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Elle célèbre aujourd’hui ses 120 ans et n’a jamais été aussi en santé!

Depuis sa naissance le 18 septembre 1895, son parcours a été parsemé de nombreux triomphes, mais aussi de nombreuses difficultés. Elle a su, au fil des années, se développer et se renforcer. Et maintenant, à 120 ans, elle est plus en forme que jamais!

Vous l’aurez peut-être deviné, il ne s’agit pas ici de l’anniversaire d’une grande dame, mais bien d’une profession : la chiropratique. Savez-vous comment la chiropratique est venue au monde? Connaissez-vous l’histoire derrière la chiropratique?

Un clinicien pionnier du nom de Dr Daniel David Palmer a administré le premier ajustement chiropratique de l’histoire à son patient, Harvey Lillard, le 18 septembre 1895. Il l’a fait avec l’intention spécifique de réaligner une vertèbre mal positionnée sur son patient. À ce moment, Harvey Lillard était pratiquement sourd depuis 17 ans. Il a retrouvé son ouïe très rapidement à la suite des soins du Dr Palmer.

Après cette expérience transformatrice, le Dr Palmer a réorienté sa pratique clinique vers une nouvelle approche centrée sur la colonne vertébrale. Des gens venaient de partout pour le consulter en raison des résultats exceptionnels qu’il obtenait avec des problèmes de santé très variés. Sa pratique a grandi et de plus en plus de gens se sont intéressés à son approche novatrice, si bien qu’il a décidé de fonder sa première école. C’est ainsi qu’il a donné naissance à ce qui allait devenir la plus importante discipline de soins de santé naturels au monde (n’utilisant ni médication, ni chirurgie).

Bien sûr, la chiropratique a bien évolué depuis ce temps et les preuves scientifiques expliquant les résultats obtenus se multiplient.

Actuellement,

  • la chiropratique est pratiquée dans plus de 100 pays à travers le monde,
  • il y a environ 75 000 chiropraticiens aux États-Unis et environ 8000 au Canada,
  • les statistiques montrent qu’environ 10 à 15% de la population américaine (de 30 à 40 millions de personnes) ont consulté en chiropratique.

Grâce à son efficacité et à sa vision naturelle de la santé et du corps humain, la chiropratique rejoint les besoins et les valeurs d’un nombre grandissant de citoyens qui sont déçus, pour diverses raisons, du système médical conventionnel.

En favorisant l’expression des capacités innées du corps à se guérir et à se maintenir en santé, le docteur en chiropratique se positionne comme un véritable expert de la santé naturelle pour les familles modernes.

Pas surprenant que la chiropratique ne cesse de gagner en popularité depuis maintenant 120 ans!

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96 % … On peut encore s’améliorer!

La chiropratique gagne en popularité auprès des familles et des personnes de tous âges qui souhaitent améliorer leur santé, leur confort et leur bien-être. Au cours des dernières années, de nombreuses études ont permis de démontrer l’efficacité et la sécurité de l’approche chiropratique. Cependant, quelqu’un qui n’a jamais utilisé les services d’un docteur en chiropratique peut se demander très légitimement si les patients sont satisfaits des services reçus et des bienfaits associés. C’est sur cette question que des chercheurs australiens se sont penchés. Et la réponse est un « oui » retentissant!

En effet, les résultats d’une récente étude menée dans 96 cliniques chiropratiques en Australie sont parus dans le Journal of Manipulative and Physiological Therapeutics :

  • 96 % des patients ont affirmé que la chiropratique a permis d’améliorer leur santé et leur bien-être global,
  • 91 % des patients ont affirmé que les chiropraticiens les ont aidés à se responsabiliser relativement à leur santé,
  • 97 % des patients ont affirmé qu’ils auraient de nouveau recours aux soins chiropratiques.

Ces résultats très positifs concordent avec les résultats d’autres études faites dans le passé auprès des ainés, des femmes enceintes et de divers autres segments de la population dans divers pays.

En se concentrant sur le système nerveux, le chiropraticien parvient à traiter efficacement divers problèmes courants en plus d’aider à optimiser la santé générale.

Avec un taux de satisfaction aussi élevé, pas étonnant qu’autant de gens choisissent la chiropratique!

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10 preuves scientifiques des bienfaits de la méditation

La méditation a de nombreux effets bénéfiques sur la santé et certains vous surprendront! Mais comment est-il possible qu’une activité aussi simple que de se concentrer sur une seule pensée puisse produire des résultats aussi remarquables?

 

Les bouddhistes méditent depuis des millénaires. Ils en connaissent les effets positifs, notamment la stimulation de la force intérieure et de l’introspection nécessaire à une pratique spirituelle élevée. Mais ce n’est que récemment que les neuroscientifiques ont pu jeter un œil à ce qui se passe directement dans le cerveau. La venue de l’IRM et d’autres techniques d’imagerie médicale ont grandement contribué aux avancées.

 

Voici ce que des études récentes nous apprennent au sujet de la méditation et de la manière dont elle peut modifier le cerveau.

 

1. Pense vite!

 

La méditation renforce le cerveau en améliorant la connexion entre les neurones. Les gens qui pratiquent la méditation présentent des niveaux plus élevés de gyrification – ensemble des replis du cortex cérébral – ce qui permet de traiter l’information de façon plus rapide.

 

2. J’ai moins mal

 

La méditation apporte d’autres changements physiques au cerveau. On lie notamment la méditation à l’épaisseur corticale, qui peut se traduire par une diminution de la sensibilité à la douleur.

 

3. Cerveau, cœur et poumons…

 

Les différences structurelles observées entre les cerveaux de méditants et de non-méditants ont mené les scientifiques à spéculer que certains bénéfices, comme l’amélioration des réponses cognitives, émotionnelles et immunitaires, peuvent être liés aux effets positifs sur la respiration et la fréquence cardiaque.

 

4. Par ici le positivisme

L’intégrité de la matière grise, qui joue un rôle majeur dans le système nerveux central, semble vraiment profiter de la méditation; on parle d’une augmentation du volume de l’hippocampe et du lobe frontal. Ainsi, on note des émotions plus positives, un maintien de la stabilité émotionnelle et une plus grande focalisation dans la vie de tous les jours. De plus, la méditation aide à améliorer l’état de conscience et les pensées contemplatives et à alléger les symptômes dépressifs.

 

5. Protégez votre matière grise

 

Il a également été démontré que la méditation a des effets neuroprotecteurs. Elle peut diminuer les effets associés à l’âge sur la matière grise et le déclin cognitif.

 

6. Finies les difficultés de concentration

 

En plus des composants physiques et chimiques du cerveau, la méditation affecte aussi l’activité cérébrale! Par exemple, la méditation touche les fonctions indésirables qui sont responsables de troubles tels que le TDAH et l’anxiété et de maladies telles que l’Alzheimer.

 

7. En toute quiétude

 

La méditation a été liée à des changements considérables dans l’activité électrique cérébrale qui se traduisent par un état d’éveil calme et posé.

 

8. À bas le stress!

 

Une étude a démontré, sans grande surprise, que la méditation peut grandement diminuer le niveau de stress après seulement huit semaines de pratique, probablement en raison d’une réduction des niveaux de cortisol (hormone du stress). Fait intéressant, si vous méditez avant une situation stressante, vous vous sentirez moins stressé pendant l’événement.

 

9. Libre cours à la créativité

 

Si vous désirez augmenter votre créativité, la méditation en pleine conscience est pour vous : elle favorise la production de nouvelles idées. La méditation en pleine conscience est à l’opposé de la méditation attentive; il s’agit de centrer son attention sur le moment présent.

 

10. Love is in the air!

 

Finalement, la pratique d’un type précis de méditation – la méditation amour-bienveillance-compassion – augmente le niveau d’empathie. Il s’agit d’une méditation attentive, mais le pratiquant doit se concentrer sur des sentiments d’amour, de compassion et de compréhension.

 

Alors qu’attendez-vous? Commencez à méditer et transformez votre cerveau!

 

 

 

 

 

 

Pour en apprendre d’avantage sur les effets bénéfiques de la méditation, consultez les études suivantes, qui ont servi de référence pour l’article :

 

  1. http://newsroom.ucla.edu/releases/evidence-builds-that-meditation-230237
  2. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20141301
  3. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3184843/
  4. http://www.neurobiologyofaging.org/article/S0197-4580%2807%2900243-6/abstract?cc=y=
  5. http://www.pnas.org/content/108/50/20254.abstract
  6. http://pss.sagepub.com/content/early/2010/05/11/0956797610371339.abstract
  7. http://faculty.washington.edu/wobbrock/pubs/gi-12.02.pdf
  8. http://online.liebertpub.com/doi/abs/10.1089/acm.2010.0142
  9. http://journal.frontiersin.org/article/10.3389/fpsyg.2012.00116/full
  10. http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0001897

 

 

Texte traduit et adapté d’un article de George Dvorsky, The science behind meditation, and why it makes you feel better. http://io9.com/how-meditation-changes-your-brain-and-makes-you-feel-b-470030863

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Votre enfant transporte-t-il le poids du monde sur ses épaules?

Avez-vous déjà pesé le sac d’école de vos enfants? Qu’ils soient à la maternelle ou au secondaire, c’est incroyable tout ce qu’ils peuvent traîner là-dedans : manuels scolaires, cahiers d’études, vêtements de sport, boîte à lunch, ordinateur portable pour les plus vieux… ça finit par peser lourd sur les épaules des petits comme des grands. Tout ça sans compter que le sac à dos est trop souvent porté sur une seule épaule.

 

Et la colonne vertébrale, vous y avez pensé?

Imaginez un peu tout le stress que subit la colonne vertébrale de votre enfant dès le départ de la maison jusqu’à la sortie des classes. En plus d’un sac à dos lourd et mal ajusté, ajoutez à l’équation une posture affaissée sur le pupitre, un manque d’activité physique et des heures passées devant un écran d’ordinateur. Pas étonnant que près de la moitié (46,1 %)1 des enfants d’âge scolaire développent des douleurs au dos. Eh oui! il faut prendre soin tôt de la colonne vertébrale.

 

Les chiropraticiens ne sont pas les seuls à trouver les sacs à dos trop lourds

Une étude publiée dans le renommé journal scientifique Spine a démontré que 79 %1 des enfants trouvent que leur sac d’école est trop lourd et que 66 %1 se plaignent que leur sac à dos les épuise. Qu’en pensent les vôtres?

 

Quels sont les dangers à long terme?

Les impacts d’un sac à dos lourd et mal ajusté sont nombreux et étroitement liés à ceux d’une mauvaise posture :

 

  • déformation des courbes naturelles de la colonne vertébrale (bas du dos, haut du dos et même la courbe cervicale),
  • arrondissement des épaules et du haut du dos (posture affaissée),
  • irritation des articulations de la colonne vertébrale et de la cage thoracique,
  • irritation du système nerveux par un manque de mobilité de la colonne vertébrale,
  • tensions et irritations des muscles des épaules, du cou et du dos,
  • altération de l’équilibre : le centre de gravité de l’enfant est anormalement modifié puisqu’il doit être penché vers l’avant pour contrer le poids du sac à dos.

 

De telles perturbations de la colonne vertébrale peuvent affecter la capacité de votre enfant à se concentrer et à participer à des activités sportives.

 

Que faire pour protéger le dos de mon enfant?

Évidemment, en prenant soin de la colonne vertébrale de votre enfant dès son jeune âge, vous éviterez qu’il développe des problèmes plus graves à l’âge adulte. Voici comment y arriver :

 

  1. La première étape est de motiver votre enfant à garder une belle posture au quotidien et de l’encourager à bouger en faisant tout plein d’activité physique.
  2. Ensuite, il est primordial de faire évaluer la colonne vertébrale de votre enfant le plus tôt possible (si ce n’est déjà fait). Votre chiropraticien de famille sera en mesure de vous indiquer son niveau de santé vertébrale et ce qui doit être fait pour l’améliorer.
  3. Finalement, assurez-vous de suivre les conseils1 suivants pour l’achat, le remplissage et le port du sac d’école.

Choisir un bon sac d’école

  • Proportionnel à la grandeur de votre enfant : largeur maximale de sa cage thoracique, pas plus haut que les épaules et pas plus bas que les hanches (ne devrait pas toucher les fesses). Il est donc important que votre enfant soit présent avec vous lors de l’achat.
  • Bretelles de 5 cm de largeur et rembourrées. Pas de sac en bandoulière!
  • Ergonomique avec ceinture à la taille. En l’ajustant adéquatement, elle permet de répartir le poids du sac sur les hanches de votre enfant (structure osseuse forte et conçue pour soutenir le poids du corps) au lieu de ses épaules.
  • Tissu résistant, mais léger. Pas de cuir SVP!

Remplir son sac d’école

  • Objets lourds près du corps : manuels scolaires, livres, cahiers à reliure.
  • Objets légers répartis également des deux côtés dans les différents compartiments. Attention aux bouteilles d’eau : s’il y en a deux, utilisez les compartiments prévus sur le côté, mais s’il n’y en a qu’une seule, placez-la au centre du sac, près du corps, le bouchon bien fermé pour éviter les déversements!
  • Poids total du sac d’un maximum de 10 % du poids de votre enfant de niveau primaire et 15 % du poids au secondaire.

Bien porter son sac d’école

  • Ajustez les bretelles pour que le sac ne touche pas les fesses et que le poids soit bien réparti sur les deux épaules.
  • Ne serrez pas trop les bretelles sinon vous risquez de couper la circulation sous les bras.
  • Ajustez la ceinture sur les hanches (doit être assez serrée pour répartir le poids).

 

Bonne rentrée scolaire!

 

 

  1. S. Negrini et al. Backpacks on! Schoolchildren’s perceptions of load, associations with back pain and factors determining the load. Spine (2002) Jan 15;27(2):187-95.
  2. Conseils présentés par L’Association de chiropraticiens du Québec (ACQ)
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Utilisez-vous ces plantes miracles dans votre alimentation?

Elles poussent sur votre balcon et sont une mine d’or pour la bonne santé de vos cellules. Les fines herbes que vous utilisez pour assaisonner vos plats ont des propriétés nutritives et curatives insoupçonnées. La nature a tout prévu : un beau mélange de saveurs et de vertus autant pour le plaisir que pour la santé. Ne vous reste plus qu’à les ajouter à vos plats favoris pour en récolter les bienfaits.

 

Les effets sont plus grands lorsque les fines herbes sont fraîches. Si vous les utilisez pour des plats cuisinés, assurez-vous de les ajouter vers la fin de la cuisson. Elles donneront leur saveur lorsque le plat repose et vous ne détruirez pas les attributs.

 

Voici un petit guide sur les propriétés de vos fines herbes préférées.

Capture

Le persil et la coriandre fraîche auraient une propriété commune fort intéressante, celle d’éliminer les métaux lourds absorbés par votre organisme. On parle ici bien entendu de petites quantités; une intoxication aux métaux lourds est une urgence médicale. L’efficacité des fines herbes est toujours à l’étude, mais même si elle devait s’avérer limitée pour l’élimination des métaux lourds, l’apport en vitamine C et en calcium reste un argument convaincant pour en consommer en grande quantité!

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Emmener mon enfant chez le chiropraticien? Probablement un des plus beaux cadeaux à leur faire. Voici pourquoi.

Les parents sont de plus en plus nombreux à consulter en chiropratique pour le suivi de leurs enfants. Pourquoi? La réponse est simple : la colonne vertébrale, si petite soit-elle chez le nourrisson, doit permettre la bonne communication entre le système nerveux et le reste du corps. Si ce n’est pas le cas, le corps perd de sa capacité innée à s’autoréguler. Voici 10 raisons concrètes d’amener son enfant voir un chiropraticien.

 

  1. Diminuer les interférences causées dès la naissance.

Une simple diminution de la flexibilité de la colonne vertébrale entraîne un stress au niveau du système nerveux. Il devient alors plus difficile pour ce dernier d’assurer la pleine régulation et le contrôle des autres systèmes et organes. On nomme ce type de stress « subluxation vertébrale ».

Certaines études suggèrent que les subluxations peuvent débuter alors que le bébé se trouve à l’intérieur du ventre de sa mère. Elles seraient dues à un mauvais positionnement in utero, à une restriction de mouvement du fœtus ou à une exposition à des toxines. De telles interférences peuvent aussi se manifester en cas de complications lors du processus de naissance : accouchement long et laborieux, plusieurs manipulations du bébé, utilisation de ventouses ou de forceps, accouchement par césarienne.

 

Les nourrissons peuvent être examinés et ajustés par un chiropraticien aussi tôt que quelques minutes suivant leur naissance. Des techniques particulières ont été développées pour ajuster délicatement et de façon sécuritaire la colonne vertébrale des nourrissons.

 

  1. « Vaut mieux prévenir que guérir. »

De façon innée, le corps essaie toujours de revenir en équilibre et de protéger ses blessures. Il crée ainsi des patrons de protection autour des subluxations qui rendent sa correction à long terme plus difficile et surtout moins durable. Ceci est vrai autant pour les adultes que les enfants. Il est donc beaucoup plus logique de faire vérifier la colonne vertébrale de vos enfants avant même que les symptômes apparaissent plutôt que d’attendre une accumulation de couche de protection.

 

  1. Aider à résoudre les problématiques d’allaitement et de coliques.

Pour un bébé, une diminution de la communication nerveuse (subluxation) peut se traduire en coliques, en irritabilité, en difficulté à prendre le sein à l’allaitement ou encore en trouble de sommeil.

 

  1. Renforcer le système immunitaire pour favoriser la diminution des otites, rhumes, grippes et autres infections.

Bien que la chiropratique puisse être bénéfique dans divers problèmes de santé, il ne s’agit par contre pas d’une cure. L’objectif n’est pas le traitement ni la guérison de la maladie (rhumes, grippes, otites). Les ajustements chiropratiques visent à s’assurer que le système nerveux a toutes les possibilités de communiquer clairement avec les autres systèmes du corps, comme le système immunitaire. De cette façon, le corps peut recréer son ordre naturel et une fonction optimale des petits soldats de votre enfant pour qu’ils assurent sa guérison.

 

  1. Diminuer l’impact des interférences sur les capacités d’apprentissage et de concentration.

Le système nerveux est le grand dirigeant des fonctions corporelles. Si ses moyens de communication s’embrouillent ou s’endommagent, l’enfant peut accuser un retard de développement, une difficulté de concentration, un trouble de comportement, etc.

 

  1. Favoriser une bonne plasticité neuronale.

Le cerveau, dès le développement embryonnaire et tout au long de la vie, est en développement. Il s’agit d’un système dynamique, capable de s’adapter et de se modifier. Comme la colonne vertébrale est l’organe le plus riche en récepteurs de mouvement (propriocepteurs), les ajustements chiropratiques permettent de stimuler le système nerveux et ainsi de favoriser la qualité de la communication. Il n’est pas rare de remarquer une amélioration de la coordination et de l’équilibre lorsque le système nerveux est enfin libre d’interférence.

 

  1. Promouvoir une physiologie en équilibre.

La santé des enfants est leur plus grand atout pour s’épanouir pleinement. Le chiropraticien, en corrigeant les interférences du système nerveux à la colonne vertébrale même, encourage le plein développement de l’enfant, aide à résoudre les troubles posturaux, soutient le système respiratoire en cas d’asthme et d’allergie, supporte l’efficacité du système digestif et peut même accompagner l’enfant en cas d’énurésie (pipi au lit).

 

  1. Diminuer l’impact néfaste de notre société moderne sur la santé.

Une interférence au système nerveux peut être induite par les activités de la vie quotidienne. Il peut s’agir d’un stress d’ordre physique, chimique ou émotionnel; par exemple, une mauvaise posture, une position assise prolongée, un mouvement répétitif inadéquat, une mauvaise position de sommeil, une chute ou un accrochage, de mauvais choix alimentaires, la déshydratation, l’exposition à certains produits chimiques ou toxines, l’anxiété, un climat familial ou relationnel tendu, etc.

 

  1. Faciliter la joie de vivre.

Les stress émotionnels créent des interférences au système nerveux et l’inverse est aussi vrai : un système nerveux irrité entraîne une humeur irritable. Si la colonne vertébrale de votre enfant est constamment mise sous tension, son corps doit déployer énormément d’énergie pour maintenir ses mécanismes de protection. Il lui en reste alors bien moins pour jouer, rire, courir, sauter, etc. Une fois le système nerveux dégagé et libre d’interférences, l’énergie peut être distribuée là où elle est la plus utile : croissance, guérison, création.

 

  1. Aider l’enfant à rester en pleine forme et pétillant de santé.

Combiné à un style de vie sain, la chiropratique est une porte d’entrée vers le bien-être absolu. Questionnez votre entourage et vous réaliserez que les parents qui ont recours à la chiropratique rapportent fréquemment que ça aide leurs enfants à être au sommet de leur forme.

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Victime de vos gènes ? Probablement pas!

Voici comment reprendre le contrôle de votre santé en 4 étapes.

Les scientifiques sont fascinés depuis longtemps par l’ADN. Le 20e siècle a vu d’importantes avancées dans le domaine de la génétique, notamment le séquençage complet du génome humain. Et dans la même foulée, on a découvert que les gènes sont responsables de moins de 10 % de toutes les maladies, même celles qu’on disait héréditaires.

Vous n’êtes donc pas prisonniers de vos gènes! Toutefois, votre attitude face à votre santé pourrait jouer un rôle important dans votre destinée. « Ma mère a eu le cancer du sein, alors je risque fortement d’en avoir un! » « J’ai des problèmes cardiaques, je n’y peux rien car mon père et mon grand-père en avaient aussi. » Ces croyances sont courantes, mais les gènes ne déterminent rien à eux seuls.

Si les gènes ne sont pas à l’origine des maladies, où faut-il chercher?

L’épigénétique – étude de l’impact de l’environnement sur les gènes – est beaucoup plus précise que la génétique lorsqu’il est question de déterminer la santé. Par exemple, il est possible d’améliorer votre santé par une alimentation nutritive, par l’activité physique et par d’autres choix de style de vie sains. Ce qu’on oublie souvent, c’est que vos croyances font également partie de votre environnement. Vos croyances, comme vos relations, la nourriture que vous mangez, l’air que vous respirez, la manière dont vous gérez le stress et bien d’autres facteurs internes et externes stimulent la façon dont vos gènes s’expriment.

Bruce Lipton, auteur du succès Biologie des croyances : Comment affranchir la puissance de la conscience, de la matière et des miracles, affirme que les gènes ne sont que des plans, des gabarits. Vous leur donnez le pouvoir de s’activer ou de se désactiver avec vos croyances et votre attitude. Il soutient également que la plupart des problèmes de santé surviennent à cause des perceptions erronées qui ont été apprises ou acquises. Et puisque vos perceptions peuvent changer, c’est aussi le cas de votre santé.

Vos croyances sont plus fortes que vos gènes

Il n’est pas trop tard pour changer vos croyances et changer votre santé pour le mieux. Voici les conseils de Dre Christiane Northrup, MD, spécialiste en santé naturelle de la femme, pour prendre consciemment le chemin d’une santé dynamique malgré vos gènes.

1er truc : Soyez conscient de la manière dont vous parlez de votre santé.

Vos mots pavent la voie de votre destinée. Les paroles qui sortent de votre bouche entrent directement dans vos oreilles. Elles atterrissent littéralement dans votre corps et vos cellules répondent. Ainsi, plutôt que de parler de maladie et d’incapacité, parlez positivement de ce que vous êtes capable de faire et de la manière dont vous contribuez à votre santé.

2e truc : Ne jouez pas à l’autruche.

Il est important de pouvoir dresser le bilan de vos antécédents familiaux pour votre fournisseur de soins médicaux. Toutefois, ne laissez pas cette information prendre trop de place dans votre cerveau. Et, surtout, ne parlez pas comme s’il s’agissait d’une fatalité.

3e truc : Écoutez ce que la maladie vous dit.

La manière la plus simple de contribuer quotidiennement à votre santé est d’écouter votre corps. Idéalement, il faut se mettre à l’écoute avant de tomber malade. Si des symptômes se manifestent déjà, portez attention. Reconnaissez qu’il est peut-être temps d’apporter quelques changements. Permettez à vos émotions de remonter à la surface et d’être libérées.

4e truc : Abordez vos défis de santé avec confiance

Dans tout défi de santé, il est facile de laisser la peur prendre le dessus. Souvent le manque de connaissance sur ce qui vous arrive vous laisse dans le néant et l’angoisse monte. Le hic, c’est que plus vous laissez la peur vous envahir, plus elle contrôlera votre santé. Vos cellules vibrent à la même fréquence que vos pensées. Il ne s’agit pas d’adopter la pensée magique, mais tout simplement de prendre action selon les signaux que votre corps vous envoie avec une attitude de confiance envers la capacité innée de guérison de votre corps.

 

L’intelligence innée qui vous habite a réussi à vous créer, cellule par cellule, et a la capacité de vous guérir. Il faut toutefois travailler dans le même sens qu’elle en adoptant un style de vie sain. N’hésitez pas à consulter votre chiropraticien de famille pour lui demander conseil sur la meilleure attitude à adopter face à vos défis en matière de santé. Il est là pour vous aider à trouver votre solution.

 

Lectures intéressantes sur l’épigénétique :

  • Biologie des croyances, Bruce H. Lipton
  • Molecules of Emotion, Candace Pert

 

 

Traduction et adaptation d’un article de Dre Christiane Northrup MD

http://www.drnorthrup.com/4-powerful-ways-to-improve-your-health-and-longevity-with-epigenetics/

Categories Mangez mieux avec la chiropratique

Ces stimulants qui volent votre énergie… (au lieu de vous en donner)

Faites-vous partie de ceux qui ont besoin d’un café le matin pour se réveiller, puis d’un autre l’après-midi pour terminer la journée? Puis rapidement, un seul café le matin ne suffit plus. Ce qu’il faut savoir de la caféine, c’est que plus on en consomme, plus on ressent de fatigue.

 

La caféine est un stimulant alimentaire. Tous les stimulants brisent l’équilibre biochimique naturel du corps. Votre corps réagit donc en opposition à la caféine en essayant de restaurer son équilibre et de limiter les dégâts de ce stimulant. Alors bien que votre café semble vous donner de l’énergie à court terme, il ralentit les fonctions de votre corps à moyen et à long terme. De là la grande fatigue que vous ressentez quelques heures après.

 

 

Quels stimulants consommez-vous?

 

Toutefois, le café n’est pas votre seul ennemi. Quand on parle de stimulants alimentaires, on vise notamment :

 

  • les sucres – les glucides raffinés (sirop de maïs à haute teneur en fructose, farine blanche raffinée, etc.) et tous les autres édulcorants concentrés;

 

  • le sel raffiné;

 

  • la caféine et le chocolat;

 

  • l’alcool et le tabac;

 

  • certains additifs alimentaires comme le GMS et les édulcorants artificiels.

 

Les stimulants sont riches en facteurs antinutritionnels et agissent davantage comme des drogues que des aliments dans le corps. De nature addictive, ils sont les plus importants dérobeurs d’énergie et de clarté mentale.

 

Ils prennent également en otage vos papilles gustatives, causent des fringales non naturelles et mènent vers des problèmes de santé chroniques. Parmi ces problèmes, on retrouve : l’arthrite/inflammation, affaiblissement de la fonction immunitaire, fatigue/épuisement des glandes surrénales, insomnie, anxiété/dépression, SPM/symptômes liés à la ménopause, cancer/maladies cardiaques, hypertension artérielle, taux élevé de cholestérol, sinusites/allergies, caries dentaires, problèmes rénaux et hépatiques, hypoglycémie, troubles digestifs, infections à levures et maux de tête.

 

Si ce n’est pas encore suffisant pour vous inciter à éliminer les stimulants de votre vie ou du moins en réserver la consommation à de rares occasions, on se demande ce qui vous convaincra!

 

Craintifs de faire les premiers pas?

 

Les gens se montrent souvent réticents à s’éloigner des stimulants puisqu’ils ont la fausse impression qu’ils leur fournissent de l’énergie. En fait, les stimulants causent votre fatigue. Il n’est donc pas facile de briser ce cercle vicieux.

 

Vous pouvez tenter de couper votre consommation pour une semaine. Le mieux est de commencer un vendredi et de vous reposer toute la fin de semaine parce que le corps sera fatigué. Si vous tenez le coup, vous vous sentirez déjà mieux le lundi ou le mardi.
Après ce premier pas, vous pourrez ensuite vous attaquer aux glucides raffinés. Le plus simple est de remplacer le « blanc » (sucre, pain, pâtes) par le « brun » (grains entiers et édulcorants naturels). À ce point, vous aurez retrouvé un niveau d’énergie que vous n’auriez jamais soupçonné et vous devriez même perdre du poids.

 

Tout le monde n’a pas la même facilité à modifier sa consommation. Visez d’abord le stimulant le plus présent dans votre vie et les résultats ne tarderont pas à se manifester. Bonne transformation !

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Faites-vous partie des victimes de cette épidémie?

Saviez-vous que votre tête pèse environ 12 livres? C’est le poids d’une boule de quille. Toutefois, plus votre cou est incliné vers l’avant et vers le bas, plus le poids que doit soutenir votre colonne cervicale est grand. C’est une question de physique mécanique. Par exemple, si votre cou est incliné à un angle de 15 degrés, votre corps perçoit un poids d’environ 27 livres; à 30 degrés, c’est comme si votre tête pesait 40 livres; à 45 degrés, le poids que la colonne doit soutenir est de 49 livres; et à 60 degrés, c’est l’équivalent de 60 livres!

 

Imaginez-vous avec un enfant de huit ans sur les épaules pendant quelques heures. Ouf! Voilà exactement le fardeau infligé à votre colonne lorsque vous fixez votre téléphone ou votre tablette. Les utilisateurs des iPhone, Galaxy et cie passent en moyenne de deux à quatre heures par jour penchés à lire leurs courriels, à envoyer des textos ou à se promener sur les réseaux sociaux.

 

Le danger n’est pas seulement au volant!

Vous êtes des millions à risque. Les chercheurs laissent entendre que, si vous ne faites pas attention, le syndrome du texto (« text neck ») peut mener à une usure prématurée puis à la dégénérescence de la colonne. « La situation est de plus en plus courante, pour ne pas dire qu’il s’agit d’une véritable épidémie », déclare Kenneth Hansraj, chef de la chirurgie rachidienne à New York Spine Surgery and Rehabilitation Medicine.

 

« Regardez simplement autour de vous, tout le monde a la tête baissée. »

 

Si vous avez des enfants, soyez vigilants : les élèves du secondaire sont probablement les pires. Selon Dr Hansraj, ces derniers peuvent passer 5000 heures de plus par année dans cette position que le reste de la population (de 700 à 1400 heures/an).

 

Quels sont les symptômes reliés?

Vous pouvez développer des tensions musculaires (même au repos), irriter votre système nerveux jusqu’à donner l’impression de nerfs coincés, développer des hernies discales et, à plus long terme, la courbe naturelle de votre cou vient à disparaître. Et ça ne s’arrête pas là! Une mauvaise posture peut occasionner d’autres problèmes. Les experts parlent d’une diminution possible de la capacité pulmonaire (jusqu’à 30 %), de maux de tête, de problèmes neurologiques, de dépression et de maladies cardiaques.

 

La clef c’est la prévention

Il ne s’agit pas ici de démoniser la technologie. Votre chiropraticien ne conseille pas de délaisser complètement votre téléphone intelligent, mais plutôt de l’utiliser de façon intelligente. Quelle est la posture idéale? Omoplates rapprochés, épaules basses, tête droite et relevée, abdos contractés. Et pour éviter les douleurs au cou, amenez le téléphone à la hauteur de vos yeux plutôt que de rapprocher votre tête du téléphone. C’est une habitude santé à adopter et à enseigner à vos proches.

 

Dans tous les cas, assurez-vous de faire vérifier votre posture et celle de vos enfants par votre chiropraticien de famille. Vous aurez l’heure juste sur votre niveau de santé vertébrale et saurez comment agir pour en prendre soin. Mieux vaut prévenir que guérir!

 

 

 

 

Adaptation d’un texte de Lindsey Bever du Washington Post : http://www.washingtonpost.com/news/morning-mix/wp/2014/11/20/text-neck-is-becoming-an-epidemic-and-could-wreck-your-spine/

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Crème solaire: toxique ou bénéfique ?

Vous êtes-vous déjà demandé si la crème solaire est réellement efficace contre le cancer et le vieillissement prématuré de la peau?

Difficile de s’y retrouver quand plusieurs compagnies proclament détenir la solution.

Voici un guide pour vous aider à faire le choix le plus éclairé pour la santé de votre peau et celle de votre famille.

 

Comment choisir votre écran solaire ?

Il existe deux types d’écrans solaires sur le marché : les écrans chimiques et les écrans physiques.

1- Les écrans chimiques sont composés d’ingrédients actifs permettant une protection efficace contre les rayons UVB, limitant ainsi les coups de soleil. Par contre, l’indice de protection UVA de la plupart des produits nord-américains est faible. C’est-à-dire que les dommages profonds créés par les UVA, tels que le vieillissement de la peau, ne seraient pas prévenus. Bien que plusieurs compagnies affichent une protection UVA ou à large spectre, on ne peut s’y fier puisque la régulation n’est pas aussi sévère qu’elle le devrait.

De plus, ces ingrédients actifs pénètrent la peau et se retrouvent dans la circulation sanguine. Parmi ceux-ci, on retrouve des agents toxiques et potentiellement cancérigènes : homostalate, oxybenzone, avobenzone, octocrylène, octisalate, etc. Alors la crème qui devrait protéger contre le développement du cancer serait propice à en créer elle-même ?! Voici ce que le Environmental Working Group (EWG)* vous suggère d’éviter :

Pas de protection solaire en vaporisateur : Ce type de produit est populaire pour les enfants, mais l’inhalation est fréquente et toxique. De plus, l’application n’est pas uniforme et donc propice aux coups de soleil en forme de nuage.

Pas de FPS supérieur à 50 : Le FPS (facteur de protection solaire) tient compte des rayons UVB seulement. En utilisant un FPS élevé, on pense à tort pouvoir allonger l’exposition au soleil, ce qui augmente les dommages créés par les UVA (diminution du système immunitaire, vieillissement prématuré de la peau, cancer). De plus en en plus de pays limitent le FPS à 50.

Pas d’oxybenzone, d’avobenzone, ni de dérivés : Ces ingrédients pénètrent la circulation sanguine et perturbent le système endocrinien (sécrétion d’hormones).

Pas de palmitate de rétinyle : Il s’agit d’une forme de vitamine A qui devient instable au soleil et crée des dommages possiblement cancérigènes à la peau.

Encore selon l’EWG, les marques les plus populaires sont justement celles à éviter, dont plusieurs produits de Neutrogena, de Coppertone et de Banana Boat.
2- Les écrans physiques sont composés de dioxyde de titane et d’oxyde de zinc. Ces deux ingrédients produisent un filtre minéral efficace contre les UVA/UVB qui reste en superficie de la peau et donc ne pénètrent pas dans la circulation sanguine. Ces écrans sont normalement conseillés pour les jeunes enfants (6 mois et plus) et les peaux sensibles puisqu’ils sont plus doux en plus d’être moins polluants pour l’environnement.
Ils ont perdu la cote dans le passé puisqu’il s’agissait d’un produit dispendieux, opaque et difficile à appliquer. À ce jour, de nombreuses compagnies respectueuses de la santé et de l’environnement ont développé des formules beaucoup plus pratiques et accessibles. Voici quelques produits parmi une gamme variée que vous pourrez trouver chez n’importe quel détaillant de produits naturels, voire même dans certaines pharmacies :
• Goddess Garden
• Aubrey Organics
• Nature’s Gate
• Alba Botanica
• Green Beaver
• Dermamed
Cet été, protégez votre peau et celle de vos enfants à l’aide d’un écran efficace, doux et naturel. Souvenez-vous toutefois que l’utilisation d’une crème solaire n’est pas la première option pour vous protéger du soleil. En adoptant de saines habitudes d’exposition, le soleil deviendra votre allié.

 

Bon été ensoleillé!

 

*L’EWG : The Environmental Working Group est un organisme à but non lucratif américain dont la mission est d’encourager la population à vivre en meilleur santé et dans un environnement plus sain. À l’aide de la recherche, d’actions civiles et d’éducation, il aide les consommateurs à faire des choix plus éclairés. On retrouve à la tête de cet organisme des activistes, des environnementalistes, des auteurs, des politiciens et des experts en santé dont les célèbres Dr Mark Hyman MD et Dr Harvey Karp MD, pédiatre. Pour plus d’information, veuillez consulter les sites suivants : http://www.ewg.org et http://www.ewg.org/sunsafety/.

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