. Mettez l’emphase autour de la fête et non de la chasse aux bonbons; elle deviendra secondaire et la consommation des bonbons encore moins importante. P. ex., préparez un repas spécial d’Halloween avec des recettes santé thématiques, organisez une fête à la maison, allez visiter une maison « hantée » dans votre quartier, regardez un film d’Halloween…

 

Inspirer l’entourage

 

Une partie du plaisir vient aussi de répondre à la porte. Laissez les enfants courir l’Halloween une partie de la soirée et ensuite revenir vous aider à distribuer vos « surprises santé » : collants, faux tatouages, crayons et effaces d’Halloween, petits sacs de noix ou de fruits (mélange du randonneur), maïs soufflé, chocolat noir sans sucre, jujubes naturels, petits jouets, etc. Tout ce qui importe est qu’il y ait le moins de sucre et d’additifs possible et que tout soit scellé commercialement. Sinon, à moins que vous connaissiez personnellement les enfants, vous perdez votre temps à fabriquer des sucreries maison; les enfants ne les mangeront pas par sécurité.

 

 

Souvenez-vous que l’Halloween, comme toutes les fêtes, n’arrive qu’une fois par année. Si votre famille mange des repas sains et nutritifs tout le reste de l’année, l’impact de quelques excès ne sera pas considérable. Comme toujours, la modération a bien meilleur goût…

 

Joyeuse Halloween à tous!

 

 

 

 

Categories Soyez Ajustés en chiropratique

Les maux de tête ruinent votre vie? Des solutions simples, efficaces et sécuritaires sont à portée de main.

Vous souffrez de maux de tête? Vous n’êtes pas seul! L’association chiropratique américaine estime que neuf personnes sur dix vont expérimenter des maux de têtes au cours de leur vie. Occasionnel ou fréquent, seulement embêtant ou sérieusement douloureux. Bien que ce soit commun, ce n’est pas pour autant normal. Un mal de tête, même léger, est un signal d’alarme que votre corps vous envoie.

 

Victime ou responsable de vos maux de tête

 

Selon l’Association chiropratique américaine, 95% des maux de tête sont des céphalées primaires, c’est-à-dire des céphalées de tension, des migraines ou des céphalées cervicogéniques. Elles ne sont causées par aucune maladie, mais par un déséquilibre neurostructurel résultant de mauvaises habitudes de vie.

 

Aujourd’hui, les activités sédentaires et stressantes sévissent et la population occidentale passe la majorité de son temps dans une même position ou posture, ce qui peut mener à un mauvais mouvement ou à un mauvais positionnement des vertèbres cervicales. On parlera alors de subluxation vertébrale. La subluxation entraîne une irritation nerveuse et provoque des spasmes du cou. Une des réponses du corps face à ce déséquilibre neurostructurel est le mal de tête que vous endurez.

 

Que faites-vous lorsque vous avez mal à la tête?

 

Vous serrez les dents et continuez ce que vous faisiez? Vous vous allongez? Vous avalez un comprimé en espérant voir s’estomper la douleur? Il y a une meilleure option.

 

La recherche indique que la manipulation cervicale – principal soin administré par les chiropraticiens – permet efficacement de rétablir l’équilibre vertébral et ainsi éviter que votre corps vous envoie des signaux d’alarme comme les maux de tête.

 

Rétablir l’équilibre : la science supporte les théories

 

C’est connu depuis longtemps. Déjà en 2001, des chercheurs à l’université Duke de Durham, en Caroline du Nord, avaient conclu que la manipulation cervicale soulageait presque immédiatement les maux de tête dont la cause se trouvait dans le cou et que les effets secondaires étaient nettement inférieurs à un médicament prescrit de façon courante en plus de procurer un soulagement plus durable des céphalées de tension.

 

Que faire pour prévenir les maux de tête?

 

Les maux de tête peuvent être déclenchés par divers facteurs : aliments (additifs alimentaires, GMS, nitrites, sulfites, sucre, alcool, etc.), manque d’eau, stimuli environnementaux (bruits, lumières, stress, etc.) et comportements (insomnie, mauvaise posture, exercice excessif ou insuffisant, changements dans la glycémie, etc.). Ce sont tous des facteurs de toxicité pour votre santé qui enclenchent une réponse de stress au niveau de votre système nerveux.

 

Voici quelques conseils d’usage en cas de mal de tête.

 

  • Prenez plusieurs pauses lorsque vous travaillez à l’ordinateur, assis ou courbé : bougez, redressez votre dos et votre tête et étirez-vous.
  • Bougez au quotidien : l’exercice physique augmente le taux d’endorphines dans le corps et favorise la détente et la résistance au stress.
  • Privilégiez une saine alimentation : diminuez votre consommation de sucre, de café et d’aliments transformés ou déjà préparés.
  • Soignez votre posture au quotidien, surtout au travail.
  • Buvez minimalement 2 litres d’eau par jour pour éviter la déshydratation.
  • Trouvez des outils de gestion du stress qui vous conviennent : yoga, méditation, écoute de musique, marche en nature, etc. Le stress mental est une cause majeure de tension physique qui affecte la mobilité du cou et la tension musculaire.
  • Faites vérifier la mobilité de votre colonne vertébrale régulièrement et appliquez les conseils de saines habitudes de vie de votre chiropraticien de famille.

 

 

 

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Garder la forme en automne, c’est possible. Voici comment y arriver!

Mercure à la baisse, arbres colorés, veste de laine et potage chaud… Qu’est-ce que l’automne vous inspire? Êtes-vous de ceux qui cessent leurs activités extérieures en se réfugiant au chaud? Cette année, mettez cette idée de côté : l’automne est la plus belle saison pour profiter de la nature, bouger et faire le plein d’oxygène!

 

Voici quelques idées pour inspirer vos activités extérieures, seul ou en famille.

 

1.     Randonnées pédestres

 

Pas besoin d’aller bien loin; le Québec regorge de parcs, de réserves naturelles, de montagnes et de cours d’eau. Quoi de mieux qu’un après-midi d’automne, avec ses feuilles qui rougissent, pour profiter des magnifiques panoramas. Idéal pour revigorer votre corps, faire bouger vos muscles et vous remplir les yeux de beauté.

 

La marche en nature permet aussi d’atteindre un état méditatif : concentrez-vous sur vos pas, votre respiration ou les bruits de la nature pour calmer votre esprit.

2.     Séance de yoga en plein air

 

Le yoga à l’extérieur est magique! L’environnement lui-même porte à la détente et à la contemplation et l’espace permet une pleine liberté de mouvement. Même si l’air est frais, en étant habillé confortablement et chaudement, il n’y a pas de raison de s’en passer.

 

Sortez votre tapis de yoga dehors : vous y gagnerez calme physique et mental, pleine oxygénation, souplesse, tonus et bien-être.

3.     Roulez

 

Qui a dit que la fin de l’été annonçait la remise des vélos? Il y a encore de magnifiques ballades à faire avant la première bordée de neige. Entre 12 h et 15 h, lorsque le soleil est haut, c’est le moment idéal pour sortir votre vélo, vous faire aller les pattes et voir du pays. Le vélo est une excellente combinaison d’activité physique musculaire (membres inférieurs) et cardiovasculaire en plus de limiter les impacts sur les articulations.

Sport, oxygène, bien-être et jolis paysages sont encore une fois au rendez-vous.

 

4.     À vos marques, prêts, partez!

 

Enfilez vos chaussures de course et laisser vos excuses de côté! Avec la fraicheur de l’air, l’automne est un moment idéal pour débuter ou recommencer la course à pied. En plus d’offrir un entrainement cardiovasculaire nécessaire, la course à pied entraine une relâche d’endorphines favorisant une meilleure réponse au stress, un retour au calme efficace et des émotions positives. Sans parler de la satisfaction personnelle d’avoir atteint votre objectif! La marche rapide est aussi une alternative très intéressante.

 

5.     Sortez votre cœur d’enfant et allez jouer dehors

 

C’est le temps idéal pour sortir les ballons de soccer, de volleyball et de football ou pour jouer à la balle ou au hockey bottine. Si vous avez des enfants, donnez-leur l’exemple et allez jouer dehors avec eux. Rien ne leur fera plus plaisir et ne vous fera plus de bien!

 

Pensez à bâtir des montagnes avec les feuilles sur votre terrain pour une course à obstacle. Mieux encore, prenez une journée en famille ou entre amis pour visiter l’un des centres d’hébertisme ou d’arbre en arbre près de chez vous. Plaisir garanti!

 

 

Gardez en tête que le but est de bouger et de prendre l’air : tous les moyens sont bons pour y arriver. Dites-vous qu’en été, on se plaint qu’il fait trop chaud et qu’à l’automne, il fait déjà trop froid. Mais il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises températures; seulement des gens mal habillés…

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7 façons concrètes de faire exploser votre niveau de confiance

La confiance en soi devrait venir de l’intérieur et irradier tout autour. Malheureusement, il arrive que l’on oublie qui l’on est vraiment et c’est à ce moment que la confiance fait place au doute. Suivez les étapes suivantes pour vous retrouver et rayonner.

  1. Aimez-vous.

Une chose est certaine : vous passerez votre vie entière avec vous-même. Il serait donc souhaitable de commencer à être votre meilleur ami dès maintenant. On a toujours confiance en son meilleur ami, pas vrai?!

  1. Prenez soin de vous.

Faites une sieste, plongez dans votre livre préféré, prenez un bain, réservez un après-midi pour lire des magazines, préparez un délicieux repas, sortez prendre une marche. Ralentir le rythme de votre vie vous permettra de mieux ressentir vos besoins, et vous finirez par mieux entendre votre « petite voix intérieure». En prime : vous vous sentirez revigoré.

  1. Exprimez votre gratitude.

La gratitude est l’une des pratiques les plus importantes à intégrer dans votre vie. Elle permet de s’arrêter à l’abondance qui vous entoure et de changer de perspective, de passer d’un état de peur et de manque à un état d’amour et de profusion. Une fois par jour, prenez donc le temps de méditer pour exprimer votre gratitude. Faites une pause de quelques minutes, prenez quelques respirations profondes et laissez venir à vous toutes les choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant dans votre vie en ce moment.

  1. Partez la journée du bon pied.

Prenez le temps de vous pomponner le matin. Choisissez dans votre garde-robe des vêtements qui vous font sentir à votre meilleur. Utilisez un brillant à lèvres pour illuminer instantanément non seulement votre visage, mais également votre humeur générale. Il ne s’agit pas d’être matérialiste ni superficiel, il s’agit de faire ressortir votre personnalité et de l’exprimer.

  1. Mettez par écrit des choses qui vous passionnent et mettez-vous à l’œuvre.

Vous serez débordant de confiance si vous faites ce que vous aimez. La raison est toute simple : vous vous sentez alors en communion avec votre véritable personnalité et ce qui vous allume réellement. Plus vous apprendrez à connaître votre vraie nature et à l’accepter, plus vous vous aimerez. Vous n’essaierez plus d’entrer dans un moule qui ne vous convient pas.

  1. Faites quelque chose qui vous effraie.

Il se peut que vous soyez trop ancré dans votre zone de confort. Sortez-en pour voir vraiment de quel bois vous vous chauffez!

  1. Rendez service aux autres et soyez généreux.

La générosité nous fait toujours sentir bien lorsque nous sommes sincères. Vous pouvez l’appliquer dans à peu près n’importe quoi : gentillesse, nourriture, vêtements, argent, expériences, etc. Ouvrez votre cœur et soyez confiant qu’il sera toujours plein!

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Votre petit déjeuner est-il réellement santé ? Voici 9 idées pour démarrer la journée en force !

L’importance de déjeuner est un des rares sujets sur lequel les professionnels de la santé s’entendent de façon unanime. Voici quelques idées pour un début de journée énergique et productif !

 

Débuter la journée du bon pied

 

Commencer votre journée avec une bonne alimentation est aussi essentiel que de mettre le bon carburant dans le réservoir de votre voiture. Une des meilleures habitudes que vous pouvez adopter pour améliorer votre santé et votre bien-être consiste à manger un repas nutritif le matin. Les bénéfices vont de l’amélioration de votre fonction mentale à la perte de poids, en passant par l’amélioration de l’humeur.

 

L’étape cruciale de la routine matinale

 

Le déjeuner est le moment idéal pour définir votre intention pour la journée. Vous faites peut-être partie de ceux qui quittent la maison en coup de vent, café à la main, après avoir ingurgité en quelques bouchées une rôtie ou un bol de céréales. Toutefois, prendre un peu plus de temps pour préparer votre déjeuner peut avoir un impact positif sur votre glycémie sanguine. Vous pouvez même préparer votre déjeuner la veille pour vous assurer d’avoir un repas nourrissant au lever.

 

Un excellent moyen de contrer les rages de sucre

 

Si vous sautez le déjeuner, il se peut que votre glycémie fluctue grandement au cours de la journée, ce qui se traduit normalement par un appétit accru. Dre Libby Weaver, nutritionniste éminente d’Australasie, a d’ailleurs fait la constatation suivante : « Ce que j’ai remarqué dans ma pratique clinique, c’est que mes patients mangeraient trop au courant de la journée s’ils laissaient leur glycémie chuter trop bas. »

 

Le déjeuner est donc souvent lié à une bonne gestion du poids pour cette raison. Si vous avez des nausées en matinée, prenez un déjeuner plus léger, comme un smoothie. Toutefois, il se peut que ce soit une indication que vous mangez trop tard le soir ou que votre fonction hépatique n’est pas optimale. Consultez un spécialiste en santé naturelle avant d’entreprendre une cure détox.

 

La clé : visez protéines et légumes

 

Oubliez les déjeuners traditionnels et optez pour un repas à base végétale; par exemple, légumes vapeur ou sautés avec une portion de protéines ou smoothie vert. Les déjeuners riches en protéines diminuent les niveaux de ghréline (hormone de l’appétit) alors que les déjeuners à forte teneur en glucides peuvent faire le contraire. Ceci étant dit, vous connaissez votre corps mieux que quiconque et ce qui fonctionne pour votre voisin peut ne pas avoir les mêmes résultats pour vous.

 

Idées de déjeuners nutritifs

 

  • Omelette garnie de légumes verts et de fines herbes.
  • Muesli (avoine, noix, graines et fruits) avec lait végétal (amande, cajou, coco, riz, etc)
  • Œufs pochés servis sur bébés épinards, tomates cerises avec huile d’olive et vinaigre balsamique
  • Gruau de sarrasin, chia, noix et fruits
  • Fricassée de courge/courgettes, patates sucrées, oignons, poivrons, tomates, jambon/saucisse sans agent de conservation et œuf
  • Gruau sans cuisson (overnight oats)
  • Smoothie à base de légumes verts (épinards, kale, bette à carde, persil, etc.) avec petits fruits, banane et/ou avocat et complexe d’huile contenant les bonnes proportions d’oméga-3 et d’oméga-6
  • Galette de sarrasin avec petits fruits. Remplacez le classique sirop d’érable (jamais sur un estomac vide, ferait grimper la glycémie) par un coulis de noix de cajou
  • Beurre d’amande ou de noix de cajou sur quartiers de pommes, galette de sarrasin/riz soufflé ou tranche de pain de grains germés
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